The Impacts of Japanese Food Losses and Food Waste on Global Natural Resources and Greenhouse Gas Emissions
In: Journal of Industrial Ecology, Volume 23, Issue 5, p. 1196-1210
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In: Journal of Industrial Ecology, Volume 23, Issue 5, p. 1196-1210
SSRN
In: Economia: revista da ANPEC, Volume 22, Issue 3, p. 291-313
ISSN: 2358-2820
In: Climate policy, Volume 16, Issue sup1, p. S63-S77
ISSN: 1752-7457
In: Palgrave Communications, Volume 2
SSRN
In: Climate policy, Volume 8, Issue sup1, p. S108-S124
ISSN: 1752-7457
In: Ecology and society: E&S ; a journal of integrative science for resilience and sustainability, Volume 10, Issue 2
ISSN: 1708-3087
This study assesses Japan's mid-century low-emission pathways using both national and global integrated assessment models in the common mitigation scenario framework, based on the carbon budgets corresponding to the global 2 °C goal. We examine high and low budgets, equal to global cumulative 1600 and 1000 Gt-CO2 (2011–2100) for global models, and 36 and 31 Gt-CO2 (2011–2050) in Japan for national models, based on the cost-effectiveness allocation performed by the global models. The impacts of near-term policy assumption, including the implementation and enhancement of the 2030 target of the nationally determined contribution (NDC), are also considered. Our estimates show that the low budget scenarios require a 75% reduction of CO2 emissions by 2050 below the 2010 level, which is nearly the same as Japan's governmental 2050 goal of reducing greenhouse gas emissions by 80%. With regard to near-term actions, Japan's 2030 target included in the NDC is on track to meet the high budget scenario, whereas it is falling short for the low budget scenario, which would require emission reductions immediately after 2020. Whereas models differ in the type of energy source on which they foresee Japan basing its decarbonization process (e.g., nuclear- or variable renewable energy-dependent), the large-scale deployment of low-carbon energy (nuclear, renewable, and carbon capture and storage) is shared across most models in both the high and low budget scenarios. By 2050, low-carbon energy represents 44–54% of primary energy and 86–97% of electricity supply in the high and low budget scenarios, respectively. © 2019, The Author(s).
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Governments worldwide have agreed that international climate policy should aim to limit the increase of global mean temperature to less than 2oC with respect to pre-industrial levels. The purpose of this paper is to analyse the emission reductions and related energy system changes in various countries in pathways consistent with the 2oC target. We synthesize and provide an overview of the national and regional information contained in different scenarios from various global models published over the last few years, as well as yet unpublished scenarios submitted by modelling teams participating in the MILES project (Modelling and Informing Low-Emission Strategies). We find that emissions in the mitigation scenarios are significantly reduced in all regions compared to the baseline without climate policies. The regional cumulative CO2 emissions show on average a 76% reduction between the baseline and 450 scenario. The 450 scenarios show a reduction of primary energy demand in all countries of roughly 30-40% compared to the baseline. In the baseline scenario, the contribution of low-carbon energy technology remains around 15%, i.e. similar as today. In the mitigation scenario, these numbers are scaled up rapidly towards 2050. Looking at air quality, sulphur dioxide and black carbon emissions are strongly reduced as a co-benefit of greenhouse gas emission reductions, in both developing and developed countries. However, black carbon emissions increase in countries that strongly rely on bioenergy to reach mitigation targets. Concerning energy security, energy importing countries generally experience a decrease in net-energy imports in mitigation scenarios compared to the baseline development, while energy exporters experience a loss of energy export revenues.
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Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies ...
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Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies de décarbonation sont indispensables pour informer les feuilles de route portant sur les choix de long terme, évitant ainsi des situations de blocage (lock-in), notamment technologiques, pouvant in fine freiner l'action climatique et en retarder ses effets.
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