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Le tribunal de la Terreur
"Du 17 août 1792 au 31 mai 1795, la salle des Libertés, au coeur du Palais de Justice de Paris, résonna du plus tragique des épisodes de la Révolution française. Sous l'autorité de l'Accusateur public, le tristement célèbre Fouquier-Tinville, le Tribunal révolutionnaire envoya à l'échafaud plus de 2500 personnes. En s'appuyant sur les actes des procès, les journaux d'époque et les dossiers inédits de certains accusés, Emmanuel Pierrat livre le récit terrifiant de ces années de guerre civile. 0Sous sa plume, audience après audience, prennent vie les partisans d'un retour à la paix, les tenants d'une justice implacable, mais aussi les 'traîtres'. Marie-Antionette, Danton, Olympe de Gouges, Philippe Egalité, Madame Roland, Camille Desmoulins, Jean-Pierre Brissot, Saint-Just, Robespierre. Nombreux sont ceux qui sont passés du rang de juge au box des accusés. En plongeant au coeur de la machine judiciaire révolutionnaire, Emmanuel Pierrat dresse le portrait de ce Tribunal de la Terreur, miroir d'un pays 'qui ne se réforme pas' mais se juge lui-même avec ardeur."--Back cover
Les lorettes: Paris, capitale mondiale des plaisirs au XIXe siècle
Au XIXe siècle, Paris gagne ses galons de capitale mondiale des plaisirs. Lorettes, grisettes et courtisanes, conquérantes et victorieuses, règnent alors sur la Ville Lumière. Et derrière elles, une myriade de congrégations, aussi nombreuses que les petits noms secrets et affectueux susurrés par les amants à l'oreille de leurs maîtresses, se réclamant des États de la prostitution. S'il existe une typologie des femmes publiques aussi riche, la responsabilité en revient au premier chef aux journalistes, chroniqueurs, échotiers, illustrateurs et caricaturistes, écrivains oubliés ou à jamais illustres qui ont dénommé les filles qu'ils croisaient sur les trottoirs de la capitale, le long des boulevards ou dans les faubourgs, au théâtre, au bal ou à l'Opéra, dans les cafés, sur les Champs-Élysées et au sein de quelques salons. Mais si les catins parisiennes de l'époque ont eu le bonheur d'entrer dans l'histoire, cela tient d'abord à leur fortune littéraire. Les frères Goncourt, Baudelaire, Eugène Sue, Théophile Gautier, les Dumas, père et fils, Tristan Corbière, Huysmans, Zola, Balzac, Flaubert, Maupassant, Barbey d'Aurevilly ont tous témoigné, à des degrés divers, de leur intérêt vis-à-vis de ces dames, les dégageant des vils clichés auxquels elles étaient réduites et contribuant à changer le regard que la société leur portait jusque-là. Ces grands noms, le lecteur les connaît. Leurs ouvrages, Nana, La Dame aux camélias, Splendeurs et misères des courtisanes, etc., il les a parfois lus à un âge et dans un cadre, scolaire et donc pudique, qui ne lui ont pas toujours permis de saisir qu'ils avaient tous pour sujet… les lorettes !
Les francs-maçons et le pouvoir
In: Humanisme: revue des Francs-Maçons du Grand Orient de France, Band 341, Heft 4, S. 92-98
Censure et cancel culture au cinéma
In: Humanisme: revue des Francs-Maçons du Grand Orient de France, Band 332, Heft 3, S. 39-45
La privatisation de la censure
In: Constructif: des contributions plurielles aux grands débats de notre temps, Band 56, Heft 2, S. 32-35
Pierre Simon, medecin et humaniste d'exception
In: Humanisme: revue des Francs-Maçons du Grand Orient de France, Band 318, Heft 1, S. 89-95
Péripéties d'Histoire d'O
In: Medium: transmettre pour innover, Band 46-47, Heft 1, S. 238-253
ISSN: 1771-3757
Tribulations d'un futur best-seller. Entre les chicanes de la censure et les paradoxes d'un nouveau féminisme.
Eugène Sue, le peuple et ses mystères
In: Humanisme: revue des Francs-Maçons du Grand Orient de France, Band 306, Heft 1, S. 84-89
S'il est une année emblématique dans l'histoire de la censure, c'est bien celle de 1857, avec ses trois victimes célèbres, Gustave Flaubert, en janvier, Charles Baudelaire, durant l'été, et Eugène Sue, en fin d'année, poursuivis par un même homme : Ernest Pinard, appuyé par un système de censure alors à son apogée, a gravi les échelons de la magistrature à la faveur du régime autoritaire et bourgeois de de Louis-Napoléon Bonaparte, selon lui parangon du gouvernement idéal.