Recommendations to reduce the streetlight effect and gray areas limiting the knowledge of the effects of plant protection products on biodiversity
In: Environmental science and pollution research: ESPR
ISSN: 1614-7499
45 Ergebnisse
Sortierung:
In: Environmental science and pollution research: ESPR
ISSN: 1614-7499
In: Environmental science and pollution research: ESPR
ISSN: 1614-7499
Chaque année, entre 55 000 et 70 000 tonnes de substances actives phytopharmaceutiques, incluant celles utilisables en agriculture biologique et de biocontrôle, sont vendues sur le territoire français métropolitain et d'outre-mer et sont utilisées pour la protection des cultures ou l'entretien des jardins, espaces végétalisés et infrastructures (JEVI). Dans le même temps, le rapport sur l'évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques établi en 2019 par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) dresse le bilan alarmant d'une érosion sans précédent de la biodiversité. La pollution chimique générée par les activités humaines, incluant les produits phytopharmaceutiques (PPP), est identifiée parmi les causes de cette érosion. Cette pollution s'ajoute à d'autres pressions, comme les destructions d'habitats causées par l'urbanisation, l'intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, et les conséquences du changement climatique. Face à ce constat, la réglementation européenne en matière de mise sur le marché des PPP vise un degré élevé de protection, avec en particulier pour principe d'éviter tout effet inacceptable sur l'environnement. Toutefois, elle ne parvient pas complètement à atteindre cet objectif, en raison notamment d'une prise en compte insuffisante de la diversité des interactions telles qu'elles se produisent dans l'environnement (entre substances, entre organismes, avec une variété de facteurs physico-chimiques, etc.).C'est dans ce contexte que les ministres chargés de l'Environnement, de l'Agriculture et de la Recherche ont sollicité INRAE et l'Ifremer pour réaliser un état des lieux des connaissances scientifiques relatives aux impacts des PPP sur la biodiversité et les services écosystémiques. La précédente expertise scientifique collective (ESCo) portant sur Pesticides, agriculture et environnement avait été réalisée en 2005. Leprésent exercice consiste à en actualiser les résultats, en les ...
BASE
Chaque année, entre 55 000 et 70 000 tonnes de substances actives phytopharmaceutiques, incluant celles utilisables en agriculture biologique et de biocontrôle, sont vendues sur le territoire français métropolitain et d'outre-mer et sont utilisées pour la protection des cultures ou l'entretien des jardins, espaces végétalisés et infrastructures (JEVI). Dans le même temps, le rapport sur l'évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques établi en 2019 par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) dresse le bilan alarmant d'une érosion sans précédent de la biodiversité. La pollution chimique générée par les activités humaines, incluant les produits phytopharmaceutiques (PPP), est identifiée parmi les causes de cette érosion. Cette pollution s'ajoute à d'autres pressions, comme les destructions d'habitats causées par l'urbanisation, l'intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, et les conséquences du changement climatique. Face à ce constat, la réglementation européenne en matière de mise sur le marché des PPP vise un degré élevé de protection, avec en particulier pour principe d'éviter tout effet inacceptable sur l'environnement. Toutefois, elle ne parvient pas complètement à atteindre cet objectif, en raison notamment d'une prise en compte insuffisante de la diversité des interactions telles qu'elles se produisent dans l'environnement (entre substances, entre organismes, avec une variété de facteurs physico-chimiques, etc.).C'est dans ce contexte que les ministres chargés de l'Environnement, de l'Agriculture et de la Recherche ont sollicité INRAE et l'Ifremer pour réaliser un état des lieux des connaissances scientifiques relatives aux impacts des PPP sur la biodiversité et les services écosystémiques. La précédente expertise scientifique collective (ESCo) portant sur Pesticides, agriculture et environnement avait été réalisée en 2005. Leprésent exercice consiste à en actualiser les résultats, en les ...
BASE
Chaque année, entre 55 000 et 70 000 tonnes de substances actives phytopharmaceutiques, incluant celles utilisables en agriculture biologique et de biocontrôle, sont vendues sur le territoire français métropolitain et d'outre-mer et sont utilisées pour la protection des cultures ou l'entretien des jardins, espaces végétalisés et infrastructures (JEVI). Dans le même temps, le rapport sur l'évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques établi en 2019 par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) dresse le bilan alarmant d'une érosion sans précédent de la biodiversité. La pollution chimique générée par les activités humaines, incluant les produits phytopharmaceutiques (PPP), est identifiée parmi les causes de cette érosion. Cette pollution s'ajoute à d'autres pressions, comme les destructions d'habitats causées par l'urbanisation, l'intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, et les conséquences du changement climatique. Face à ce constat, la réglementation européenne en matière de mise sur le marché des PPP vise un degré élevé de protection, avec en particulier pour principe d'éviter tout effet inacceptable sur l'environnement. Toutefois, elle ne parvient pas complètement à atteindre cet objectif, en raison notamment d'une prise en compte insuffisante de la diversité des interactions telles qu'elles se produisent dans l'environnement (entre substances, entre organismes, avec une variété de facteurs physico-chimiques, etc.).C'est dans ce contexte que les ministres chargés de l'Environnement, de l'Agriculture et de la Recherche ont sollicité INRAE et l'Ifremer pour réaliser un état des lieux des connaissances scientifiques relatives aux impacts des PPP sur la biodiversité et les services écosystémiques. La précédente expertise scientifique collective (ESCo) portant sur Pesticides, agriculture et environnement avait été réalisée en 2005. Leprésent exercice consiste à en actualiser les résultats, en les ...
BASE
Chaque année, entre 55 000 et 70 000 tonnes de substances actives phytopharmaceutiques, incluant celles utilisables en agriculture biologique et de biocontrôle, sont vendues sur le territoire français métropolitain et d'outre-mer et sont utilisées pour la protection des cultures ou l'entretien des jardins, espaces végétalisés et infrastructures (JEVI). Dans le même temps, le rapport sur l'évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques établi en 2019 par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) dresse le bilan alarmant d'une érosion sans précédent de la biodiversité. La pollution chimique générée par les activités humaines, incluant les produits phytopharmaceutiques (PPP), est identifiée parmi les causes de cette érosion. Cette pollution s'ajoute à d'autres pressions, comme les destructions d'habitats causées par l'urbanisation, l'intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, et les conséquences du changement climatique. Face à ce constat, la réglementation européenne en matière de mise sur le marché des PPP vise un degré élevé de protection, avec en particulier pour principe d'éviter tout effet inacceptable sur l'environnement. Toutefois, elle ne parvient pas complètement à atteindre cet objectif, en raison notamment d'une prise en compte insuffisante de la diversité des interactions telles qu'elles se produisent dans l'environnement (entre substances, entre organismes, avec une variété de facteurs physico-chimiques, etc.).C'est dans ce contexte que les ministres chargés de l'Environnement, de l'Agriculture et de la Recherche ont sollicité INRAE et l'Ifremer pour réaliser un état des lieux des connaissances scientifiques relatives aux impacts des PPP sur la biodiversité et les services écosystémiques. La précédente expertise scientifique collective (ESCo) portant sur Pesticides, agriculture et environnement avait été réalisée en 2005. Leprésent exercice consiste à en actualiser les résultats, en les ...
BASE
EA BIOME ; International audience ; 'Ecosystem recovery' is a concept that emerged from the need to preserve our environment against increasing contamination from human activity. However, ecological indicators of ecosystem recovery remain scarce, and it is still difficult to assess recovery of ecological processes at relevant spatial and temporal scales. Microbial communities hold key relevance as indicators of ecosystem recovery as they are ubiquitous among diverse ecosystems, respond rapidly to environmental changes, and support many ecosystem functions and services through taxonomic and functional biodiversity. This chapter summarizes the state-of-the-art in knowledge on the processes driving the structural and functional recovery of phototroph and heterotroph microorganisms following chemical pollution. It covers several successful case studies providing proof of principle for the relevance of using microorganisms in recovery studies in various ecosystems such as soil, freshwater and seawater. Questions remain for microbial ecotoxicologists to fully understand and predict how structural and functional recovery observed at microbial scale can reflect the recovery of an ecosystem. Moreover, new standards and norms taking into account recent advances in microbial ecotoxicology are now necessary in order to inform legislators and policymakers on the importance of considering microorganisms in environmental risk assessment, including ecological recovery monitoring.
BASE
In: Microbial Ecotoxicology. (Chapitre 10), 2017
'Ecosystem recovery' is a concept that emerged from the need to preserve our environment against increasing contamination from human activity. However, ecological indicators of ecosystem recovery remain scarce, and it is still difficult to assess recovery of ecological processes at relevant spatial and temporal scales. Microbial communities hold key relevance as indicators of ecosystem recovery as they are ubiquitous among diverse ecosystems, respond rapidly to environmental changes, and support many ecosystem functions and services through taxonomic and functional biodiversity. This chapter summarizes the state-of-the-art in knowledge on the processes driving the structural and functional recovery of phototroph and heterotroph microorganisms following chemical pollution. It covers several successful case studies providing proof of principle for the relevance of using microorganisms in recovery studies in various ecosystems such as soil, freshwater and seawater. Questions remain for microbial ecotoxicologists to fully understand and predict how structural and functional recovery observed at microbial scale can reflect the recovery of an ecosystem. Moreover, new standards and norms taking into account recent advances in microbial ecotoxicology are now necessary in order to inform legislators and policymakers on the importance of considering microorganisms in environmental risk assessment, including ecological recovery monitoring.
BASE
National audience ; 'Ecosystem recovery' is a concept that emerged from the need to preserve our environment against increasing contamination from human activity. However, ecological indicators of ecosystem recovery remain scarce, and it is still difficult to assess recovery of ecological processes at relevant spatial and temporal scales. Microbial communities hold key relevance as indicators of ecosystem recovery as they are ubiquitous among diverse ecosystems, respond rapidly to environmental changes, and support many ecosystem functions and services through taxonomic and functional biodiversity. This chapter summarizes the state-of-the-art in knowledge on the processes driving the structural and functional recovery of phototroph and heterotroph microorganisms following chemical pollution. It covers several successful case studies providing proof of principle for the relevance of using microorganisms in recovery studies in various ecosystems such as soil, freshwater and seawater. Questions remain for microbial ecotoxicologists to fully understand and predict how structural and functional recovery observed at microbial scale can reflect the recovery of an ecosystem. Moreover, new standards and norms taking into account recent advances in microbial ecotoxicology are now necessary in order to inform legislators and policymakers on the importance of considering microorganisms in environmental risk assessment, including ecological recovery monitoring.
BASE
EA BIOME ; International audience ; 'Ecosystem recovery' is a concept that emerged from the need to preserve our environment against increasing contamination from human activity. However, ecological indicators of ecosystem recovery remain scarce, and it is still difficult to assess recovery of ecological processes at relevant spatial and temporal scales. Microbial communities hold key relevance as indicators of ecosystem recovery as they are ubiquitous among diverse ecosystems, respond rapidly to environmental changes, and support many ecosystem functions and services through taxonomic and functional biodiversity. This chapter summarizes the state-of-the-art in knowledge on the processes driving the structural and functional recovery of phototroph and heterotroph microorganisms following chemical pollution. It covers several successful case studies providing proof of principle for the relevance of using microorganisms in recovery studies in various ecosystems such as soil, freshwater and seawater. Questions remain for microbial ecotoxicologists to fully understand and predict how structural and functional recovery observed at microbial scale can reflect the recovery of an ecosystem. Moreover, new standards and norms taking into account recent advances in microbial ecotoxicology are now necessary in order to inform legislators and policymakers on the importance of considering microorganisms in environmental risk assessment, including ecological recovery monitoring.
BASE
National audience ; 'Ecosystem recovery' is a concept that emerged from the need to preserve our environment against increasing contamination from human activity. However, ecological indicators of ecosystem recovery remain scarce, and it is still difficult to assess recovery of ecological processes at relevant spatial and temporal scales. Microbial communities hold key relevance as indicators of ecosystem recovery as they are ubiquitous among diverse ecosystems, respond rapidly to environmental changes, and support many ecosystem functions and services through taxonomic and functional biodiversity. This chapter summarizes the state-of-the-art in knowledge on the processes driving the structural and functional recovery of phototroph and heterotroph microorganisms following chemical pollution. It covers several successful case studies providing proof of principle for the relevance of using microorganisms in recovery studies in various ecosystems such as soil, freshwater and seawater. Questions remain for microbial ecotoxicologists to fully understand and predict how structural and functional recovery observed at microbial scale can reflect the recovery of an ecosystem. Moreover, new standards and norms taking into account recent advances in microbial ecotoxicology are now necessary in order to inform legislators and policymakers on the importance of considering microorganisms in environmental risk assessment, including ecological recovery monitoring.
BASE
In: 8. Colloque de l'Association Francophone d'Ecologie Microbienne (AFEM), Camaret-sur-Mer , FRA, 2017-10-17-2017-10-20
'Ecosystem recovery' is a concept that emerged from the need to preserve our environment against increasing contamination from human activity. However, ecological indicators of ecosystem recovery remain scarce, and it is still difficult to assess recovery of ecological processes at relevant spatial and temporal scales. Microbial communities hold key relevance as indicators of ecosystem recovery as they are ubiquitous among diverse ecosystems, respond rapidly to environmental changes, and support many ecosystem functions and services through taxonomic and functional biodiversity. This chapter summarizes the state-of-the-art in knowledge on the processes driving the structural and functional recovery of phototroph and heterotroph microorganisms following chemical pollution. It covers several successful case studies providing proof of principle for the relevance of using microorganisms in recovery studies in various ecosystems such as soil, freshwater and seawater. Questions remain for microbial ecotoxicologists to fully understand and predict how structural and functional recovery observed at microbial scale can reflect the recovery of an ecosystem. Moreover, new standards and norms taking into account recent advances in microbial ecotoxicology are now necessary in order to inform legislators and policymakers on the importance of considering microorganisms in environmental risk assessment, including ecological recovery monitoring.
BASE
In: Environmental science and pollution research: ESPR, Band 23, Heft 5, S. 3981-3983
ISSN: 1614-7499
Communication orale, résumé ; Vineyard is among the crops the most heavily treated with pesticides. In the context of the new EU policy for the protection of water resources, vineyard area will account as one of the major contributor to water contamination. Grass buffer strips have recently been developed as a solution for reducing pesticide transfer by surface runoff from vineyard parcels to adjacent streams. Although pesticide interception by grass strips has generally been proven effective, little is known about the fate of intercepted pesticides. In order to tackle this question we worked since several years at the scale of a small watershed located in the Beaujolais vineyard (France). The ability of the soil microflora to degrade diuron, an herbicide belonging to phenyl-urea family, was addressed by radiorespirometric analyses showing that the grass buffer strip could develop efficient degrading ability if regularly exposed to the contaminant1. Interestingly, we revealed the presence of bacterial populations able to rapidly mineralize this herbicide in the grass buffer strips. We also showed that their genetic potential (puhA and puhB genes) could be transferred by erosion to the sediment of the river adjacent to the grass buffer strip2. With the aim to promote natural attenuation of pesticides in the grass buffer strip, bioaugmentation experiments with diuron-degrading bacterial populations are ongoing. All these data seem to indicate that the development of a second generation of engineered grass buffer strip acting as an 'in field bioreactor' favoring pesticide biodegradation could represent an interesting tool to protect water resources in the vineyard area.
BASE
Communication orale, résumé ; Vineyard is among the crops the most heavily treated with pesticides. In the context of the new EU policy for the protection of water resources, vineyard area will account as one of the major contributor to water contamination. Grass buffer strips have recently been developed as a solution for reducing pesticide transfer by surface runoff from vineyard parcels to adjacent streams. Although pesticide interception by grass strips has generally been proven effective, little is known about the fate of intercepted pesticides. In order to tackle this question we worked since several years at the scale of a small watershed located in the Beaujolais vineyard (France). The ability of the soil microflora to degrade diuron, an herbicide belonging to phenyl-urea family, was addressed by radiorespirometric analyses showing that the grass buffer strip could develop efficient degrading ability if regularly exposed to the contaminant1. Interestingly, we revealed the presence of bacterial populations able to rapidly mineralize this herbicide in the grass buffer strips. We also showed that their genetic potential (puhA and puhB genes) could be transferred by erosion to the sediment of the river adjacent to the grass buffer strip2. With the aim to promote natural attenuation of pesticides in the grass buffer strip, bioaugmentation experiments with diuron-degrading bacterial populations are ongoing. All these data seem to indicate that the development of a second generation of engineered grass buffer strip acting as an 'in field bioreactor' favoring pesticide biodegradation could represent an interesting tool to protect water resources in the vineyard area.
BASE