National audience ; La perception de l'oeuvre d'art n'est pas simplement affaire d'une culture de la représentation. Elle détermine également une manière d'être au monde qui est une manière de travailler les sensations du monde. Elle conditionne une expérience du sensible du réel du monde. L'art n'est donc plus une activité innocente et indépendante d'une politique du monde. Le problème réside dans ce qui, dans l'art, réévalue la possibilité d'une représentation du réel du monde.
National audience ; La perception de l'oeuvre d'art n'est pas simplement affaire d'une culture de la représentation. Elle détermine également une manière d'être au monde qui est une manière de travailler les sensations du monde. Elle conditionne une expérience du sensible du réel du monde. L'art n'est donc plus une activité innocente et indépendante d'une politique du monde. Le problème réside dans ce qui, dans l'art, réévalue la possibilité d'une représentation du réel du monde.
National audience ; La perception de l'oeuvre d'art n'est pas simplement affaire d'une culture de la représentation. Elle détermine également une manière d'être au monde qui est une manière de travailler les sensations du monde. Elle conditionne une expérience du sensible du réel du monde. L'art n'est donc plus une activité innocente et indépendante d'une politique du monde. Le problème réside dans ce qui, dans l'art, réévalue la possibilité d'une représentation du réel du monde.
National audience ; La perception de l'oeuvre d'art n'est pas simplement affaire d'une culture de la représentation. Elle détermine également une manière d'être au monde qui est une manière de travailler les sensations du monde. Elle conditionne une expérience du sensible du réel du monde. L'art n'est donc plus une activité innocente et indépendante d'une politique du monde. Le problème réside dans ce qui, dans l'art, réévalue la possibilité d'une représentation du réel du monde.
International audience ; L'écriture philosophique est recherche d'une texture des concepts, d'une manière de faire que s'entrelacent concepts et états du monde. Elle cherche donc à produire une continuité et une homogénéité - ce sont les caractéristiques du système avec les contraintes logiques internes propres à la conceptualisation. Cette exigence de continuité et d'homogénéité fut considérée, dans le champ philosophique, comme la manifestation d'un désir d'unité-totalité. La lecture proposée procède d'une autre perspective sur la philosophie, elle touche aux formes fragmentaires comme dissipant cette perspective de continuité et d'homogénéité. Peut-être pour qualifier cela, faut-il reprendre le mot de Benjamin sur les idées comme constellation. Quelque chose est vécue comme une contrainte nécessaire (pour Walter Benjamin) ; quelque chose est devenue une nécessité contraignante, un travail, voire une besogne (pour Maurice Blanchot). Cette besogne n'est pas celle de la reprise de la philosophie comme système puisque le système est devenu indéterminable - que ce soit par le dire d'une fin de l'histoire (de Kant à Hegel, Marx) ou par le dire d'une finalité historique (de Nietzsche à Heidegger). Ne reste que la possibilité d'avoir à se " coltiner " les déterminations éparses de concepts, des blocs de résistance éprouvée du réel - la multiplicité sans l'unité.
International audience ; L'écriture philosophique est recherche d'une texture des concepts, d'une manière de faire que s'entrelacent concepts et états du monde. Elle cherche donc à produire une continuité et une homogénéité - ce sont les caractéristiques du système avec les contraintes logiques internes propres à la conceptualisation. Cette exigence de continuité et d'homogénéité fut considérée, dans le champ philosophique, comme la manifestation d'un désir d'unité-totalité. La lecture proposée procède d'une autre perspective sur la philosophie, elle touche aux formes fragmentaires comme dissipant cette perspective de continuité et d'homogénéité. Peut-être pour qualifier cela, faut-il reprendre le mot de Benjamin sur les idées comme constellation. Quelque chose est vécue comme une contrainte nécessaire (pour Walter Benjamin) ; quelque chose est devenue une nécessité contraignante, un travail, voire une besogne (pour Maurice Blanchot). Cette besogne n'est pas celle de la reprise de la philosophie comme système puisque le système est devenu indéterminable - que ce soit par le dire d'une fin de l'histoire (de Kant à Hegel, Marx) ou par le dire d'une finalité historique (de Nietzsche à Heidegger). Ne reste que la possibilité d'avoir à se " coltiner " les déterminations éparses de concepts, des blocs de résistance éprouvée du réel - la multiplicité sans l'unité.
International audience ; L'écriture philosophique est recherche d'une texture des concepts, d'une manière de faire que s'entrelacent concepts et états du monde. Elle cherche donc à produire une continuité et une homogénéité - ce sont les caractéristiques du système avec les contraintes logiques internes propres à la conceptualisation. Cette exigence de continuité et d'homogénéité fut considérée, dans le champ philosophique, comme la manifestation d'un désir d'unité-totalité. La lecture proposée procède d'une autre perspective sur la philosophie, elle touche aux formes fragmentaires comme dissipant cette perspective de continuité et d'homogénéité. Peut-être pour qualifier cela, faut-il reprendre le mot de Benjamin sur les idées comme constellation. Quelque chose est vécue comme une contrainte nécessaire (pour Walter Benjamin) ; quelque chose est devenue une nécessité contraignante, un travail, voire une besogne (pour Maurice Blanchot). Cette besogne n'est pas celle de la reprise de la philosophie comme système puisque le système est devenu indéterminable - que ce soit par le dire d'une fin de l'histoire (de Kant à Hegel, Marx) ou par le dire d'une finalité historique (de Nietzsche à Heidegger). Ne reste que la possibilité d'avoir à se " coltiner " les déterminations éparses de concepts, des blocs de résistance éprouvée du réel - la multiplicité sans l'unité.
International audience ; L'écriture philosophique est recherche d'une texture des concepts, d'une manière de faire que s'entrelacent concepts et états du monde. Elle cherche donc à produire une continuité et une homogénéité - ce sont les caractéristiques du système avec les contraintes logiques internes propres à la conceptualisation. Cette exigence de continuité et d'homogénéité fut considérée, dans le champ philosophique, comme la manifestation d'un désir d'unité-totalité. La lecture proposée procède d'une autre perspective sur la philosophie, elle touche aux formes fragmentaires comme dissipant cette perspective de continuité et d'homogénéité. Peut-être pour qualifier cela, faut-il reprendre le mot de Benjamin sur les idées comme constellation. Quelque chose est vécue comme une contrainte nécessaire (pour Walter Benjamin) ; quelque chose est devenue une nécessité contraignante, un travail, voire une besogne (pour Maurice Blanchot). Cette besogne n'est pas celle de la reprise de la philosophie comme système puisque le système est devenu indéterminable - que ce soit par le dire d'une fin de l'histoire (de Kant à Hegel, Marx) ou par le dire d'une finalité historique (de Nietzsche à Heidegger). Ne reste que la possibilité d'avoir à se " coltiner " les déterminations éparses de concepts, des blocs de résistance éprouvée du réel - la multiplicité sans l'unité.