Assessing decarbonization pathways and their implications for energy security policies in Japan
In: Climate policy, Band 16, Heft sup1, S. S63-S77
ISSN: 1752-7457
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In: Climate policy, Band 16, Heft sup1, S. S63-S77
ISSN: 1752-7457
In: Climate policy, Band 23, Heft 2, S. 168-183
ISSN: 1752-7457
In: Climate policy, Band 21, Heft 1, S. 93-106
ISSN: 1752-7457
This study assesses Japan's mid-century low-emission pathways using both national and global integrated assessment models in the common mitigation scenario framework, based on the carbon budgets corresponding to the global 2 °C goal. We examine high and low budgets, equal to global cumulative 1600 and 1000 Gt-CO2 (2011–2100) for global models, and 36 and 31 Gt-CO2 (2011–2050) in Japan for national models, based on the cost-effectiveness allocation performed by the global models. The impacts of near-term policy assumption, including the implementation and enhancement of the 2030 target of the nationally determined contribution (NDC), are also considered. Our estimates show that the low budget scenarios require a 75% reduction of CO2 emissions by 2050 below the 2010 level, which is nearly the same as Japan's governmental 2050 goal of reducing greenhouse gas emissions by 80%. With regard to near-term actions, Japan's 2030 target included in the NDC is on track to meet the high budget scenario, whereas it is falling short for the low budget scenario, which would require emission reductions immediately after 2020. Whereas models differ in the type of energy source on which they foresee Japan basing its decarbonization process (e.g., nuclear- or variable renewable energy-dependent), the large-scale deployment of low-carbon energy (nuclear, renewable, and carbon capture and storage) is shared across most models in both the high and low budget scenarios. By 2050, low-carbon energy represents 44–54% of primary energy and 86–97% of electricity supply in the high and low budget scenarios, respectively. © 2019, The Author(s).
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One key aspect of the Paris Agreement is the goal to limit the global average temperature increase to well below 2 °C by the end of the century. To achieve the Paris Agreement goals, countries need to submit, and periodically update, their Nationally Determined Contributions (NDCs). Recent studies show that NDCs and currently implemented national policies are not sufficient to cover the ambition level of the temperature limit agreed upon in the Paris Agreement, meaning that we need to collectively increase climate action to stabilize global warming at levels considered safe. This paper explores the generalization of previously adopted good practice policies (GPPs) to bridge the emissions gap between current policies, NDCs ambitions and a well below 2 °C world, facilitating the creation of a bridge trajectory in key major-emitting countries. These GPPs are implemented in eleven well-established national Integrated Assessment Models (IAMs) for Australia, Brazil, Canada, China, European Union (EU), India, Indonesia, Japan, Russia, South Korea, and the United States, that provide least-cost, low-carbon scenarios up to 2050. Results show that GPPs can play an important role in each region, with energy supply policies appearing as one of the biggest contributors to the reduction of carbon emissions. However, GPPs by themselves are not enough to close the emission gap, and as such more will be needed in these economies to collectively increase climate action to stabilize global warming at levels considered safe.
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One key aspect of the Paris Agreement is the goal to limit the global average temperature increase to well below 2 °C by the end of the century. To achieve the Paris Agreement goals, countries need to submit, and periodically update, their Nationally Determined Contributions (NDCs). Recent studies show that NDCs and currently implemented national policies are not sufficient to cover the ambition level of the temperature limit agreed upon in the Paris Agreement, meaning that we need to collectively increase climate action to stabilize global warming at levels considered safe. This paper explores the generalization of previously adopted good practice policies (GPPs) to bridge the emissions gap between current policies, NDCs ambitions and a well below 2 °C world, facilitating the creation of a bridge trajectory in key major-emitting countries. These GPPs are implemented in eleven well-established national Integrated Assessment Models (IAMs) for Australia, Brazil, Canada, China, European Union (EU), India, Indonesia, Japan, Russia, South Korea, and the United States, that provide least-cost, low-carbon scenarios up to 2050. Results show that GPPs can play an important role in each region, with energy supply policies appearing as one of the biggest contributors to the reduction of carbon emissions. However, GPPs by themselves are not enough to close the emission gap, and as such more will be needed in these economies to collectively increase climate action to stabilize global warming at levels considered safe.
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Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies ...
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Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies de décarbonation sont indispensables pour informer les feuilles de route portant sur les choix de long terme, évitant ainsi des situations de blocage (lock-in), notamment technologiques, pouvant in fine freiner l'action climatique et en retarder ses effets.
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