Purifier et détruire: usages politiques des massacres et génocides
In: Points. Essais 696
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In: Points. Essais 696
In: Petite bibliothèque Payot 340
In: Culture de paix
In: Bibliothèque historique Payot
World Affairs Online
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In: Projet: civilisation, travail, économie, Band 390, Heft 5, S. 48-52
ISSN: 2108-6648
Les luttes non violentes contre les dominations favorisent davantage la construction d'une démocratie que les actions violentes. Une étude de deux chercheuses américaines semble étayer ce constat.
In: Shofar: a quarterly interdisciplinary journal of Jewish studies ; official journal of the Midwest and Western Jewish Studies Associations, Band 40, Heft 1, S. 160-165
ISSN: 1534-5165
In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 183, Heft 1, S. 186-192
ISSN: 2111-4587
Le chercheur qui s'efforce de penser les violences de masse se heurte à un certain nombre d'apories. Le massacre est-il un comportement rationnel ou irrationnel ? Sans doute répond-il à la logique d'une « rationalité délirante ». Afin de dépasser le dilemme entre le normal et le pathologique, il semble pertinent d'aborder les phénomènes de violence de masse à travers les représentations collectives de l'autre qui sont véhiculées, notamment, par les intellectuels, les politiques et les religieux. Ceci nous conduit à remettre en question la notion harendtienne de « banalité du mal ». [Résumé de l'éditeur]
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The term "genocide" has generated passion and misunderstanding since its coining in 1944 by Raphael Lemkin. Applying this term to very heterogeneous historical and current situations brings up many objections and debates. The first problem arising from the word genocide concerns its uses, including its memorial, humanitarian, legal, and political purposes. Scholars are divided about its meaning. However, this article stresses that the global digital academic enterprise, Online Encyclopedia of Mass Violence, represents today a unique effort to gather the most important historical cases of mass human destruction, with respect to their own singularity, while offering a way to compare them according to the same framework of analysis. It builds a strong body of knowledge and follows a rigorous methodology, including a peer-review process. This article also brings some clarifications to three questions: the relationship of genocide studies with international law, the strong tendency in this field to qualify any massacre as genocide, and the legal relevance of the notion of crime against humanity.
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Le chercheur qui s'efforce de penser les violences de masse se heurte à un certain nombre d'apories. Le massacre est-il un comportement rationnel ou irrationnel ? Sans doute répond-il à la logique d'une « rationalité délirante ». Afin de dépasser le dilemme entre le normal et le pathologique, il semble pertinent d'aborder les phénomènes de violence de masse à travers les représentations collectives de l'autre qui sont véhiculées, notamment, par les intellectuels, les politiques et les religieux. Ceci nous conduit à remettre en question la notion harendtienne de « banalité du mal ». [Résumé de l'éditeur]
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