Vie psychique, spiritualité et vieillissement
In: Comprendre les personnes. Synthèse
In: Savoir communiquer. Synthèse
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In: Comprendre les personnes. Synthèse
In: Savoir communiquer. Synthèse
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 35 / n° 141, Heft 2, S. 207-211
ISSN: 2101-0218
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 34 / n° 137, Heft 2, S. 85-93
ISSN: 2101-0218
Ecrire est difficile, mais il est désormais possible de le faire par personne interposée. Ecrire dans la grande vieillesse, sous quelque forme que ce soit, est une des meilleures façons de témoigner et de laisser une trace. C'est aussi une excellente façon de faire un bilan de vie ayant des effets bénéfiques au plan psychologique.
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 32 / n° 128-129, Heft 1, S. 89-115
ISSN: 2101-0218
La maladie d'Alzheimer est probablement une des pathologies de la cognition, qui est la plus sensible à l'empathie. Cela conduit à s'interroger sur les facteurs psychologiques qui pourraient participer à l'évolution, mais aussi à l'expression clinique. Cela conduit aussi à poser la question (en termes de modélisation) de l'articulation des phénomènes neurologique et psychologique, que ce soit du point de vue cognitif, subjectif ou émotionnel. Et, quoi qu'il en soit, une réflexion complémentaire s'impose sur la question de la prise en charge des malades, dans ses aspects non médicamenteux et sur l'accompagnement psychologique des aidants, qu'il s'agisse des professionnels ou de la famille du malade.
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 28 / n° 112, Heft 1, S. 93-103
ISSN: 2101-0218
Un des risques encourus par les personnes âgées est de devenir méconnaissable aux yeux de leurs proches. Un autre phénomène déterminant du placement est le poids étouffant du fardeau reposant sur l'aidant qui devient impossible à supporter et qui conduit à un pénible transfert des responsabilités. Le placement en institution soulève donc un grave conflit d'intérêt. En effet, l'institution, aussi bonne qu'elle veuille être, sera obligatoirement frustrante. Cela dit, quoi qu'on fasse et quelle que soit la façon de le faire, il reste en suspens une question non résolue qui est celle du droit de placer une personne âgée dans un établissement où elle finira ses jours.
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 27 / n° 109, Heft 2, S. 189-201
ISSN: 2101-0218
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 24 / n° 97, Heft 2, S. 49-62
ISSN: 2101-0218
Le système nerveux central peut être assimilé à un réseau de neurones. Ce réseau constitue le support matériel d'une activité de traitement d'informations. On peut ainsi, concernant l'activité neuro-psychique, individualiser quatre équivalents d'appareils fonctionnels: un appareil biologique qui régule les équilibres somatiques, un appareil émotionnel, un appareil subjectif (appareil psychique au sens freudien du terme) et un appareil cognitif. Et, l'ensemble de ces quatre appareils constitue de fait un méta-appareil comportemental. Toute activité qui se situe sur l'un de ces appareils a nécessairement une traduction et des effets secondaires induits sur l'ensemble des autres. De ce point de vue les démences ne sont pas plus neurologiques que cognitives ou psychologiques mais c'est l'étude qui en est faite qui choisit pour des raisons particulières de se situer sur un de ces plans. Une telle représentation du fonctionnement neuro-psychique permet d'expliquer, entre autres, le développement du processus démentiel. Car, on est en droit de penser que si, par exemple, les fonctions cognitives (qui sont les plus coûteuses en connexions) ne sont plus assurées c'est parce qu'il n'existe plus assez de connections disponibles pour des raisons initiales pouvant aussi bien être anatomiques que psychologiques.... La question fondamentale que posent alors les démences est de savoir si la mise hors service des fonctions cognitives (puis ultérieurement d'autres fonctions) est, ou n'est pas, la conséquence d'une possible stratégie d'adaptation. En d'autres termes il s'agit de savoir s'il existe ou non un appareil adaptatif profond, au coeur du fonctionnement neuro-psychique.
In: Gérontologie et société, Band 22 / n° 88, Heft 1, S. 8-12
In: Gérontologie et société, Band 14 / n° 59, Heft 4, S. 25-28
In: Gérontologie et société, Band 11 / n° 46, Heft 3, S. 78-92
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 32 / n° 130, Heft 3, S. 75-95
ISSN: 2101-0218
La mémoire autobiographique commence loin, entre biologie et culture.L'enfant apprend et met en forme sa mémoire, à partir de sa sensorialité,sa corporéité. Les actions d'apprendre deviennent mémoire. Les personnesvivent plusieurs expériences, positives et négatives, mais ne se rappellentpas tout ce qu'elles vivent. La mémoire est étroitement liée aux affectset aux motivations. L'autobiographie reflète l'histoire subjective d'unepersonne, mais elle représente aussi l'opportunité de reconstruire et decomprendre le passé. La mémoire autobiographique s'exprime à traversle récit oral ou écrit. Quand une personne âgée parle de sa vie revoitses vicissitudes, elle le raconte mieux si celui qui écoute est vraimentintéressé, surtout quand ce sont les enfants ou petits-enfants. L'actiond'apprendre et la mémoire peuvent être activées pendant toute la vie. Lamémoire autobiographique peut toujours changer et elle peut offrir uneexpression, une voix différente aux expériences vécues.A la fin l'autobiographie correspond à la synthèse créative de la viecomme nous l'avons développée, entendue, comprise.
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 29 / n° 119, Heft 4, S. 107-128
ISSN: 2101-0218
La collaboration entre l'architecte et un psychologue ou un psychiatre permet de tenir compte des possibilités et des besoins spécifiques des malades d'Alzheimer, notamment de leurs besoins psychologiques. Elle permet aussi de tenir compte des phénomènes institutionnels particuliers induits par la présence de ces malades dans les établissements qui les accueillent. Nous pensons qu'il y a lieu de l'encourager pour veiller au réalisme des projets proposés et pour faciliter le passage de l'intention à une réalisation fructueuse.
In: Gérontologie et société, Band 19 / n° 79, Heft 4, S. 105-116
Les démences séniles de type Alzheimer constituent un syndrome à trois volets : cognitif, psychodynamique, neuro-chimique. Des modèles d'inter-relations fonctionnelles entre ces trois ordres de réalités restent à élaborer. Il est à ce propos prématuré de prétendre énoncer où sont les causes et où sont les conséquences entre les données neuro-psychiques et neuro-anatomiques. Il est, également, abusif d'identifier la dynamique clinique à celle de l'amyloïdose cérébrale ou de toutes autres perturbations histo-pathologiques.
In: Gérontologie et société, Band 19 / n° 77, Heft 2, S. 22-30
La question du temps a été abordée par bien des philosophes, des psychologues pour tenter de donner un sens à la vie humaine. Une approche plus gérontologique du temps pose d'emblée le problème de la mort et de la place qu'elle occupe dans la construction ou le maintien d'une représentation du temps chez la personne âgée. C'est dans l'intersubjectivité du temps vécu que le rapport au temps peut être mis en travail et faire qu'une parole puisse être tenue par un praticien sur la question du temps chez la personne âgée.
In: Gérontologie et société, Band 11 / n° 46, Heft 3, S. 5-7