Der andere Blick: FrauenLeben in Dinslaken
In: Dinslakener Beiträge zur Geschichte und Volkskunde 24
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In: Dinslakener Beiträge zur Geschichte und Volkskunde 24
In: Smith College studies in social work, Band 87, Heft 4, S. 340-344
ISSN: 1553-0426
In: H&V Journal, Band 65, Heft 4, S. 20-21
ISSN: 2192-8657
In: Recma: revue internationale de l' économie sociale, Heft 328, S. 63
ISSN: 2261-2599
Prochainement, le mouvement coopératif agricole à Cuba s'ouvrira à de nouvelles fonctions de service, d'approvisionnement, de commercialisation. Il ne concerne cependant jusqu'à présent que la production. De multiples formes coopératives y diffèrent par le niveau et les types de mises en commun des moyens de production. L'expérience de 50 ans de ces coopératives de production (et donc leur évolution sur plusieurs générations) est précieuse dans une activité comme l'agriculture où les investissements nécessitent des temps d'amortissement longs et posent des problèmes de transmission intergénérationnelle particuliers. Cette expérience peut-elle éclairer les innovations dans le secteur coopératif des CUMA en France (notamment CUMA intégrales) qui permettent de normaliser les conditions de travail des agriculteurs (temps de loisirs, insertion dans les dynamiques sociales hors agriculture.) en collectivisant le travail ?
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In: Cahiers des Ameriques Latines, Band 2011/2, Heft 67, S. 9-20
ISSN: 2268-4247
In: Administration: revue de l'administration territoriale de l'état, Heft 229, S. 153-154
ISSN: 0223-5439
In: Zeitschrift für die gesamte Versicherungswissenschaft, Band 96, Heft S1, S. 305-311
ISSN: 1865-9748
This country case study has been financed by the OECD Development Centre, in partnership with Korean authorities, for the preparation of its Rural Development Policy in Perspective. The collectivization process in agriculture led to disappointing economic results and to severe food crises at the end of the 1970s. The difficulty in developing economic diversification prompted the government to engage in a radical policy shift, the Doï Moï, and to launch the renovation of the economy with a move towards a market-oriented economy. For long, rural development policies did not exist, as such. A specific rural development strategy, going beyond the classic agricultural objectives, emerged in 2007 and translated into the New Rural Development Program (NTP-NRD). The program put emphasis on three elements: a willingness to mobilize rural communities, and thus to support local initiatives through public investments; the objective of limiting urban–rural disparities through multidimensional policies (economic and social); and strong commitment from the government at the different administrative levels. The country was able to adapt to the challenges of globalization, although the cost is rising in social and spatial inequalities. To deal with the growing costs of urbanization and the challenges of climate change, the long-standing tradition of top-down approaches will have to connect with necessary bottom-up processes.
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This country case study has been financed by the OECD Development Centre, in partnership with Korean authorities, for the preparation of its Rural Development Policy in Perspective. Agriculture has played a critical role in Thai development trajectory and was for long a focus of government's efforts. It has supported industrial development through transfers of labour and capital, and with a downstream strategy promoting the transformation of products. It resulted in the emergence of national champions with large agro-businesses. The progressive integration of overall rural development objectives into the policy agenda occurred in parallel with an effective and continuous effort towards the improvement of living conditions in rural areas and human development. Thailand has a good record in terms of access to basic services due to a continuous investment in rural infrastructure (roads, water and electricity) education and health. However, rural–urban disparities, as well as lagging regions, remain a critical issue for the government. More has to be done than providing compensatory measures, and new, integrated and place-based strategies need to be designed in order to address the existing challenges related to mega-urbanisation, food safety issues and new consumers' requirements, climate change, and the degradation of the natural environment. The necessary policy shift raises the question of effective decentralisation and the need to strengthen local governments.
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In: Advances in Anthropology: AA, Band 5, Heft 4, S. 183-204
ISSN: 2163-9361
Il est aujourd'hui impossible de dénombrer les agricultures familiales de manière précise, car il n'existe pas de définition standardisée permettant de renseigner les systèmes statistiques nationaux. Pour autant, il n'y a pas de risque à affirmer que l'essentiel de l'agriculture mondiale repose sur elles : les agricultures familiales représentent des poids démographiques et économiques majeurs dans les pays en développement et en transition. Nous proposons d'abord de définir l'agriculture familiale en positif et comparativement à d'autres formes d'organisation de la production agricole, notamment les formes patronales et entrepreneuriales. Notre argumentaire part des limites des dénominations usuelles fondées sur la taille, les rationalités, les orientations stratégiques ou encore les statuts légaux. Notre définition relève du registre cognitif et ambitionne aussi d'en une catégorie statistique robuste ; elle tente ainsi de s'affranchir des ambiguïtés des définitions usuelles mobilisées dans des enceintes militantes et politiques. Si une définition générique est utile pour préciser et débattre des représentations, il importe de prendre compte deux sources principales de diversité qui s'expriment l'une au niveau " micro " des exploitations agricoles par une variété de types pouvant reposer sur un nombre réduit de critères, l'autre au niveau macro qui caractérise les trajectoires économiques structurelles des économies. Ces diversités rendent illusoire une généralisation des problématiques. Cependant, quatre grands thèmes nous semblent emblématiques des enjeux actuels : le travail et l'emploi, l'accès aux ressources, les manières de produire et enfin la sécurité alimentaire. En premier lieu, dans les situations où l'agriculture mobilise encore la majorité des actifs, et où la population agricole continuera à croître pendant quelques décades, la question de la création d'emplois dans l'agriculture est cruciale. En effet, contrairement à d'autres situations historiques, l'émigration n'est pas une option généralisable, et les autres secteurs de l'économie ne sont pas toujours en mesure d'absorber les jeunes ruraux (les capacités d'absorption hors agriculture dépendent du degré de diversification des économies). L'agriculture familiale aura donc un rôle crucial à jouer à condition qu'elle soit en mesure de fournir des emplois rémunérateurs et attractifs. Elle devra être accompagnée par des politiques publiques permettant des conditions de vie décentes en milieu rural. Un second enjeu fort pour l'agriculture familiale dans les pays en développement concerne la sécurisation de l'accès aux ressources et en premier lieu au foncier, quelles qu'en soient les formes. Afin de préserver le potentiel d'emploi des agricultures familiales, cette sécurisation du foncier passe aussi par une régulation de l'accès au foncier pour les entreprises agricoles, notamment celles à base de capitaux extérieurs qui reposent généralement sur des systèmes techniques fortement mécanisés. En troisième lieu, et notamment là où l'intensification agricole a été fortement développée, les questions d'impacts environnementaux et de santé publique (pour les producteurs et les consommateurs) se posent de manière cruciale. Maladies professionnelles, scandales sanitaires, pollution des écosystèmes, érosion de la biodiversité cultivée et des ressources naturelles de qualité, imposent de revoir les modalités de l'intensification, mais aussi de la transformation et de la mise en marché des produits. Enfin, la place et le rôle de l'agriculture familiale dans ne peuvent être appréhendés et mesurés sans prendre en compte les dimensions marchandes mais aussi non marchandes de la sécurité alimentaire. Si le marché a sa place, d'autres formes de coordination sont essentielles et méritent l'attention des politiques : l'autoconsommation, les échanges de travail fondés sur la réciprocité et les mécanismes de solidarité familiaux et communautaires jouent un rôle fondamental dans la s
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In: Stadtgeschichte Dinslaken, Quellen und Forschungen Band 1
The concept of ecosystem services – benefits supplied to human societies by ecosystems- is a fast spreading concept, both in scientific and political arenas. Because of this success, this concept is more and more used as a robust and stabilised concept, with a lack of recognition of the high uncertainties associated with it. This paper first highlights the scientific uncertainties concerning the socio-ecological dynamics of production of services. In many cases, scientific have no certainties about the cause-effect relationships between the state of an ecosystem and the effective production of a service, either because of a lack of knowledge on these relationships, either because the complex systems under study are by their nature unpredictable. The paper also underlines the importance of societal uncertainties associated with ecosystem services, due to the existence of diverse and sometimes contradictory perceptions among stakeholders, about the concept of service and the framing of human-nature relationships, and about the governance devices and tools using this concept, such as payments for environmental services. Based on a literature review, this papers shows that several communities of researchers take scientific uncertainties into account, but very few deal with societal uncertainties. We emphasize the need to develop methods aimed at confronting and integrating the diversity of stakeholders' perceptions, interests and knowledge about ecosystem services and their dynamics, seeing trade-offs among ecosystem services as explicit collective and concerted choices. ; Le concept de service écosystémique – idée de services fournis par les écosystèmes à l'humanité- connaît aujourd'hui un succès exponentiel, tant dans les sphères scientifiques que politiques. Mais du fait de ce succès, ce concept est de plus en plus considéré comme un acquis, sans que soient reconnues et prises en compte les fortes incertitudes qui lui sont associées. Cet article souligne d'abord les incertitudes scientifiques qui portent sur les ...
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Le concept de service écosystémique - idée de services fournis par les écosystèmes à l'humanité - connaît aujourd'hui un succès exponentiel, tant dans les sphères scientifiques que politiques. Mais du fait de ce succès, ce concept est de plus en plus considéré comme un acquis, sans que soient reconnues et prises en compte les fortes incertitudes qui lui sont associées. Cet article souligne d'abord les incertitudes scientifiques qui portent sur les dynamiques sous-jacentes à la production des services. En effet, dans de nombreuses situations, les scientifiques ne sont pas en mesure d'énoncer avec certitude des relations de cause à effet entre l'état d'un écosystème et la fourniture effective d'un service, soit parce que les connaissances sont insuffisantes, soit parce que les systèmes considérés sont par nature imprédictibles. L'article souligne ensuite l'importance des incertitudes sociétales associées à ce concept, c'est-à-dire l'existence de perceptions différenciées, voire contradictoires, avec des controverses d'une part autour du concept même de service et de la place de l'homme dans les écosystèmes, et d'autre part autour des dispositifs de gouvernance issus de ce concept, tels que les paiements pour services environnementaux. À partir d'une revue de la littérature, cet article montre que si les incertitudes scientifiques associées au concept de service écosystémique sont relativement reconnues et prises en compte, les incertitudes sociétales le sont beaucoup moins. Il semble nécessaire de développer des démarches fondées sur la confrontation et l'intégration des points de vue, des intérêts et des connaissances des différents acteurs sur les services et leurs dynamiques, pour que les arbitrages (trade-offs) entre services soient l'objet de choix collectifs explicitement négociés.
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