Kechad, Hamid: Introduction: qui a tue nos enfants? - S. 9-14. Temoignages. - S. 17-51. Maougal, Mohamed Lakhdar: Les mots de la pacification. - S. 53-74. Ait Larbi, Mokrane: Lecture succinte portant loi sur la concorde civile. - S. 75-80. Agresseurs et agresses, la violence des chiffres. Point de vue d'un medecin legiste. - S. 81-85. Messaoudi, Khalida: Non-dits de la Loi. "Un peu d'amnistie, un peu de grace, un peu de remise de peine". - S. 87-94. Chronologie politique (de 1991 a 1998). - S. 95-197. Les attentats depuis Bouteflika (mars a decembre 1999). - S. 199-210. Chaffai-Salhi, Houria: "Oublier oui, pardonner peut-etre". - S. 211-221. (...) Saou, Mohand: Le contrat de Rome. - S. 257-265. (...) Benmansour, Latifa: Sur quelques contradictions dans le discours de M. Bouteflika. - S. 333-353. Bouhamidi, Mohamed: Anonymes. - S. 355-374. Melal, Arezki: Safia ("Maintenant, ils peuvent venir"). - S. 375-387
(...) Kadri, Ai͏ssa: Comparabilité et conditions de la comparabilité dans l'analyse des intellectuels maghrébins. - S. 33-40 Vermeren, Pierre: La mutation sociale de l'enseignement supérieur musulman sous le protectorat au Maroc: avènement d'une nouvelle légitimation universitaire de la classe dirigeante. - S. 43-60 Kadri, Ai͏ssa: Intellectuels algériens: aux fondements de la division. - S. 61-98 Chérif, Khadija: Itinéraires de familles d'uléma et d'intellectuels "modernes". - S. 99-111 Boukous, Ahmed: Mohammed Mokhtar Soussi, figure emblématique de la différence. - S. 113-128 Ayadi, Mohammed El: Abdessalam Yassine ou le poids des paradigmes dans le parcours d'un nouveau clerc. - S. 129-163 Chalabi, El-Hadi: Un juriste en quête de modernité, Benali Fekar. - S. 165-181 Smati, Mahfoud: Ibn Badis: un projet de renouveau. - S. 183-191 Merouche, Lemnouar: L'ancien et le nouveau dans l'ouvrage de Mbarak al-Mili: "Histoire de l'Algérie dans les temps anciens et modernes". - S. 193-201 Yelles, Mourad: Trois intellectuels maghrébins et la question du patrimoine: Saâdeddine Bencheneb, Mohamed El Fasi, Mostefa Lacheraf. - S. 203-216 Bouamrane, Samia: Trois tentatives d'intellectuels maghrébins pour allier tradition et modernité. - S. 217-229 Ouannès, Moncef: Elite et pouvoir en Libye: parcours, présence et participation. - S. 231-241 Lardjane, Omar: Esquisse/esquive d'un débat intellectuel sur la lai͏cité au sein du mouvement national algérien (1949). - S. 245-269 Marzouki, Ilhem: Intellectuels ou recrues? - S. 271-288 Mestari, Tayeb El-: Analyse socio-politique des intellectuels francophones algériens: problèmes d'approche théoriques. - S. 289-307 Rollinde, Marguerite: Les militant(e)s des droits de l'Homme et le discours sur les femmes au Maroc. - S. 309-320 Maougal, Mohammed: L'élite, la structure névrotique et la violence: trois noeuds conflictuels actuels majeurs: identités, identifications et histoire chez Kateb Yacine et Waciny Lârej. - S. 321-335 Lehtinen, Terhi: L'émergence d'un "intellectuel amazigh" au Maroc. - S. 337-344 Bouzid, Samir: L'intellectuel et l'image du héros civilisateur. - S. 345-353 Ossman, Susan: Parcours et partages: pérégrination sur le savoir pratique des anthropologues. - S. 355-363 Saaf, Abdallah: Des intellectuels "indépendants" au Maroc. - S. 365-375 Fates, Youcef: Intellectuels organiques et mobilisations par le sport. - S. 377-413 Gallissot, René: Conclusion: le débat caché sur la famille, la mixité et la religion: mise à la question de l'intellectuel maghrébin. - S. 415-426
Quelle transition démocratique pour quelle Algérie ? N'a pas la prétention d'âtre un manuel, donner des réponses définitives et/ou des solutions certaines. Cet ouvrage se veut une contribution au débat sur la question de la transition démocratique en cours dans le pays, lequel débat est et restera un sujet absolument inépuisable puisque, même dans les pays où elle constitue une donne politique incontournable, la démocratie demeure un processus indéfiniment perfectible tant, il est vrai, elle subit des flux et reflux récurrents. Néanmoins, Quelle transition démocratique pour quelle Algérie ? vise aussi à démontrer que la démocratie représente, malgré tout, à la fois un idéal structurant et une possibilité permanente de restructuration en fonction des évolutions et des contingences historiques des sociétés. (Présentation de l'éditeur)