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La desserte des zones périurbaines, pour desserrer la dépendance à la voiture, peut s'appuyer sur la combinaison du Îlo et des transports collectifs pour réaliser des chaînes de déplacement à la fois performantes, plus respectueuses de l'environnement et économiques. Le projet de recherche VERT - Le Îlo évalué en rabattement dans les territoires- porté par l'IFSTTAR et Beauvais Consultants, et financé par la direction de la recherche et de l'innovation du commissariat général au développement durable, dans le cadre du Predit 4 (Programme de recherche et d'innovation dans les transports), a procédé à une évaluation conjointe des contraintes qui pèsent sur les usagers et des avantages qu'ils peuvent en attendre, ainsi que de ce qu'il coûterait à la collectivité d'assurer un service attractif (par rapport à d'autres solutions). Cette évaluation a montré que le gain socio-économique était suffisamment intéressant pour encourager les acteurs à développer ces politiques. Le projet conjugue un état de l'art d'expériences étrangères (incluant une analyse de la littérature scientifique récente), une approche économique (mise au point de méthodes d'évaluation), la construction et l'application d'un modèle de coûts, une approche sociologique (entretiens auprès d'acteurs) et une étude de cas dans le périurbain de Tours. Il apporte des résultats permettant de mesurer les apports potentiels de l'intermodalité Îlo-train dans la desserte des territoires périurbains, tant sur les plans environnementaux ou urbains que de santé publique.

La desserte des zones périurbaines, pour desserrer la dépendance à la voiture, peut s'appuyer sur la combinaison du Îlo et des transports collectifs pour réaliser des chaînes de déplacement à la fois performantes, plus respectueuses de l'environnement et économiques. Le projet de recherche VERT - Le Îlo évalué en rabattement dans les territoires- porté par l'IFSTTAR et Beauvais Consultants, et financé par la direction de la recherche et de l'innovation du commissariat général au développement durable, dans le cadre du Predit 4 (Programme de recherche et d'innovation dans les transports), a procédé à une évaluation conjointe des contraintes qui pèsent sur les usagers et des avantages qu'ils peuvent en attendre, ainsi que de ce qu'il coûterait à la collectivité d'assurer un service attractif (par rapport à d'autres solutions). Cette évaluation a montré que le gain socio-économique était suffisamment intéressant pour encourager les acteurs à développer ces politiques. Le projet conjugue un état de l'art d'expériences étrangères (incluant une analyse de la littérature scientifique récente), une approche économique (mise au point de méthodes d'évaluation), la construction et l'application d'un modèle de coûts, une approche sociologique (entretiens auprès d'acteurs) et une étude de cas dans le périurbain de Tours. Il apporte des résultats permettant de mesurer les apports potentiels de l'intermodalité Îlo-train dans la desserte des territoires périurbains, tant sur les plans environnementaux ou urbains que de santé publique.

La desserte des zones périurbaines, pour desserrer la dépendance à la voiture, peut s'appuyer sur la combinaison du Îlo et des transports collectifs pour réaliser des chaînes de déplacement à la fois performantes, plus respectueuses de l'environnement et économiques. Le projet de recherche VERT - Le Îlo évalué en rabattement dans les territoires- porté par l'IFSTTAR et Beauvais Consultants, et financé par la direction de la recherche et de l'innovation du commissariat général au développement durable, dans le cadre du Predit 4 (Programme de recherche et d'innovation dans les transports), a procédé à une évaluation conjointe des contraintes qui pèsent sur les usagers et des avantages qu'ils peuvent en attendre, ainsi que de ce qu'il coûterait à la collectivité d'assurer un service attractif (par rapport à d'autres solutions). Cette évaluation a montré que le gain socio-économique était suffisamment intéressant pour encourager les acteurs à développer ces politiques. Le projet conjugue un état de l'art d'expériences étrangères (incluant une analyse de la littérature scientifique récente), une approche économique (mise au point de méthodes d'évaluation), la construction et l'application d'un modèle de coûts, une approche sociologique (entretiens auprès d'acteurs) et une étude de cas dans le périurbain de Tours. Il apporte des résultats permettant de mesurer les apports potentiels de l'intermodalité Îlo-train dans la desserte des territoires périurbains, tant sur les plans environnementaux ou urbains que de santé publique.

La desserte des zones périurbaines, pour desserrer la dépendance à la voiture, peut s'appuyer sur la combinaison du Îlo et des transports collectifs pour réaliser des chaînes de déplacement à la fois performantes, plus respectueuses de l'environnement et économiques. Le projet de recherche VERT - Le Îlo évalué en rabattement dans les territoires- porté par l'IFSTTAR et Beauvais Consultants, et financé par la direction de la recherche et de l'innovation du commissariat général au développement durable, dans le cadre du Predit 4 (Programme de recherche et d'innovation dans les transports), a procédé à une évaluation conjointe des contraintes qui pèsent sur les usagers et des avantages qu'ils peuvent en attendre, ainsi que de ce qu'il coûterait à la collectivité d'assurer un service attractif (par rapport à d'autres solutions). Cette évaluation a montré que le gain socio-économique était suffisamment intéressant pour encourager les acteurs à développer ces politiques. Le projet conjugue un état de l'art d'expériences étrangères (incluant une analyse de la littérature scientifique récente), une approche économique (mise au point de méthodes d'évaluation), la construction et l'application d'un modèle de coûts, une approche sociologique (entretiens auprès d'acteurs) et une étude de cas dans le périurbain de Tours. Il apporte des résultats permettant de mesurer les apports potentiels de l'intermodalité Îlo-train dans la desserte des territoires périurbains, tant sur les plans environnementaux ou urbains que de santé publique.

High pre-World-War-2 modal shares of cycling in European countries sharply decreased during the post-war decades. In the 1990s, European governments introduced policies to increase bicycle use. However, a database or longitudinal study on the development of bicycle use in European countries is lacking. The goal of this paper is to examine to what degree the amount of cycling has increased over the past decades, also in the context of potentially competing modes. Distances travelled per capita according to National Travel Surveys have been collected and were aggregated to seven 4-year periods between 1990 and 2017. Multilevel regression analyses on distance travelled per capita by bicycle, on foot, by public transport, and by passenger car were conducted for all countries. Additionally, analyses were conducted for which the 14 countries with data on bicycle use were divided in three groups categorised according to distance cycled per capita at the beginning of the study period. Distance cycled per capita per year ranged from some 30 km to 900 km. The results of all four regression analyses suggested that distance cycled per capita remained fairly constant over the past decades. Germany is an exception with some 150 km per capita more, in relative terms a 50% increase. Geographical variation in development is evidenced by a substantial increase of distance cycled per inhabitant in the capital cities of the countries included in the study. The outcomes suggest distance travelled on foot and by public transport (bus, tram, and metro) also remained fairly constant while the distance travelled by car increased by about 10% during the study period. We did not find indications that cycling substitutes travel on foot, by public transport or by car.

High pre-World-War-2 modal shares of cycling in European countries sharply decreased during the post-war decades. In the 1990s, European governments introduced policies to increase bicycle use. However, a database or longitudinal study on the development of bicycle use in European countries is lacking. The goal of this paper is to examine to what degree the amount of cycling has increased over the past decades, also in the context of potentially competing modes. Distances travelled per capita according to National Travel Surveys have been collected and were aggregated to seven 4-year periods between 1990 and 2017. Multilevel regression analyses on distance travelled per capita by bicycle, on foot, by public transport, and by passenger car were conducted for all countries. Additionally, analyses were conducted for which the 14 countries with data on bicycle use were divided in three groups categorised according to distance cycled per capita at the beginning of the study period. Distance cycled per capita per year ranged from some 30 km to 900 km. The results of all four regression analyses suggested that distance cycled per capita remained fairly constant over the past decades. Germany is an exception with some 150 km per capita more, in relative terms a 50% increase. Geographical variation in development is evidenced by a substantial increase of distance cycled per inhabitant in the capital cities of the countries included in the study. The outcomes suggest distance travelled on foot and by public transport (bus, tram, and metro) also remained fairly constant while the distance travelled by car increased by about 10% during the study period. We did not find indications that cycling substitutes travel on foot, by public transport or by car.