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The Law of 11 February 2005 for persons with disabilities requires municipalities or their public inter-municipal cooperation institutions to draw up plans for the accessibility of roads and public spaces within three years from the date of publication of the implementing decree of 21 December 2006. These plans must form an integral part of urban transport plans where they exist. Conversely, the plan must take account of the provisions of the urban transport plan and the local transport plan, if any. This new provision reinforces the importance of the link between roads and public spaces in the travel chain. The question arises as to its content, the scope of the plan, the way in which it is drawn up and its scope chosen. At the request of CERTU, CETE Nord Picardie conducted an experiment with the agglomeration of Valenciennes in order to develop a diagnostic method involving the various local actors. This agglomeration was in the interest of having carried out a major refurbishment around the tramway line project with a strong mobilisation of a group of associations of people with disabilities. The cross-cutting approach was based on information sources such as urban planning documents, the PLU's PADD, road safety data and parking facilities. A survey was carried out to find out about the displacement practices of persons with disabilities. The diagnostic phase then consisted of defining routes, distinguishing between modes of travel — walking alone, car walking, public transport walking. The collection of data was carried out with a view to developing a Geographical Information System (GIS), a shared management tool. As a real project approach, this experiment shows how a step-by-step approach can be developed, thus helping to identify ways of drawing up plans for the accessibility of roads and the development of public spaces. It also highlights the fact that the stage of presentation of the diagnosis and ownership of the issues by the various actors in the city or agglomeration is essential, even if it takes ...

, following the CODOR meeting of 12 June 1997, set up a steering group by the Urban Planning Department. The group consisted of the following members of CODOR: P. MASSINI of FNSEM, J.P. PORTEFAIT of SFU, M. BELLIOT de la FNAU, P. MFA XAMBEU; and representatives of DGUHC, DR, CETE Nord Picardie and COP. The aim of the group was to advance the methods and conduct of studies on the basis of the parallel examination of urban policies in two medium-sized cities, Compiègne and St Orner. For each agglomeration, a retrospective analysis of the most prominent studies and approaches carried out in 15-20 years has been carried out, followed by an identification of the reference system to which these studies follow. Finally, by comparison, the conditions and factors for the success of the approaches and studies carried out in these two agglomerations were highlighted. In addition to the results of this work, two avenues for continuing this work are proposed: — use the method of analysis to take advantage of it in the context of the reflection provided for in the CERTU 1999 work programme on territorial diagnosis; — use the content of the monographs on indicators and the reference system in the context of the ACTOR programme (Analysis Concerted on Transformations and Urbains Equilibres). In both cases, a technical approach based on indicators or scenarios is not perceived, which looks at policy coherence or the degree of integration as defined by CERTU. There is no instrumentation in the observation of urban mechanisms and in the orientation or reorientation of the territorial project. The coherence or quality of integration of studies and planning approaches is based on permanent objectives and appropriate partnership strategies, not on technical rationality. ; A la suite du CODOR du 12 juin 1997 un groupe de pilotage a été mis en place par le département Urbanisme. Ce groupe se composait des membres du CODOR suivants : P. MASSINI de la FNSEM, J .P. PORTEFAIT de la SFU, M . BELLIOT de la FNAU, P . XAMBEU de l'AMF ; ainsi ...

, following the CODOR meeting of 12 June 1997, set up a steering group by the Urban Planning Department. The group consisted of the following members of CODOR: P. MASSINI of FNSEM, J.P.PORTEFAIT of SFU, M. BELLIOT de la FNAU, P. MFA XAMBEU; as well as representatives of DGUHC, DR, CETE Nord Picardie and COP.The group's objective was to advance the methods and conduct of studies on the basis of the parallel examination of urban policies carried out in two medium-sized cities, Compiègne and St Orner.For each agglomeration, a retrospective analysis of the most significant studies and approaches carried out in the past 15-20 years, followed by an identification of the reference system to which these studies follow. Lastly, a comparison has been made of the conditions and factors for the success of the approaches and studies carried out in these two agglomerations.In addition to the results of this work, two avenues are proposed for continuing it: — use the method of analysis to take advantage of it in the context of the discussion provided for in the CERTU 1999 work programme on territorial diagnosis; — make use of the content of the monographs on indicators and the reference system in the context of the ACTEUR programme (Analysis of Transformations and Urbains Equilibres). In both cases, a technical approach based on indicators or scenarios is not perceived, which looks at policy coherence or the degree of integration as defined by CERTU. There is no instrumentation in the observation of urban mechanisms and in the orientation or reorientation of the territorial project. The coherence or quality of integration of studies and planning approaches is based on permanent objectives and appropriate partnership strategies, not on technical rationality. ; A la suite du CODOR du 12 juin 1997 un groupe de pilotage a été mis en place par le département Urbanisme. Ce groupe se composait des membres du CODOR suivants : P. MASSINI de la FNSEM, J .P.PORTEFAIT de la SFU, M . BELLIOT de la FNAU, P . XAMBEU de l'AMF ; ainsi que des ...

A la suite du CODOR du 12 juin 1997 un groupe de pilotage a été mis en place par le département Urbanisme. Ce groupe se composait des membres du CODOR suivants : P. MASSINI de la FNSEM, J .P.PORTEFAIT de la SFU, M . BELLIOT de la FNAU, P . XAMBEU de l'AMF ; ainsi que des représentants de la DGUHC, de la DR, du CETE Nord Picardie et du département COP.L'objectif du groupe était de faire avancer les méthodes et conduite des études à partir de l'examen en parallèle des politiques urbaines menées sur deux villes moyennes, Compiègne et St Orner.Pour chaque agglomération ont été conduites, une analyse rétrospective des études et démarches les plus marquantes menées depuis 15-20 ans, puis une identification du système de référence auquel ces études obéissent. Enfin par comparaison ont été mis en évidence les conditions et facteurs de réussite des démarches et études menées dans ces deux agglomérations.Au-delà des résultats de ce travail, deux pistes sont proposées pour le poursuivre :- utiliser la méthode d'analyse pour en tirer parti dans le cadre de la réflexion prévue au programme de travail du CERTU 1999 sur le diagnostic territorial ;- exploiter le contenu des monographies sur les indicateurs et le système de référence dans le cadre du programme ACTEUR (Analyse Concertée des Transformations et des Equilibres Urbains). Dans les deux cas, on ne perçoit pas une démarche technique à partir d'indicateurs ou de scénarios, qui instruise sur la cohérence des politiques menées ou sur le degré d'intégration au sens défini par le CERTU . Il n'y a pas d'instrumentation dans l'observation des mécanismes urbains et dans l'orientation ou la réorientation du projet territorial . La cohérence ou la qualité d'intégration des études et démarches d'aménagement se fonde sur des objectifs permanents et des stratégies partenariales adaptées, non sur des dispositifs faisant appel à une certaine rationalité technique.

A la suite du CODOR du 12 juin 1997 un groupe de pilotage a été mis en place par le département Urbanisme. Ce groupe se composait des membres du CODOR suivants : P. MASSINI de la FNSEM, J .P.PORTEFAIT de la SFU, M . BELLIOT de la FNAU, P . XAMBEU de l'AMF ; ainsi que des représentants de la DGUHC, de la DR, du CETE Nord Picardie et du département COP. L'objectif du groupe était de faire avancer les méthodes et conduite des études à partir de l'examen en parallèle des politiques urbaines menées sur deux villes moyennes, Compiègne et St Orner.Pour chaque agglomération ont été conduites, une analyse rétrospective des études et démarches les plus marquantes menées depuis 15-20 ans, puis une identification du système de référence auquel ces études obéissent. Enfin par comparaison ont été mis en évidence les conditions et facteurs de réussite des démarches et études menées dans ces deux agglomérations.Au-delà des résultats de ce travail, deux pistes sont proposées pour le poursuivre :- utiliser la méthode d'analyse pour en tirer parti dans le cadre de la réflexion prévue au programme de travail du CERTU 1999 sur le diagnostic territorial ;- exploiter le contenu des monographies sur les indicateurs et le système de référence dans le cadre du programme ACTEUR (Analyse Concertée des Transformations et des Equilibres Urbains). Dans les deux cas, on ne perçoit pas une démarche technique à partir d'indicateurs ou de scénarios, qui instruise sur la cohérence des politiques menées ou sur le degré d'intégration au sens défini par le CERTU . Il n'y a pas d'instrumentation dans l'observation des mécanismes urbains et dans l'orientation ou la réorientation du projet territorial . La cohérence ou la qualité d'intégration des études et démarches d'aménagement se fonde sur des objectifs permanents et des stratégies partenariales adaptées, non sur des dispositifs faisant appel à une certaine rationalité technique.

A la suite du CODOR du 12 juin 1997 un groupe de pilotage a été mis en place par le département Urbanisme. Ce groupe se composait des membres du CODOR suivants : P. MASSINI de la FNSEM, J .P. PORTEFAIT de la SFU, M . BELLIOT de la FNAU, P . XAMBEU de l'AMF ; ainsi que des représentants de la DGUHC, de la DR, du CETE Nord Picardie et du département COP. L'objectif du groupe était de faire avancer les méthodes et conduite des études à partir de l'examen en parallèle des politiques urbaines menées sur deux villes moyennes, Compiègne et St Orner. Pour chaque agglomération ont été conduites, une analyse rétrospective des études et démarches les plus marquantes menées depuis 15-20 ans, puis une identification du système de référence auquel ces études obéissent. Enfin par comparaison ont été mis en évidence les conditions et facteurs de réussite des démarches et études menées dans ces deux agglomérations. Au-delà des résultats de ce travail, deux pistes sont proposées pour le poursuivre : - utiliser la méthode d'analyse pour en tirer parti dans le cadre de la réflexion prévue au programme de travail du CERTU 1999 sur le diagnostic territorial ; - exploiter le contenu des monographies sur les indicateurs et le système de référence dans le cadre du programme ACTEUR (Analyse Concertée des Transformations et des Equilibres Urbains). Dans les deux cas, on ne perçoit pas une démarche technique à partir d'indicateurs ou de scénarios, qui instruise sur la cohérence des politiques menées ou sur le degré d'intégration au sens défini par le CERTU . Il n'y a pas d'instrumentation dans l'observation des mécanismes urbains et dans l'orientation ou la réorientation du projet territorial . La cohérence ou la qualité d'intégration des études et démarches d'aménagement se fonde sur des objectifs permanents et des stratégies partenariales adaptées, non sur des dispositifs faisant appel à une certaine rationalité technique.

Dans les deux cas, on ne perçoit pas une démarche technique à partir d'indicateurs ou de scénarios, qui instruise sur la cohérence des politiques menées ou sur le degré d'intégration au sens défini par le CERTU . Il n'y a pas d'instrumentation dans l'observation des mécanismes urbains et dans l'orientation ou la réorientation du projet territorial . La cohérence ou la qualité d'intégration des études et démarches d'aménagement se fonde sur des objectifs permanents et des stratégies partenariales adaptées, non sur des dispositifs faisant appel à une certaine rationalité technique.

A la suite du CODOR du 12 juin 1997 un groupe de pilotage a été mis en place par le départementUrbanisme. Ce groupe se composait des membres du CODOR suivants : P. MASSINI de la FNSEM, J .P.PORTEFAIT de la SFU, M . BELLIOT de la FNAU, P . XAMBEU de l'AMF ; ainsi que des représentants de laDGUHC, de la DR, du CETE Nord Picardie et du département COP.L'objectif du groupe était de faire avancer les méthodes et conduite des études à partir de l'examen enparallèle des politiques urbaines menées sur deux villes moyennes, Compiègne et St Orner.Pour chaque agglomération ont été conduites, une analyse rétrospective des études et démarches les plusmarquantes menées depuis 15-20 ans, puis une identification du système de référence auquel ces étudesobéissent. Enfin par comparaison ont été mis en évidence les conditions et facteurs de réussite desdémarches et études menées dans ces deux agglomérations.Au-delà des résultats de ce travail, deux pistes sont proposées pour le poursuivre :- utiliser la méthode d'analyse pour en tirer parti dans le cadre de la réflexion prévue au programme de travaildu CERTU 1999 sur le diagnostic territorial ;- exploiter le contenu des monographies sur les indicateurs et le système de référence dans le cadre duprogramme ACTEUR (Analyse Concertée des Transformations et des Equilibres Urbains). Dans les deux cas, on ne perçoit pas une démarche technique à partir d'indicateurs ou de scénarios, quiinstruise sur la cohérence des politiques menées ou sur le degré d'intégration au sens défini par le CERTU . Iln'y a pas d'instrumentation dans l'observation des mécanismes urbains et dans l'orientation ou la réorientationdu projet territorial . La cohérence ou la qualité d'intégration des études et démarches d'aménagement sefonde sur des objectifs permanents et des stratégies partenariales adaptées, non sur des dispositifs faisantappel à une certaine rationalité technique.