In: Ecotoxicology and environmental safety: EES ; official journal of the International Society of Ecotoxicology and Environmental safety, Band 218, S. 112276
In: Ecotoxicology and environmental safety: EES ; official journal of the International Society of Ecotoxicology and Environmental safety, Band 103, S. 82-90
Gold mining activities in fluvial systems may cause arsenic (As) pollution, as is the case at the Anllóns River (Galicia, NW Spain), where high concentrations of arsenate (AsV) in surface sediments (up to 270 mg kg−1) were found. A 51 day-long biofilm-translocation experiment was performed in this river, moving some biofilm-colonized substrata from upstream (less As-polluted) to downstream the mine area (more As-polluted site), to explore the effect of As on benthic biofilms, as well as their role on As retention and speciation in the water-sediment interface. Eutrophic conditions (range: 0.07–0.38 mg L−1 total phosphorus, TP) were detected in water in both sites, while sediments were not considered P-polluted (below 600 mg kg−1). Dimethylarsenate (DMAV) was found intracellularly and in the river water, suggesting a detoxification process by biofilms. Since most As in sediments and water was AsV, the high amount of arsenite (AsIII) detected extracellularly may also confirm AsV reduction by biofilms. Furthermore, translocated biofilms accumulated more As and showed higher potential toxicity (higher As/P ratio). In concordance, their growth was reduced to half that observed in those non-translocated, became less nutritive (less nitrogen content), and with higher bacterial and dead diatom densities. Besides the high As exposure, other environmental conditions such as the higher riparian cover at the more As-polluted site could contribute to those effects. Our study provides new arguments to understand the contribution of microorganisms to the As biogeochemistry in freshwater environments ; This work was supported by the Spanish Ministry of Economy and Competitiveness (Project Ref. CGL2010-22059, CGL2013-46003-P and CGL2013-43822-R), the University of Girona (Project Ref. SING12/09 and MPCUdG2016/120) and the Government of Catalonia (Project Ref. 2014 SGR 484). Laura Barral Fraga benefited from a doctoral fellowship from the University of Girona (BR 2013/06) and a mobility grant from the Institut national de ...
Les principaux objectifs de ce projet pluridisciplinaire et interrégional étaient les suivants : - Détermination des zones à risque de pollution par des indicateurs agroenvironnementaux spatialisés suivant la vulnérabilité des milieux, la pression exercée par les acteurs et adaptés aux changements entre les différentes échelles, permettant la déclinaison de programmes d'intervention les plus efficaces : de la politique générale à la mesure de pratique technique à la parcelle. - Caractérisation de l'ambiance chimique siégeant dans les cours d'eau de la zone d'étude par différents principes de mesure et d'échantillonnage plus ou moins intégrateurs, incluant la mise à l'épreuve des capteurs passifs de pesticides (POCIS). - Modélisation des flux géochimiques observés sur les versants (essentiellement nutriments et pesticides) qui doit permettre de mieux affecter la part de la pollution résultant de l'activité agricole. - Appréciation des impacts environnementaux dans les milieux aquatiques à l'aide de bio-indicateurs révélateurs du niveau global de pollution, mais aussi de descripteurs rendant plus spécifiquement compte des effets des pollutions par les produits phytosanitaires (compartiments invertébrés, diatomées, poissons). L'objectif sur ce volet consiste à générer une modélisation des relations entre les descripteurs d'état des cours d'eau et les impacts mesurés sur des maillons biologiques-clés de la DCE. - Elaboration d'une méthode transférable d'évaluation à l'échelle de bassins-versants de la performance environnementale de l'activité agricole traduisant le progrès réalisé suite à des changements de pratiques entre situations avant intervention et situations cibles (normes) sous la contrainte des aptitudes des milieux et de viabilité économique des exploitations agricoles.
Les principaux objectifs de ce projet pluridisciplinaire et interrégional étaient les suivants : - Détermination des zones à risque de pollution par des indicateurs agroenvironnementaux spatialisés suivant la vulnérabilité des milieux, la pression exercée par les acteurs et adaptés aux changements entre les différentes échelles, permettant la déclinaison de programmes d'intervention les plus efficaces : de la politique générale à la mesure de pratique technique à la parcelle. - Caractérisation de l'ambiance chimique siégeant dans les cours d'eau de la zone d'étude par différents principes de mesure et d'échantillonnage plus ou moins intégrateurs, incluant la mise à l'épreuve des capteurs passifs de pesticides (POCIS). - Modélisation des flux géochimiques observés sur les versants (essentiellement nutriments et pesticides) qui doit permettre de mieux affecter la part de la pollution résultant de l'activité agricole. - Appréciation des impacts environnementaux dans les milieux aquatiques à l'aide de bio-indicateurs révélateurs du niveau global de pollution, mais aussi de descripteurs rendant plus spécifiquement compte des effets des pollutions par les produits phytosanitaires (compartiments invertébrés, diatomées, poissons). L'objectif sur ce volet consiste à générer une modélisation des relations entre les descripteurs d'état des cours d'eau et les impacts mesurés sur des maillons biologiques-clés de la DCE. - Elaboration d'une méthode transférable d'évaluation à l'échelle de bassins-versants de la performance environnementale de l'activité agricole traduisant le progrès réalisé suite à des changements de pratiques entre situations avant intervention et situations cibles (normes) sous la contrainte des aptitudes des milieux et de viabilité économique des exploitations agricoles.