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Defense of the Baltic gained unprecedented prominence in the West after 2014. The West's East presents a historical-strategic perspective on the region's 800 year geopolitical significance and applies strategic theory to analyze the contemporary strategic balance and potential dynamics of armed conflict between the West and Russia over the Baltic

In strategic studies and international relations, grand strategy is a frequently-invoked concept. Yet, despite its popularity, it is not well understood and it has many definitions, some of which are even mutually contradictory. This state of affairs undermines its usefulness for scholars and practitioners alike. Lukas Milevski aims to remedy this situation by offering a conceptual history of grand strategy in the English language, analysing its evolution from 1805 to the present day in the writings of its major proponents

Colin S. Gray distinguished himself from other scholars in the field of strategic studies with his belief that grand strategy is indispensable, complex, and inherently agential. This article identifies key themes, continuities, conceptual relationships, and potential discontinuities from his decades of grand strategic thought. Gray's statement that "all strategy is grand strategy" remains highly relevant today, emphasizing the importance of agential context in military environments—a point often neglected in strategic practice.

La problématique de la fiabilité de l'OTAN en tant qu'alliance militaire, et en particulier de sa clause de défense collective, l'article 5, est redevenue un sujet de préoccupation important, notamment dans le contexte de la défense balte. Dans ce cas, il est essentiel de reconnaître que l'engagement est de défendre, et non de dissuader ou de prétendre à dissuader. La fiabilité elle-même est difficile à déterminer car il s'agit d'une caractéristique interne qui ne peut être interprétée que par d'autres comme une crédibilité, mais dont l'essentiel est la volonté politique intrinsèque plutôt que toute mesure purement militaire. On peut comparer les expériences des États membres de l'OTAN depuis 2014 en ce qui concerne les actions visant à renforcer la défense balte et les relations entre les États et la Russie. Sur la base de la politique des États membres depuis 2014, les États-Unis semblent rester fiables malgré Trump, alors que les principaux alliés européens se sont révélés beaucoup plus décevants et potentiellement peu fiables.