Capitalist Development in India's Informal Economy
In: The European journal of development research, Band 27, Heft 4, S. 623-624
ISSN: 1743-9728
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In: The European journal of development research, Band 27, Heft 4, S. 623-624
ISSN: 1743-9728
In: European Journal of Development Research, Band 27, Heft 4, S. 623-624
SSRN
In: Development and change, Band 54, Heft 2, S. 331-354
ISSN: 1467-7660
ABSTRACTScholarly literature on municipal councillors in urban India has variously labelled them as 'lords', 'captains' and 'shrewd operators' who have the power to mobilize resources and act as political intermediaries between the state and ordinary citizens. Conversely, voters are seen as collectively trading their votes to secure access to the state's resources. In this article, empirical fieldwork in the city of Ahmedabad, India, suggests that while traditional modes of patron–client relationships continue to exist at the municipal urban governance level, there has been a shift in the roles as perceived by municipal councillors themselves. The 'state at the roadside' model of urban governance is being expanded to include new modes and sites of mediation with citizens. Drawing from the literature on political representative claims and social representation theory, this article argues that the changes in the practices of municipal councillors are driven partly by political aspirations that are distinct from their identity as a party karyakarta (worker) and partly as a response to a better‐informed citizenry, referred to as jagrukt janta (public awareness). These shifts create the conditions for new modes of civic engagement and political accountability within existing patronage‐based networks.
In: Exploring Urban Change in South Asia Series
Intro -- Acknowledgements -- Contents -- Editors and Contributors -- Abbreviations -- List of Figures -- List of Tables -- 1 Introduction: On Politics of Urban Planning -- 1.1 The Politics of Urban Planning -- 1.1.1 "Our Mumbai": City as the Political Challenge of Planetary Urbanization -- 1.1.2 The Contested Boundaries of What Is Accounted for in the Common Future of the City -- 1.1.3 The Conflictive Dialogue Between Incommensurable Conceptions of the Just City -- 1.1.4 The Possibility to Explore and Account for the Relational Power of Planning -- 1.1.5 The Possibility to Give Voice and Make Room to Subaltern Populations and Lifestyles -- 1.1.6 "Vested Interests", Neoliberalism and Political Economy -- 1.2 Unfolding the Politics of Planning in the Chapters -- References -- 2 Mumbai Development Plan 2014-2034: Unfolding Controversies, Actors and Arenas -- 2.1 The Seeds of the Controversy -- 2.1.1 Setting up the Planning Team -- 2.1.2 The Network of Local Experts -- 2.1.3 Negotiating and Creating Awareness -- 2.1.4 The Publication of the ELU: A Turning Point -- 2.2 Crafting a People's Vision -- 2.2.1 Demystifying the DP and Formulating an Alternative Vision -- 2.2.2 Local-Level Initiatives -- 2.2.3 Preparatory Studies -- 2.2.4 The Consultative Workshops and Their Aftermath -- 2.3 The Publication of the Draft DP: The Nexus of the Controversy -- 2.3.1 The Release of the Draft DP -- 2.3.2 A Mounting Opposition to the Draft DP -- 2.3.3 A Diversity of Voices in the Political Arena -- 2.4 "Scrapping" of the DP: A Reorientation of the Controversy -- 2.4.1 Reviewing the Draft -- 2.4.2 Actors Engagement -- 2.5 Publication of the Revised Draft DP: The Softening of the Controversy -- 2.5.1 Modes and Timing of Release -- 2.5.2 Reactions to RDDP -- 2.5.3 MCGM's Strategies -- 2.6 Conclusion: The DP as a Political Object -- References.
In: International Development Policy: Energy and Development, S. 181-195
In: EADI Global Development Series
In: EADI Global Development Ser.
India's capitalist transformation has been spatially uneven. Combining several analytical approaches, the contributors identify socio-spatial regularities - some contiguous with state boundaries, some transcending states and some contained within them - while providing evidence about the spatial unevenness of India's capitalist development
Rapports ; Les agricultures familiales se trouvent au coeur des transformations mais aussi des contradictions contemporaines de l'agriculture1. Elles constituent le socle des grandes révolutions agricoles des pays développés et elles forment la base sociale de la plupart des pays des Suds, contribuant à l'approvisionnement de leurs marchés domestiques mais aussi aux marchés internationaux. Elles constituent aussi, paradoxalement, la grande masse des agriculteurs pauvres et en situation d'insécurité alimentaire à l'échelle mondiale. Alors qu'elle opère parfois selon des modèles intensifiés (agro-chimie et motorisation) et spécialisés, l'agriculture familiale est également invoquée comme disposant de certaines caractéristiques pouvant apporter des solutions aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. En effet, la capacité du modèle agricole intensif à proposer des réponses adaptées aux défis contemporains est aujourd'hui largement questionnée, notamment en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité alimentaire, la raréfaction des ressources fossiles, la prévention des maladies émergentes, mais aussi le développement de nouvelles sources énergétiques (comme la bioénergie) ou de modèles d'agriculture durable. La forme familiale de production aurait des qualités lui permettant de mettre en oeuvre un " autre modèle agricole ", plus soucieux de l'environnement, plus riche en emplois, mieux intégré au sein des territoires. C'est ce questionnement qui est au centre de cette étude. Dans ce cadre général, mais aussi en perspective de l'année internationale de l'Agriculture familiale décrétée par les Nations-Unies pour 2014, l'Agence française de développement (AFD) et les ministères français des Affaires Etrangères et de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt ont demandé au CIRAD de préciser le contenu du concept d'agriculture familiale et sa pertinence par rapport aux autres catégories d'agricultures, et d'analyser les contributions économiques, sociales et environnementales des agricultures familiales ainsi que leur prise en compte par les politiques. Ce résumé rassemble les principales observations du rapport et présente les propositions opérationnelles pour une réelle reconnaissance de cette forme d'organisation de l'agriculture par les politiques publiques. Il conclut sur des perspectives d'approfondissement des réflexions. (Résumé d'auteur)
BASE
Rapports ; Les agricultures familiales se trouvent au coeur des transformations mais aussi des contradictions contemporaines de l'agriculture1. Elles constituent le socle des grandes révolutions agricoles des pays développés et elles forment la base sociale de la plupart des pays des Suds, contribuant à l'approvisionnement de leurs marchés domestiques mais aussi aux marchés internationaux. Elles constituent aussi, paradoxalement, la grande masse des agriculteurs pauvres et en situation d'insécurité alimentaire à l'échelle mondiale. Alors qu'elle opère parfois selon des modèles intensifiés (agro-chimie et motorisation) et spécialisés, l'agriculture familiale est également invoquée comme disposant de certaines caractéristiques pouvant apporter des solutions aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. En effet, la capacité du modèle agricole intensif à proposer des réponses adaptées aux défis contemporains est aujourd'hui largement questionnée, notamment en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité alimentaire, la raréfaction des ressources fossiles, la prévention des maladies émergentes, mais aussi le développement de nouvelles sources énergétiques (comme la bioénergie) ou de modèles d'agriculture durable. La forme familiale de production aurait des qualités lui permettant de mettre en oeuvre un " autre modèle agricole ", plus soucieux de l'environnement, plus riche en emplois, mieux intégré au sein des territoires. C'est ce questionnement qui est au centre de cette étude. Dans ce cadre général, mais aussi en perspective de l'année internationale de l'Agriculture familiale décrétée par les Nations-Unies pour 2014, l'Agence française de développement (AFD) et les ministères français des Affaires Etrangères et de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt ont demandé au CIRAD de préciser le contenu du concept d'agriculture familiale et sa pertinence par rapport aux autres catégories d'agricultures, et d'analyser les contributions économiques, sociales et environnementales des ...
BASE
Rapports ; Les agricultures familiales se trouvent au coeur des transformations mais aussi des contradictions contemporaines de l'agriculture1. Elles constituent le socle des grandes révolutions agricoles des pays développés et elles forment la base sociale de la plupart des pays des Suds, contribuant à l'approvisionnement de leurs marchés domestiques mais aussi aux marchés internationaux. Elles constituent aussi, paradoxalement, la grande masse des agriculteurs pauvres et en situation d'insécurité alimentaire à l'échelle mondiale. Alors qu'elle opère parfois selon des modèles intensifiés (agro-chimie et motorisation) et spécialisés, l'agriculture familiale est également invoquée comme disposant de certaines caractéristiques pouvant apporter des solutions aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. En effet, la capacité du modèle agricole intensif à proposer des réponses adaptées aux défis contemporains est aujourd'hui largement questionnée, notamment en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité alimentaire, la raréfaction des ressources fossiles, la prévention des maladies émergentes, mais aussi le développement de nouvelles sources énergétiques (comme la bioénergie) ou de modèles d'agriculture durable. La forme familiale de production aurait des qualités lui permettant de mettre en oeuvre un " autre modèle agricole ", plus soucieux de l'environnement, plus riche en emplois, mieux intégré au sein des territoires. C'est ce questionnement qui est au centre de cette étude. Dans ce cadre général, mais aussi en perspective de l'année internationale de l'Agriculture familiale décrétée par les Nations-Unies pour 2014, l'Agence française de développement (AFD) et les ministères français des Affaires Etrangères et de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt ont demandé au CIRAD de préciser le contenu du concept d'agriculture familiale et sa pertinence par rapport aux autres catégories d'agricultures, et d'analyser les contributions économiques, sociales et environnementales des agricultures familiales ainsi que leur prise en compte par les politiques. Ce résumé rassemble les principales observations du rapport et présente les propositions opérationnelles pour une réelle reconnaissance de cette forme d'organisation de l'agriculture par les politiques publiques. Il conclut sur des perspectives d'approfondissement des réflexions. (Résumé d'auteur)
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Rapports ; Les agricultures familiales se trouvent au coeur des transformations mais aussi des contradictions contemporaines de l'agriculture1. Elles constituent le socle des grandes révolutions agricoles des pays développés et elles forment la base sociale de la plupart des pays des Suds, contribuant à l'approvisionnement de leurs marchés domestiques mais aussi aux marchés internationaux. Elles constituent aussi, paradoxalement, la grande masse des agriculteurs pauvres et en situation d'insécurité alimentaire à l'échelle mondiale. Alors qu'elle opère parfois selon des modèles intensifiés (agro-chimie et motorisation) et spécialisés, l'agriculture familiale est également invoquée comme disposant de certaines caractéristiques pouvant apporter des solutions aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. En effet, la capacité du modèle agricole intensif à proposer des réponses adaptées aux défis contemporains est aujourd'hui largement questionnée, notamment en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité alimentaire, la raréfaction des ressources fossiles, la prévention des maladies émergentes, mais aussi le développement de nouvelles sources énergétiques (comme la bioénergie) ou de modèles d'agriculture durable. La forme familiale de production aurait des qualités lui permettant de mettre en oeuvre un " autre modèle agricole ", plus soucieux de l'environnement, plus riche en emplois, mieux intégré au sein des territoires. C'est ce questionnement qui est au centre de cette étude. Dans ce cadre général, mais aussi en perspective de l'année internationale de l'Agriculture familiale décrétée par les Nations-Unies pour 2014, l'Agence française de développement (AFD) et les ministères français des Affaires Etrangères et de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt ont demandé au CIRAD de préciser le contenu du concept d'agriculture familiale et sa pertinence par rapport aux autres catégories d'agricultures, et d'analyser les contributions économiques, sociales et environnementales des agricultures familiales ainsi que leur prise en compte par les politiques. Ce résumé rassemble les principales observations du rapport et présente les propositions opérationnelles pour une réelle reconnaissance de cette forme d'organisation de l'agriculture par les politiques publiques. Il conclut sur des perspectives d'approfondissement des réflexions. (Résumé d'auteur)
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Rapports ; Les agricultures familiales se trouvent au coeur des transformations mais aussi des contradictions contemporaines de l'agriculture1. Elles constituent le socle des grandes révolutions agricoles des pays développés et elles forment la base sociale de la plupart des pays des Suds, contribuant à l'approvisionnement de leurs marchés domestiques mais aussi aux marchés internationaux. Elles constituent aussi, paradoxalement, la grande masse des agriculteurs pauvres et en situation d'insécurité alimentaire à l'échelle mondiale. Alors qu'elle opère parfois selon des modèles intensifiés (agro-chimie et motorisation) et spécialisés, l'agriculture familiale est également invoquée comme disposant de certaines caractéristiques pouvant apporter des solutions aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. En effet, la capacité du modèle agricole intensif à proposer des réponses adaptées aux défis contemporains est aujourd'hui largement questionnée, notamment en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité alimentaire, la raréfaction des ressources fossiles, la prévention des maladies émergentes, mais aussi le développement de nouvelles sources énergétiques (comme la bioénergie) ou de modèles d'agriculture durable. La forme familiale de production aurait des qualités lui permettant de mettre en oeuvre un " autre modèle agricole ", plus soucieux de l'environnement, plus riche en emplois, mieux intégré au sein des territoires. C'est ce questionnement qui est au centre de cette étude. Dans ce cadre général, mais aussi en perspective de l'année internationale de l'Agriculture familiale décrétée par les Nations-Unies pour 2014, l'Agence française de développement (AFD) et les ministères français des Affaires Etrangères et de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt ont demandé au CIRAD de préciser le contenu du concept d'agriculture familiale et sa pertinence par rapport aux autres catégories d'agricultures, et d'analyser les contributions économiques, sociales et environnementales des agricultures familiales ainsi que leur prise en compte par les politiques. Ce résumé rassemble les principales observations du rapport et présente les propositions opérationnelles pour une réelle reconnaissance de cette forme d'organisation de l'agriculture par les politiques publiques. Il conclut sur des perspectives d'approfondissement des réflexions. (Résumé d'auteur)
BASE
Rapports ; Les agricultures familiales se trouvent au coeur des transformations mais aussi des contradictions contemporaines de l'agriculture1. Elles constituent le socle des grandes révolutions agricoles des pays développés et elles forment la base sociale de la plupart des pays des Suds, contribuant à l'approvisionnement de leurs marchés domestiques mais aussi aux marchés internationaux. Elles constituent aussi, paradoxalement, la grande masse des agriculteurs pauvres et en situation d'insécurité alimentaire à l'échelle mondiale. Alors qu'elle opère parfois selon des modèles intensifiés (agro-chimie et motorisation) et spécialisés, l'agriculture familiale est également invoquée comme disposant de certaines caractéristiques pouvant apporter des solutions aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. En effet, la capacité du modèle agricole intensif à proposer des réponses adaptées aux défis contemporains est aujourd'hui largement questionnée, notamment en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité alimentaire, la raréfaction des ressources fossiles, la prévention des maladies émergentes, mais aussi le développement de nouvelles sources énergétiques (comme la bioénergie) ou de modèles d'agriculture durable. La forme familiale de production aurait des qualités lui permettant de mettre en oeuvre un " autre modèle agricole ", plus soucieux de l'environnement, plus riche en emplois, mieux intégré au sein des territoires. C'est ce questionnement qui est au centre de cette étude. Dans ce cadre général, mais aussi en perspective de l'année internationale de l'Agriculture familiale décrétée par les Nations-Unies pour 2014, l'Agence française de développement (AFD) et les ministères français des Affaires Etrangères et de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt ont demandé au CIRAD de préciser le contenu du concept d'agriculture familiale et sa pertinence par rapport aux autres catégories d'agricultures, et d'analyser les contributions économiques, sociales et environnementales des agricultures familiales ainsi que leur prise en compte par les politiques. Ce résumé rassemble les principales observations du rapport et présente les propositions opérationnelles pour une réelle reconnaissance de cette forme d'organisation de l'agriculture par les politiques publiques. Il conclut sur des perspectives d'approfondissement des réflexions. (Résumé d'auteur)
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