France divided: the French and the Civil War in Spain
In: The Cañada Blanch$dSussex Academic studies on contemporary Spain
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In: The Cañada Blanch$dSussex Academic studies on contemporary Spain
In: American university studies
In: Series 9, History 166
In: Routledge Cañada blanch studies on contemporary Spain 2
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 257, Heft 1, S. 155-161
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 247, Heft 3, S. 67-90
Résumé Guerre sans pareille, celle d'Espagne, car unique parmi les conflits : pour la première fois dans une guerre, la gamme entière de l'idéologie politique fut représentée. L'auteur présente d'abord la partie d'extrême gauche de la gamme : à la gauche du petit Parti communiste (PCE, stalinien) se trouvent ses rivaux partis communistes implacables, et encore plus à gauche cette masse énorme des anarchistes qui avaient fait de Barcelone la capitale mondiale du mouvement libertaire. Dans leurs rangs, des nihilistes, certes. Mais aussi des personnes de grande valeur, tels Montseny, García Oliver, Abad de Santillán, Durutti, Berneri. L'ironie du sort voulut que quatre anarchistes acceptent d'occuper des postes au gouvernement républicain ; ce faisant, ils devaient faire face plus tard aux vives critiques de leurs condisciples. Plaider auprès des anarchistes l'obligation de la discipline, c'était pour un leader anarchiste la tâche sublime, mais comment faire la guerre sans accepter la discipline ? Les anarchistes devaient affronter, en même temps, les fascistes en face et les staliniens à leur côté, les deux camps cherchant également leur perte. Si les staliniens triomphaient sur les anarchistes, aux jours de mai 1937, en rejouant à Barcelone le massacre de Kronstadt de 1917, leur triomphe leur coûterait cher, car il gravait, chez des millions d'hommes et de femmes de gauche autour du monde, haine et mépris pour Staline et pour ceux qui travaillaient pour lui.
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 246, Heft 2, S. 107-116
Résumé La passion religieuse, pour et contre l'Église, caractérise de façon sublime la guerre d'Espagne. On ne présente pas ici un tableau des atrocités commises. Il s'agit plutôt de montrer comment la presse française, et plus particulièrement la presse de Toulouse, poste d'observation par excellence des événements en Espagne, appuyait les deux camps en opposition. À part les prêtres basques, rares sont les membres du clergé espagnol qui refusaient de soutenir les militaires, soit en trésors, soit en incitant leurs troupes (qui comprenaient les musulmans) à exterminer l'ennemi. « Nous nous trouvons dans une véritable croisade », annonce le primat d'Espagne. La cause de la République, ajoute-t-il, c'est la « guerre contre Dieu ». Ce qui mène la presse socialiste à crier, « le pape fasciste a les mains pleines de sang ». Certes Pie XII n'hésitait pas à exprimer à la fin de la lutte sa « joie immense » pour la victoire de Franco en lui décernant l'Ordre suprême du Christ. Mais la conscience chrétienne n'avait pas perdu sa voix. Il restait certains chrétiens, Dom Luigi Sturzo en premier lieu, et surtout des laïcs, Bernanos, Vandervelde, Maritain, Mauriac, pour sauver l'honneur de l'Église. À la fin, on arrive au moment du remords : en 1971, les évêques d'Espagne reconnurent publiquement combien l'Église était restée en arrière de son devoir chrétien.
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 245, Heft 1, S. 133-156
Résumé Chacune des sept causes célèbres en question a eu lieu dans les premiers mois de la guerre d'Espagne. Les sujets ont leurs similarités et leurs différences, les uns victimes des républicains, les autres, victimes des franquistes. Unamuno et Marañón, le plus grand philosophe et le plus grand médecin d'Espagne du xx e siècle, tous deux en pleine contradiction avec eux-mêmes. Le comte de Romanones, cofondateur de la République, qui se tint à l'écart de la guerre. José Antonio Primo De Rivera, fondateur de la Phalange, qui s'opposait pourtant à la cause franquiste. Francisco Largo Calvo, fils du Premier ministre Largo Caballero, otage qui survécut à la guerre. Le duc de la Vega, exécuté pour être duc. Et Niceto Alcalá Zamora, président de la République, père d'une famille politiquement et tragiquement divisée, qui allait mourir en Argentine, dans la misère.
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 229, Heft 1, S. 113-120
L'irlande face à l'éventualité d'une invasion hitlérienne Hitler songea-t-il vraiment un seul instant au cours de la Seconde Guerre mondiale à envahir l'Irlande ? Les mauvais rapports entre Londres et Dublin l'encourageaient à croire qu'une telle invasion, si possible militairement, gagnerait l'appui général des Irlandais. En été 1940, pourtant, un rapport de la Seekriegsleitung, sous la direction de l'amiral Raeder, eut l'effet d'abattre son enthousiasme, et il ne souleva plus jamais la question.
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 218, Heft 2, S. 85-99
Les photographes de Mauthausen : aspects nouveaux d'une affaire célèbre L'histoire des photos prises par les SS du camp de concentration de Mauthausen et sauvées par des prisonniers espagnols est désormais bien connue. Le rôle des photographes SS ainsi que celui de leurs assistants prisonniers l'est beaucoup moins. Un photographe SS d'un camp de concentration pouvait-il rester un être humain ? C'est un prisonnier espagnol travaillant pour lui qui l'affirme. Mais peut-on accepter la parole d'un tel prisonnier, surtout quand celui-ci accuse un de ses co-prisonniers d'avoir collaboré avec les SS et d'avoir brutalisé un de ces confrères ? Et encore moins quand l'accusé est reconnu en Espagne comme héros national. Ce sont deux questions que l'article cherche à résoudre.
In: Journal of contemporary history, Band 28, Heft 3, S. 465-485
ISSN: 1461-7250
In: Journal of contemporary history, Band 28, Heft 3, S. 465
ISSN: 0022-0094
In: In the Service of Stalin, S. 84-107