The Untold Story of the World's Leading Environmental Institution: UNEP at Fifty by Maria Ivanova
In: Global environmental politics, Band 22, Heft 3, S. 200-202
ISSN: 1536-0091
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In: Global environmental politics, Band 22, Heft 3, S. 200-202
ISSN: 1536-0091
In: International politics: a journal of transnational issues and global problems, Band 58, Heft 4, S. 640-660
ISSN: 1740-3898
AbstractSince 2007, the United Nations Security Council (UNSC) has debated the security implications of climate change on several occasions. This article addresses these debates by exploring two interrelated questions: What drives the continuous efforts to place climate change on the UNSC's agenda and to what extent do the UNSC's debates illustrate an ongoing process of climatization? To answer these, the article draws on the concept of climatization, which captures the process through which domains of international politics are framed through a climate lens and transformed as a result of this translation. It suggests that climate change has become a dominant framing and an inescapable topic of international relations and that the UNSC debates follow a logic of expansion of climate politics by securing a steady climate agenda, attributing responsibility to the Council in the climate crisis, involving climate actors and advocating for climate-oriented policies to maintain international security.
Since 2007, the United Nations Security Council (UNSC) has debated the security implications of climate change on several occasions. This article addresses these debates by exploring two interrelated questions: What drives the continuous efforts to place climate change on the UNSC's agenda and to what extent do the UNSC's debates illustrate an ongoing process of climatization? To answer these, the article draws on the concept of climatization, which captures the process through which domains of international politics are framed through a climate lens and transformed as a result of this translation. It suggests that climate change has become a dominant framing and an inescapable topic of international relations and that the UNSC debates follow a logic of expansion of climate politics by securing a steady climate agenda, attributing responsibility to the Council in the climate crisis, involving climate actors and advocating for climate-oriented policies to maintain international security.
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Since 2007, the United Nations Security Council (UNSC) has debated the security implications of climate change on several occasions. This article addresses these debates by exploring two interrelated questions: What drives the continuous efforts to place climate change on the UNSC's agenda and to what extent do the UNSC's debates illustrate an ongoing process of climatization? To answer these, the article draws on the concept of climatization, which captures the process through which domains of international politics are framed through a climate lens and transformed as a result of this translation. It suggests that climate change has become a dominant framing and an inescapable topic of international relations and that the UNSC debates follow a logic of expansion of climate politics by securing a steady climate agenda, attributing responsibility to the Council in the climate crisis, involving climate actors and advocating for climate-oriented policies to maintain international security.
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In: International peacekeeping, Band 26, Heft 3, S. 302-326
ISSN: 1743-906X
In: Études internationales, Band 49, Heft 1, S. 105-131
ISSN: 1703-7891
Depuis les années 1990, l'Onuproduit et diffuse un discours construisant l'environnement comme une menace contre la sécurité internationale. Ce processus de sécuritisation ne fait toutefois pas l'unanimité au sein d'une organisation internationale composée d'acteurs multiples aux stratégies différenciées. Quels sont les obstacles à la sécuritisation de l'environnement à l'Onu ? Que nous apprennent-ils du processus de sécuritisation ? Comment l'exemple onusien nous renseigne-t-il sur la relation entre sécuritisation et logiques institutionnelles ? Cet article vise à répondre à ces questions à partir du cas de la sécuritisation de l'environnement à l'Onu. Il dévoile les interactions entre logiques institutionnelles et sécuritisation, qu'il étudie à l'aune des obstacles rencontrés dans la construction discursive de la menace, dans la diffusion du cadrage sécuritaire et dans les pratiques de sécuritisation.
In: European journal of international security: EJIS, Band 3, Heft 3, S. 344-363
ISSN: 2057-5645
AbstractCreated in 1972, the United Nations Environment Programme (UNEP) has a normative mandate to promote the protection of the environment at the international level. However, since 1999, the organisation has been conducting field assessments in postconflict situations and addressing the role of natural resources in conflict, framing the environment as a security issue. To do so, the programme insists on its neutrality as a technical and 'apolitical' actor within the UN system. Considering depoliticisation as a political act, this article unpacks the concrete practices by which international organisations (IOs) enact depoliticisation. It further argues that IOs can perform securitising moves through practices and techniques presented as outside of the political realm. It draws upon the recent work on depoliticisation at the international level and reinforces studies considering the links between (de)politicisation and securitisation.
In: Revue française de science politique, Band 68, Heft 2, S. XX-XX
ISSN: 1950-6686
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 109, Heft 1, S. 105-114
In: Études internationales, Band 47, Heft 1, S. 57-80
ISSN: 1703-7891
À partir d'une enquête menée au sein des Départements des opérations de maintien de la paix et de l'appui aux missions de l'onu, cet article met en évidence un processus d'environnementalisation des opérations de maintien de la paix. Il procède d'une dynamique bottom-up s'inscrivant dans les préoccupations environnementales croissantes qui se développent sur le terrain et d'une logique top-down en se matérialisant par la mise en place, au secrétariat, d'une politique environnementale pour l'ensemble des missions. En dépit d'une mise en oeuvre inégale et d'un verdissement limité, l'appropriation de l'environnement par les Casques bleus répond à des objectifs stratégiques de mise à l'agenda de l'environnement auprès des acteurs sécuritaires et de rapprochement entre environnement et sécurité à l'onu.
In: Terrains, théories, Heft 5
ISSN: 2427-9188
In: Revue française de science politique, Band 66, Heft 3, S. XLVIII-XLVIII
ISSN: 1950-6686
À partir d'une enquête menée au sein des Départements des opérations de maintien de la paix et de l'appui aux missions de l'ONU, cet article met en évidence un processus d'environnementalisation des opérations de maintien de la paix. Il procède d'une dynamique bottom-up s'inscrivant dans les préoccupations environnementales croissantes qui se développent sur le terrain et d'une logique top-down en se matérialisant par la mise en place, au secrétariat, d'une politique environnementale pour l'ensemble des missions. En dépit d'une mise en œuvre inégale et d'un verdissement limité, l'appropriation de l'environnement par les Casques bleus répond à des objectifs stratégiques de mise à l'agenda de l'environnement auprès des acteurs sécuritaires et de rapprochement entre environnement et sécurité à l'ONU.
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A partir des conclusions tirées d'une recherche qualitative portant sur le travail onusien – analyse de la littérature grise, observation participante et entretiens –, ce chapitre met ainsi en évidence la trajectoire du concept de sécurité environnementale au sein de l'organisation, et dévoilerons comment les champs de la sécurité internationale et des politiques environnementales se rencontrent à l'ONU à travers les processus de sécurisation de l'environnement, d'une part, et ceux d'« environnementalisation » de la sécurité, d'autre part. Nous analysons, tout d'abord, la construction de l'environnement en tant qu'enjeu de sécurité dans le discours et dans les pratiques des institutions onusiennes, et montrerons ensuite comment la sécurité devient un sujet d'intérêt pour les politiques environnementales, à travers, notamment, l'empreinte écologique des activités militaires.
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Dès les premiers efforts de politisation des questions environnementales à l'international dans les années 1960 puis 1970, les Etats se sont divisés entre pays développés au Nord et pays en développement au Sud. Ces oppositions se retrouvent aujourd'hui dans les positions officielles des Etats membres au Conseil de sécurité, qui a discuté des implications sécuritaires du changement climatique à trois reprises depuis 2007. Or ce cas tend précisément à mettre en évidence la fragilité des alliances interétatiques classiques : l'introduction du changement climatique dans l'agenda du Conseil illustre ainsi une forme de reconfiguration du débat Nord-Sud.
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