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L'obiettivo della presente ricerca è la definizione del contesto storico e culturale della più antica fase (il cosiddetto periodo "madhābieno") della civiltà sudarabica nella valle del Jawf (Yemen settentrionale) attraverso l'analisi della sua documentazione epigrafica monumentale. Nella prima metà del I millennio a.C., questa regione si caratterizza per la fioritura di cinque piccole città-stato (Nashshān, Ma'īn, Haram, Kamna and Inabba'), un'organizzazione politica particolare rispetto ai regni maggiori che in quest'epoca stanno definendo le loro sfere di influenza nell'Arabia del Sud. Attraverso lo studio di 264 iscrizioni che sono state identificate nel corso del presente lavoro come la documentazione dei cinque regni, è stato possibile ricostruire la storia di questi, stabilendo i limiti cronologici del "periodo antico", almeno dalla fine del IX fino all'inizio del VI secolo a.C., quando l'espansione del regno di Ma'īn creò un nuovo assetto geopolitico della regione. L'edizione completa di questo corpus di testi – dei quali sono fornite le informazioni rilevanti, la trascrizione, la traduzione e un commento – ha permesso di tracciare un quadro della cultura "madhābiena", nelle sue caratteristiche religiose, sociali e di documentazione testuale. The aim of this research is to define the history and the culture of the most ancient phase (the so-called "madhābaean" period) of the Ancient South Arabian civilization in the Jawf valley (northern Yemen) through the analysis of its monumental epigraphic documentation. In the first half of the I millennium BC, this region is characterized by the flourishing of five small city-states (Nashshān, Ma'īn, Haram, Kamna and Inabba'), a peculiar political organization in respect to the major kingdoms that were defining their sphere influence on Southern Arabia at that time. Through the study of the 264 inscription which have been identified as the documentation of the five city-states, it has been possible to reconstruct their history, defining the chronological limits of this "ancient period" from at least the end of the 9th to the beginning of the 6th century BC, when the kingdom of Ma'īn succeeded in establishing a new geo-political asset of the region. The complete edition of this corpus of texts – with relevant information, transcription, translation and commentary provided – has allowed to draw a picture of the "madhābaean" culture, in its religious, social and textual-linguistic features.

International audience ; Cette contribution a pour objectif de retracer l'histoire de Haram, une des cités-États du Jawf du Yémen à la lumière des sources épigraphiques, qui se sont multipliées considérablement dans les deux dernières décennies. Ces textes témoignent de changements politiques et culturels, qui se décèlent non seulement par leur contenu historique, mais également à travers l'étude linguistique. L'histoire de Haram, traitée par Mounir Arbach, est marquée dès ses débuts (viiie s. av. J.-C.) par la présence d'une autonomie politique, culture partagée avec les cités-États voisines du Jawf ; mais son destin semble être étroitement lié à celui du royaume de Sabaʾ, entre alliance et allégeance. Dès le ve s. av. J.-C., Haram s'efface de la scène politique pendant deux siècles, probablement sous l'influence du royaume voisin de Maʿīn. Après quelques tentatives de récupération d'autonomie, Haram est investie d'une population issue de la tribu d'Amīr, qui introduit ses propres divinités et sa langue, dont les derniers textes datent du ier-iie s. apr. J.-C. Cette population fréquente un sanctuaire du dieu dhū-Samāwī situé entre le Jawf et Nagrān, d'où proviennent les trois nouvelles inscriptions éditées ici par Irene Rossi. L'étude de la phraséologie des inscriptions amīrites suggère une histoire de contamination entre les modèles textuels et les formulaires, dont l'origine serait à rechercher dans le contexte international des villes caravanières qui prospèrent entre le Jawf et l'Arabie centrale. ; The purpose of this contribution is to retrace the history of Haram – one of the city-states of the Jawf (Yemen) – in the light of the epigraphic sources, which have considerably multiplied in the last two decades. Through their historical content, but also their linguistic and formulary features, inscriptions witness of political and cultural changes. The history of Haram, discussed here by Mounir Arbach, is marked from its beginnings (8th century bc) by a political autonomy, in the context of a shared culture ...

International audience ; Cette contribution a pour objectif de retracer l'histoire de Haram, une des cités-États du Jawf du Yémen à la lumière des sources épigraphiques, qui se sont multipliées considérablement dans les deux dernières décennies. Ces textes témoignent de changements politiques et culturels, qui se décèlent non seulement par leur contenu historique, mais également à travers l'étude linguistique. L'histoire de Haram, traitée par Mounir Arbach, est marquée dès ses débuts (viiie s. av. J.-C.) par la présence d'une autonomie politique, culture partagée avec les cités-États voisines du Jawf ; mais son destin semble être étroitement lié à celui du royaume de Sabaʾ, entre alliance et allégeance. Dès le ve s. av. J.-C., Haram s'efface de la scène politique pendant deux siècles, probablement sous l'influence du royaume voisin de Maʿīn. Après quelques tentatives de récupération d'autonomie, Haram est investie d'une population issue de la tribu d'Amīr, qui introduit ses propres divinités et sa langue, dont les derniers textes datent du ier-iie s. apr. J.-C. Cette population fréquente un sanctuaire du dieu dhū-Samāwī situé entre le Jawf et Nagrān, d'où proviennent les trois nouvelles inscriptions éditées ici par Irene Rossi. L'étude de la phraséologie des inscriptions amīrites suggère une histoire de contamination entre les modèles textuels et les formulaires, dont l'origine serait à rechercher dans le contexte international des villes caravanières qui prospèrent entre le Jawf et l'Arabie centrale. ; The purpose of this contribution is to retrace the history of Haram – one of the city-states of the Jawf (Yemen) – in the light of the epigraphic sources, which have considerably multiplied in the last two decades. Through their historical content, but also their linguistic and formulary features, inscriptions witness of political and cultural changes. The history of Haram, discussed here by Mounir Arbach, is marked from its beginnings (8th century bc) by a political autonomy, in the context of a shared culture ...

International audience ; Cette contribution a pour objectif de retracer l'histoire de Haram, une des cités-États du Jawf du Yémen à la lumière des sources épigraphiques, qui se sont multipliées considérablement dans les deux dernières décennies. Ces textes témoignent de changements politiques et culturels, qui se décèlent non seulement par leur contenu historique, mais également à travers l'étude linguistique. L'histoire de Haram, traitée par Mounir Arbach, est marquée dès ses débuts (viiie s. av. J.-C.) par la présence d'une autonomie politique dans le contexte d'une culture partagée avec les cités-États voisines du Jawf ; mais son destin semble être étroitement lié à celui du royaume de Sabaʾ, entre alliance et allégeance. Dès le ve s. av. J.-C., Haram s'efface de la scène politique pendant deux siècles, probablement sous l'influence du royaume voisin de Maʿīn. Après quelques tentatives de récupération de son autonomie, Haram est investie d'une population issue de la tribu d'Amīr, qui introduit ses propres divinités et sa langue, dont les derniers textes datent du ier-iie s. apr. J.-C. Cette population fréquente un sanctuaire du dieu dhū-Samāwī situé entre le Jawf et Nagrān, d'où proviennent les trois nouvelles inscriptions éditées ici par Irene Rossi. L'étude de la phraséologie des inscriptions amīrites suggère une histoire de contamination des modèles textuels et des formulaires, dont l'origine serait à rechercher dans le contexte international des villes caravanières qui prospèrent entre le Jawf et l'Arabie centrale.

International audience ; Cette contribution a pour objectif de retracer l'histoire de Haram, une des cités-États du Jawf du Yémen à la lumière des sources épigraphiques, qui se sont multipliées considérablement dans les deux dernières décennies. Ces textes témoignent de changements politiques et culturels, qui se décèlent non seulement par leur contenu historique, mais également à travers l'étude linguistique. L'histoire de Haram, traitée par Mounir Arbach, est marquée dès ses débuts (viiie s. av. J.-C.) par la présence d'une autonomie politique, culture partagée avec les cités-États voisines du Jawf ; mais son destin semble être étroitement lié à celui du royaume de Sabaʾ, entre alliance et allégeance. Dès le ve s. av. J.-C., Haram s'efface de la scène politique pendant deux siècles, probablement sous l'influence du royaume voisin de Maʿīn. Après quelques tentatives de récupération d'autonomie, Haram est investie d'une population issue de la tribu d'Amīr, qui introduit ses propres divinités et sa langue, dont les derniers textes datent du ier-iie s. apr. J.-C. Cette population fréquente un sanctuaire du dieu dhū-Samāwī situé entre le Jawf et Nagrān, d'où proviennent les trois nouvelles inscriptions éditées ici par Irene Rossi. L'étude de la phraséologie des inscriptions amīrites suggère une histoire de contamination entre les modèles textuels et les formulaires, dont l'origine serait à rechercher dans le contexte international des villes caravanières qui prospèrent entre le Jawf et l'Arabie centrale. ; The purpose of this contribution is to retrace the history of Haram – one of the city-states of the Jawf (Yemen) – in the light of the epigraphic sources, which have considerably multiplied in the last two decades. Through their historical content, but also their linguistic and formulary features, inscriptions witness of political and cultural changes. The history of Haram, discussed here by Mounir Arbach, is marked from its beginnings (8th century bc) by a political autonomy, in the context of a shared culture ...

International audience ; Cette contribution a pour objectif de retracer l'histoire de Haram, une des cités-États du Jawf du Yémen à la lumière des sources épigraphiques, qui se sont multipliées considérablement dans les deux dernières décennies. Ces textes témoignent de changements politiques et culturels, qui se décèlent non seulement par leur contenu historique, mais également à travers l'étude linguistique. L'histoire de Haram, traitée par Mounir Arbach, est marquée dès ses débuts (viiie s. av. J.-C.) par la présence d'une autonomie politique dans le contexte d'une culture partagée avec les cités-États voisines du Jawf ; mais son destin semble être étroitement lié à celui du royaume de Sabaʾ, entre alliance et allégeance. Dès le ve s. av. J.-C., Haram s'efface de la scène politique pendant deux siècles, probablement sous l'influence du royaume voisin de Maʿīn. Après quelques tentatives de récupération de son autonomie, Haram est investie d'une population issue de la tribu d'Amīr, qui introduit ses propres divinités et sa langue, dont les derniers textes datent du ier-iie s. apr. J.-C. Cette population fréquente un sanctuaire du dieu dhū-Samāwī situé entre le Jawf et Nagrān, d'où proviennent les trois nouvelles inscriptions éditées ici par Irene Rossi. L'étude de la phraséologie des inscriptions amīrites suggère une histoire de contamination des modèles textuels et des formulaires, dont l'origine serait à rechercher dans le contexte international des villes caravanières qui prospèrent entre le Jawf et l'Arabie centrale.

International audience ; Cette contribution a pour objectif de retracer l'histoire de Haram, une des cités-États du Jawf du Yémen à la lumière des sources épigraphiques, qui se sont multipliées considérablement dans les deux dernières décennies. Ces textes témoignent de changements politiques et culturels, qui se décèlent non seulement par leur contenu historique, mais également à travers l'étude linguistique. L'histoire de Haram, traitée par Mounir Arbach, est marquée dès ses débuts (viiie s. av. J.-C.) par la présence d'une autonomie politique dans le contexte d'une culture partagée avec les cités-États voisines du Jawf ; mais son destin semble être étroitement lié à celui du royaume de Sabaʾ, entre alliance et allégeance. Dès le ve s. av. J.-C., Haram s'efface de la scène politique pendant deux siècles, probablement sous l'influence du royaume voisin de Maʿīn. Après quelques tentatives de récupération de son autonomie, Haram est investie d'une population issue de la tribu d'Amīr, qui introduit ses propres divinités et sa langue, dont les derniers textes datent du ier-iie s. apr. J.-C. Cette population fréquente un sanctuaire du dieu dhū-Samāwī situé entre le Jawf et Nagrān, d'où proviennent les trois nouvelles inscriptions éditées ici par Irene Rossi. L'étude de la phraséologie des inscriptions amīrites suggère une histoire de contamination des modèles textuels et des formulaires, dont l'origine serait à rechercher dans le contexte international des villes caravanières qui prospèrent entre le Jawf et l'Arabie centrale.

Presentazione relativa all'intervento tenuto al webinar "Le scienze del patrimonio culturale on Air. ISPC e la politica Open Access" (15-03-2021). Elemento chiave per la reperibilità e l'accessibilità dei prodotti della ricerca è l'elaborazione dei metadati descrittivi delle risorse, ai fini della loro esposizione in repositories che garantiscano l'interoperabilità e il riuso dei dati. Attraverso il caso di studio di People e di CNR ExploRA, l'intervento mostrerà l'importanza di una corretta descrizione dei prodotti della ricerca negli archivi istituzionali. Verrà inoltre illustrato il processo di valutazione delle piattaforme che, attraverso il riuso automatizzato dei dati di People, consentiranno a ISPC di aderire pienamente all'Open Science, in conformità alle più recenti indicazioni europee.

This miscellaneous volume collects contributions on nineteen projects dealing with Digital Epigraphy – they are diversified in geographic and chronological context, for script and language, and for typology of digital output. The objective is to point out the methodological issues which are specific to the application of information technologies to epigraphy, with a focus on data modelling and text annotation, lexicography and interoperability.