Toulouse: embracing the knowledge economy
In: Pathways to creative and knowledge-based regions 11
In: ACRE report 2.11
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In: Pathways to creative and knowledge-based regions 11
In: ACRE report 2.11
In: Hommes et sociétes
World Affairs Online
In: The European journal of development research, Band 27, Heft 4, S. 560-573
ISSN: 1743-9728
In: The European journal of development research: journal of the European Association of Development Research and Training Institutes (EADI), Band 27, Heft 4
ISSN: 0957-8811
International audience ; City Improvement Districts (CIDs) illustrate the increasing involvement of local business and property owners in managing the city. These self-taxing, self-help public private partnership organisations are set up to maintain, promote and develop public areas within a specific perimeter, specifically through the enhancement of public services. In Johannesburg, the North-American CID model brought up by a powerful coalition of business interests has been well acknowledged and has become a widespread tool of urban regeneration in the declining inner city and in the high income decentralised nodes. The paper analyses the emergence of CIDs and explores the implications of these developments in the context of South Africa's transition to democracy and post-apartheid restructuring. Considering CID beyond a tool of urban revitalisation, it points out how the balance of powers between public and corporate interests is being played with the growing empowerment of private actors and the consequences these developments might have on the intra-urban spatial structure. The paper also draws attention to the new forms of local participation that are fostered by CID organisations and questions how and to what extent these developments might pave the way for an elite-driven urban redevelopment.
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International audience ; City Improvement Districts (CIDs) illustrate the increasing involvement of local business and property owners in managing the city. These self-taxing, self-help public private partnership organisations are set up to maintain, promote and develop public areas within a specific perimeter, specifically through the enhancement of public services. In Johannesburg, the North-American CID model brought up by a powerful coalition of business interests has been well acknowledged and has become a widespread tool of urban regeneration in the declining inner city and in the high income decentralised nodes. The paper analyses the emergence of CIDs and explores the implications of these developments in the context of South Africa's transition to democracy and post-apartheid restructuring. Considering CID beyond a tool of urban revitalisation, it points out how the balance of powers between public and corporate interests is being played with the growing empowerment of private actors and the consequences these developments might have on the intra-urban spatial structure. The paper also draws attention to the new forms of local participation that are fostered by CID organisations and questions how and to what extent these developments might pave the way for an elite-driven urban redevelopment.
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International audience ; City Improvement Districts (CIDs) illustrate the increasing involvement of local business and property owners in managing the city. These self-taxing, self-help public private partnership organisations are set up to maintain, promote and develop public areas within a specific perimeter, specifically through the enhancement of public services. In Johannesburg, the North-American CID model brought up by a powerful coalition of business interests has been well acknowledged and has become a widespread tool of urban regeneration in the declining inner city and in the high income decentralised nodes. The paper analyses the emergence of CIDs and explores the implications of these developments in the context of South Africa's transition to democracy and post-apartheid restructuring. Considering CID beyond a tool of urban revitalisation, it points out how the balance of powers between public and corporate interests is being played with the growing empowerment of private actors and the consequences these developments might have on the intra-urban spatial structure. The paper also draws attention to the new forms of local participation that are fostered by CID organisations and questions how and to what extent these developments might pave the way for an elite-driven urban redevelopment.
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In: Collection Hommes et sociétés
International audience ; Cette contribution s " inscrit dans une critique de la notion de résilience et de son emploi généralisé, sinon omniprésent, dans les écrits scientifiques et dans les discours politiques. Elle vise en premier lieu à montrer sa malléabilité et sa plasticité à travers une analyse des différents usages et appropriations de cette notion dans le monde social de la planification urbaine à Johannesburg et de la gestion des risques à Lima. L " analyse permet de mettre en évidence les effets à la fois politiques et rhétoriques de l " usage de la notion de résilience, dans des contextes socio-politiques différents, pour argumenter des politiques différentes, sans pour autant que la notion perde son efficacité et son unité, justement dues à sa malléabilité et à sa disposition à capter la variété des formes de solutions aux problèmes qui se posent aux villes du Sud. Au delà de ce constat empirique, la conclusion met en lumière les fondements sur lesquels se construisent l " efficacité et la cohérence de la résilience qui assurent aujourd " hui sa popularité et son succès et les défis que cela pose aux sciences sociales.
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International audience ; Cette contribution s " inscrit dans une critique de la notion de résilience et de son emploi généralisé, sinon omniprésent, dans les écrits scientifiques et dans les discours politiques. Elle vise en premier lieu à montrer sa malléabilité et sa plasticité à travers une analyse des différents usages et appropriations de cette notion dans le monde social de la planification urbaine à Johannesburg et de la gestion des risques à Lima. L " analyse permet de mettre en évidence les effets à la fois politiques et rhétoriques de l " usage de la notion de résilience, dans des contextes socio-politiques différents, pour argumenter des politiques différentes, sans pour autant que la notion perde son efficacité et son unité, justement dues à sa malléabilité et à sa disposition à capter la variété des formes de solutions aux problèmes qui se posent aux villes du Sud. Au delà de ce constat empirique, la conclusion met en lumière les fondements sur lesquels se construisent l " efficacité et la cohérence de la résilience qui assurent aujourd " hui sa popularité et son succès et les défis que cela pose aux sciences sociales.
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International audience ; Cette contribution s " inscrit dans une critique de la notion de résilience et de son emploi généralisé, sinon omniprésent, dans les écrits scientifiques et dans les discours politiques. Elle vise en premier lieu à montrer sa malléabilité et sa plasticité à travers une analyse des différents usages et appropriations de cette notion dans le monde social de la planification urbaine à Johannesburg et de la gestion des risques à Lima. L " analyse permet de mettre en évidence les effets à la fois politiques et rhétoriques de l " usage de la notion de résilience, dans des contextes socio-politiques différents, pour argumenter des politiques différentes, sans pour autant que la notion perde son efficacité et son unité, justement dues à sa malléabilité et à sa disposition à capter la variété des formes de solutions aux problèmes qui se posent aux villes du Sud. Au delà de ce constat empirique, la conclusion met en lumière les fondements sur lesquels se construisent l " efficacité et la cohérence de la résilience qui assurent aujourd " hui sa popularité et son succès et les défis que cela pose aux sciences sociales.
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International audience ; Cette contribution s " inscrit dans une critique de la notion de résilience et de son emploi généralisé, sinon omniprésent, dans les écrits scientifiques et dans les discours politiques. Elle vise en premier lieu à montrer sa malléabilité et sa plasticité à travers une analyse des différents usages et appropriations de cette notion dans le monde social de la planification urbaine à Johannesburg et de la gestion des risques à Lima. L " analyse permet de mettre en évidence les effets à la fois politiques et rhétoriques de l " usage de la notion de résilience, dans des contextes socio-politiques différents, pour argumenter des politiques différentes, sans pour autant que la notion perde son efficacité et son unité, justement dues à sa malléabilité et à sa disposition à capter la variété des formes de solutions aux problèmes qui se posent aux villes du Sud. Au delà de ce constat empirique, la conclusion met en lumière les fondements sur lesquels se construisent l " efficacité et la cohérence de la résilience qui assurent aujourd " hui sa popularité et son succès et les défis que cela pose aux sciences sociales.
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International audience ; Cette contribution s " inscrit dans une critique de la notion de résilience et de son emploi généralisé, sinon omniprésent, dans les écrits scientifiques et dans les discours politiques. Elle vise en premier lieu à montrer sa malléabilité et sa plasticité à travers une analyse des différents usages et appropriations de cette notion dans le monde social de la planification urbaine à Johannesburg et de la gestion des risques à Lima. L " analyse permet de mettre en évidence les effets à la fois politiques et rhétoriques de l " usage de la notion de résilience, dans des contextes socio-politiques différents, pour argumenter des politiques différentes, sans pour autant que la notion perde son efficacité et son unité, justement dues à sa malléabilité et à sa disposition à capter la variété des formes de solutions aux problèmes qui se posent aux villes du Sud. Au delà de ce constat empirique, la conclusion met en lumière les fondements sur lesquels se construisent l " efficacité et la cohérence de la résilience qui assurent aujourd " hui sa popularité et son succès et les défis que cela pose aux sciences sociales.
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International audience ; Cette contribution s " inscrit dans une critique de la notion de résilience et de son emploi généralisé, sinon omniprésent, dans les écrits scientifiques et dans les discours politiques. Elle vise en premier lieu à montrer sa malléabilité et sa plasticité à travers une analyse des différents usages et appropriations de cette notion dans le monde social de la planification urbaine à Johannesburg et de la gestion des risques à Lima. L " analyse permet de mettre en évidence les effets à la fois politiques et rhétoriques de l " usage de la notion de résilience, dans des contextes socio-politiques différents, pour argumenter des politiques différentes, sans pour autant que la notion perde son efficacité et son unité, justement dues à sa malléabilité et à sa disposition à capter la variété des formes de solutions aux problèmes qui se posent aux villes du Sud. Au delà de ce constat empirique, la conclusion met en lumière les fondements sur lesquels se construisent l " efficacité et la cohérence de la résilience qui assurent aujourd " hui sa popularité et son succès et les défis que cela pose aux sciences sociales.
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In many countries across the world, Business Improvement Districts (BIDs) are seen as a new model of sub-municipal governance to secure private capital for improving the attractiveness of a city's central spaces. Originating from North America (Canada and the United States), this model of self-taxing districts, often based on public–private partnerships, has spread to other continents, including Europe, Australia and Africa. This theme issue explores the internationalization and the contextualization of the BID model in both Northern countries (the United States, Canada, Germany and Sweden) and Southern countries (South Africa). The collection of articles focuses on key debates surrounding BIDs and presents different theoretical perspectives as well as lines of argument in relation to these debates. Relying on approaches based on political economy and local governance regimes, Foucault-inspired sociology of governance and governmentality studies or critical discourse analysis, the authors discuss the nature and significance of BIDs in relation to state restructuring and the neoliberalization of urban policies and to emergent rationalities and practices of security governance and policing arrangements. Using the recent discussions of policy transfer and 'urban policy mobilities', they look at the international circulation of the BID model and its local embeddedness, exploring the role of the global circuits of knowledge and the ways in which the model has been adopted and reshaped in different cities. Drawing a complex and differentiated picture of BIDs across continents and cities, this collection of articles emphasizes both the need for more comparative research across diverse urban experiences and contexts and the relevance of a relational perspective in urban studies that blurs the traditional lines of separation between studies of Northern and Southern cities.
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