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In: Historia
In: Alte Geschichte
In: Gli struzzi 555
In: Einaudi contemporanea 49
International audience ; Tout pouvoir public à Rome trouve sa légitimité dans une confirmation divine et le pouvoir impérial ne fait pas exception. Les formes et les rites de cette validation suivaient néanmoins encore les pratiques républicaines et n'impliquèrent jamais que la charge suprême de l'État fût divinisée-au moins du point de vue institutionnel. Comme les magistrats, l'empereur romain aussi était choisi par les hommes et agréé par les dieux ; cependant la position d'empereur était le résultat d'une combinaison de pouvoirs et de prérogatives diverses, chacune avec leurs propres rites de validation. En tant que princeps de la res publica, père de la patrie et garant de la paix et du non-retour vers le chaos des guerres civiles, l'empereur était symbole et instrument de la bienveillance que les dieux avaient toujours démontrée envers Rome, mais il n'etait pas dieu lui-même. L'empereur n'était pas non plus l'élu des dieux, car aucun rite divinatoire public ne fut jamais introduit pour choisir un empereur plutôt qu'un autre, c'est-à-dire pour réserver aux dieux une prérogative qui restait l'exclusivité du sénat et du peuple. Le divin rentre en relation avec le pouvoir impérial dans un très grand nombre d'occasions et il est impossible de rendre compte de cette complexité dans l'espace d'un simple article. Ce qui nous occupera ici est donc seulement l'une des facettes de cette relation, celle qui concerne l'investiture impériale et la dimension religieuse de l'exercice du pouvoir civil et militaire par l'empereur. Cette synthèse vise en particulier à éclaircir certains points qui pourraient faire l'objet de malentendus et donner la fausse impression d'une origine divine du pouvoir impérial. En effet, de nombreuses sources montrent que l'idée de la divinité de l'empereur régnant était largement répandue, mais nous devons être capables de les interpréter correctement dans leur contexte religieux, politique, topographique et social. Dans une religion sans révélation ni dogme ni autorité centrale, comme l'était ...
BASE
International audience ; Tout pouvoir public à Rome trouve sa légitimité dans une confirmation divine et le pouvoir impérial ne fait pas exception. Les formes et les rites de cette validation suivaient néanmoins encore les pratiques républicaines et n'impliquèrent jamais que la charge suprême de l'État fût divinisée-au moins du point de vue institutionnel. Comme les magistrats, l'empereur romain aussi était choisi par les hommes et agréé par les dieux ; cependant la position d'empereur était le résultat d'une combinaison de pouvoirs et de prérogatives diverses, chacune avec leurs propres rites de validation. En tant que princeps de la res publica, père de la patrie et garant de la paix et du non-retour vers le chaos des guerres civiles, l'empereur était symbole et instrument de la bienveillance que les dieux avaient toujours démontrée envers Rome, mais il n'etait pas dieu lui-même. L'empereur n'était pas non plus l'élu des dieux, car aucun rite divinatoire public ne fut jamais introduit pour choisir un empereur plutôt qu'un autre, c'est-à-dire pour réserver aux dieux une prérogative qui restait l'exclusivité du sénat et du peuple. Le divin rentre en relation avec le pouvoir impérial dans un très grand nombre d'occasions et il est impossible de rendre compte de cette complexité dans l'espace d'un simple article. Ce qui nous occupera ici est donc seulement l'une des facettes de cette relation, celle qui concerne l'investiture impériale et la dimension religieuse de l'exercice du pouvoir civil et militaire par l'empereur. Cette synthèse vise en particulier à éclaircir certains points qui pourraient faire l'objet de malentendus et donner la fausse impression d'une origine divine du pouvoir impérial. En effet, de nombreuses sources montrent que l'idée de la divinité de l'empereur régnant était largement répandue, mais nous devons être capables de les interpréter correctement dans leur contexte religieux, politique, topographique et social. Dans une religion sans révélation ni dogme ni autorité centrale, comme l'était ...
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In: MicroMega: per una sinistra illuminista, Issue 9, p. 81-84
ISSN: 0394-7378, 2499-0884
In: MicroMega: per una sinistra illuminista, Issue 2, p. 163-168
ISSN: 0394-7378, 2499-0884
In: MicroMega: per una sinistra illuminista, Issue 3, p. 49-57
ISSN: 0394-7378, 2499-0884
In: Cambridge handbooks in psychology
In: Cambridge Handbooks in Psychology
Sociocultural psychology is a discipline located at the crossroads between the natural and social sciences and the humanities. This international overview of the field provides an antireductionist and comprehensive account of how experience and behaviour arise from human action with cultural materials in social practices. The outcome is a vision of the dynamics of sociocultural and personal life in which time and developmental constructive transformations are crucial. This second edition provides expanded coverage of how particular cultural artefacts and social practices shape experience and behaviour in the realms of art and aesthetics, economics, history, religion and politics. Special attention is also paid to the development of identity, the self and personhood throughout the lifespan, while retaining the emphasis on experience and development as key features of sociocultural psychology
In: Palgrave Handbook of Research in Historical Culture and Education, p. 413-425
In: Saggi tascabili Laterza 327
In: Saggi tascabili Laterza, 58
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