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In the last two decades there has been an explosion of research inspired by Michel Foucault's suggestion of a new concept, 'governmentality'. The distinctive feature of modern governmentality is that across all sorts of fields, rule is predicated upon the active subject as the vehicle through which--and by which--power is exercised. The appeal of governmentality is that, whether we are considering the workplace, the school or welfare regimes, it opens up new ways of looking at familiar institutions. Foucault and Managerial Governmentality is about Michel Foucault's concept of governmentality. The novelty of this concept is that looks at the ways that populations and organisations are imagined in ways that premise collective gains through expanding individual freedoms. Specifically, how are technologies of freedom devised that improve the overall performance--health, productivity, or parental responsibility--of a given population? Understanding the operation of technologies of control is a simple enough task, argues Foucault, but also one that blinds us to the increasing prevalence of technologies of freedom. Foucault and Managerial Governmentality aims not just to locate this concept in Foucault's wider research project but to apply it to all sorts of management techniques. By applying governmentality to questions of management and organization we will also develop Foucault's original, somewhat sketchy concept. This book has three innovative narratives: an awareness of the historicity of the concept; the application of governmentality to specific forms of management means that we escape the temptation to read any and all forms of technology and organization as an expression of neoliberalism; and, finally, the interviews with Peter Miller and Nikolas Rose provide unique intellectual and personal insights into the development of the governmentalist project over the last thirty years.--

About the contributors -- Introduction -- Governmentality : the career of a concept / Alan McKinlay and Eric Pezet -- Locating governmentality -- Getting to the surface of things : foucault as theorist and historian of management and accounting / Keith Hoskin -- A dialogue with Foucault on power / Mark Haugaard -- Liberal governmentalities and the heterotopic behaviour of the firm / Eric Pezet and Nelarine Cornelius -- Bodies and souls -- Governmentality and the historian : Scotland and the history of protestant pastoral -- Power / Alistair Mutch -- Government at a distance : the spiritual exercises of Saint Ignatius of Loyola / Jose Bento da Silva and Paolo Quattrone -- Birth of the pain clinic : governmentality, identity, and chronic pain / Steven J. Gold -- Expertise, experts and governmentality -- ?bottled magic? : the business of self-knowledge / Alan McKinlay and Scott Taylor -- Governing knowledge : the Siemens experience / Nancy Richter -- Conclusion -- Making governmentality I : an interview with Peter Miller / Alan McKinlay -- Making governmentality II : an interview with Nikolas Rose / Alan McKinlay -- Index

This paper, which is based on the detailed analysis of the post-war archives of the French Christian union Confédération Française des Travailleurs Chrétiens (CFTC), which became the Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) in 1964, highlights the difficulties, both from a practical and ideological point of view, for a militant organisation to embrace the cause of immigrant workers and to give them a voice. The CFDT had to 'construct' immigrant workers as a group they could represent, which means as a group that relates to French workers, despite possible xenophobia. A key moment was the denunciation of their housing conditions that make immigrant workers not competitors in the job market but victims of injustice. The union had to reinvent its engagement frames in order to include the specific problems faced by the immigrant workforce. The study shows that the urban dimension was essential in this process as Paris slums made visible an important plight of migrants and provided the opportunity to change public opinion.

This paper investigates the practices whereby the subject, in an organisational context, carries out systematic practices of self-discipline and becomes a calculative self. In particular, we explore the techniques of conduct developed by management accountants in a French carmaker, which adheres to a neoliberal environment. We show how these management accountants become calculative selves by building the very measurement of their own performance. The organisation thereby emerges as the cauldron in which a Homo liberalis is forged. Homo liberalis is the individual capable of constructing for him/her the political self-discipline establishing his/her relationship with the social world on the basis of measurable performance. The management accountants studied in this article prefigure the Homo liberalis in the self-discipline they develop to act in compliance with the organisation's goals.

Les données statistiques sur l'expérience passée de la France en matière de temps de travail sont le plus souvent incomplètes et fragiles. S'agissant de l'évaluation des effets d'un abaissement de la durée du travail (sur l'emploi, les conditions de travail, les conditions de vie ou sur la compétitivité), il nous faut en outre souligner que la question véritable est moins celle des statistiques que du choix du modèle, donc de la théorie économique implicite. Les confusions sont d'autre part fréquentes dans les médias et les discours politiques, mais parfois aussi dans les représentations que s'en font nombre de salariés, entre différentes catégories juridiques de caractérisation du temps de travail, apparues au fil du temps, comme durée légale, heures supplémentaires et durée effective. Du coup on ne sait pas assez qu'aujourd'hui la France se situe plutôt dans la norme internationale en matière de définition du temps de travail. Des Etats-Unis à l'Espagne en passant par notre pays, il existe (avec des vocabulaires variés) non une durée légale du travail, mais un seuil de déclenchement des heures supplémentaires. Cependant cette frontière est souvent devenue fictive dans les pays où s'imposent des normes conventionnelles plus avantageuses.

Les données statistiques sur l'expérience passée de la France en matière de temps de travail sont le plus souvent incomplètes et fragiles. S'agissant de l'évaluation des effets d'un abaissement de la durée du travail (sur l'emploi, les conditions de travail, les conditions de vie ou sur la compétitivité), il nous faut en outre souligner que la question véritable est moins celle des statistiques que du choix du modèle, donc de la théorie économique implicite. Les confusions sont d'autre part fréquentes dans les médias et les discours politiques, mais parfois aussi dans les représentations que s'en font nombre de salariés, entre différentes catégories juridiques de caractérisation du temps de travail, apparues au fil du temps, comme durée légale, heures supplémentaires et durée effective. Du coup on ne sait pas assez qu'aujourd'hui la France se situe plutôt dans la norme internationale en matière de définition du temps de travail. Des Etats-Unis à l'Espagne en passant par notre pays, il existe (avec des vocabulaires variés) non une durée légale du travail, mais un seuil de déclenchement des heures supplémentaires. Cependant cette frontière est souvent devenue fictive dans les pays où s'imposent des normes conventionnelles plus avantageuses.

Les données statistiques sur l'expérience passée de la France en matière de temps de travail sont le plus souvent incomplètes et fragiles. S'agissant de l'évaluation des effets d'un abaissement de la durée du travail (sur l'emploi, les conditions de travail, les conditions de vie ou sur la compétitivité), il nous faut en outre souligner que la question véritable est moins celle des statistiques que du choix du modèle, donc de la théorie économique implicite. Les confusions sont d'autre part fréquentes dans les médias et les discours politiques, mais parfois aussi dans les représentations que s'en font nombre de salariés, entre différentes catégories juridiques de caractérisation du temps de travail, apparues au fil du temps, comme durée légale, heures supplémentaires et durée effective. Du coup on ne sait pas assez qu'aujourd'hui la France se situe plutôt dans la norme internationale en matière de définition du temps de travail. Des Etats-Unis à l'Espagne en passant par notre pays, il existe (avec des vocabulaires variés) non une durée légale du travail, mais un seuil de déclenchement des heures supplémentaires. Cependant cette frontière est souvent devenue fictive dans les pays où s'imposent des normes conventionnelles plus avantageuses.

Les données statistiques sur l'expérience passée de la France en matière de temps de travail sont le plus souvent incomplètes et fragiles. S'agissant de l'évaluation des effets d'un abaissement de la durée du travail (sur l'emploi, les conditions de travail, les conditions de vie ou sur la compétitivité), il nous faut en outre souligner que la question véritable est moins celle des statistiques que du choix du modèle, donc de la théorie économique implicite. Les confusions sont d'autre part fréquentes dans les médias et les discours politiques, mais parfois aussi dans les représentations que s'en font nombre de salariés, entre différentes catégories juridiques de caractérisation du temps de travail, apparues au fil du temps, comme durée légale, heures supplémentaires et durée effective. Du coup on ne sait pas assez qu'aujourd'hui la France se situe plutôt dans la norme internationale en matière de définition du temps de travail. Des Etats-Unis à l'Espagne en passant par notre pays, il existe (avec des vocabulaires variés) non une durée légale du travail, mais un seuil de déclenchement des heures supplémentaires. Cependant cette frontière est souvent devenue fictive dans les pays où s'imposent des normes conventionnelles plus avantageuses.

Les données statistiques sur l'expérience passée de la France en matière de temps de travail sont le plus souvent incomplètes et fragiles. S'agissant de l'évaluation des effets d'un abaissement de la durée du travail (sur l'emploi, les conditions de travail, les conditions de vie ou sur la compétitivité), il nous faut en outre souligner que la question véritable est moins celle des statistiques que du choix du modèle, donc de la théorie économique implicite. Les confusions sont d'autre part fréquentes dans les médias et les discours politiques, mais parfois aussi dans les représentations que s'en font nombre de salariés, entre différentes catégories juridiques de caractérisation du temps de travail, apparues au fil du temps, comme durée légale, heures supplémentaires et durée effective. Du coup on ne sait pas assez qu'aujourd'hui la France se situe plutôt dans la norme internationale en matière de définition du temps de travail. Des Etats-Unis à l'Espagne en passant par notre pays, il existe (avec des vocabulaires variés) non une durée légale du travail, mais un seuil de déclenchement des heures supplémentaires. Cependant cette frontière est souvent devenue fictive dans les pays où s'imposent des normes conventionnelles plus avantageuses.