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This article uses data from the Bangladesh Labor Force Survey 2000 to analyze the magnitude, nature and determinants of child labor in Bangladesh. The magnitude of the 'child labor' problem is large in Bangladesh, with around 5.4–7.9 million, or about one-fifth of all Bangladeshi children between the ages of 5 and 14 years, being classified as child workers in 2000. Most of these child workers work in the agricultural sector. Among the poorest quintile of households, the share of family income contributed by child workers reaches nearly 50 percent. The article finds support for the widely-held hypothesis that poverty compels children to work. The analysis of links between adult employment and child labor also lends support to the hypothesis that children are the last economic resource of the household. Children are much more likely to work when they live in a household where the potential of income generation is low and where this potential has already been used up.

International audience In recent years, there has been a marked increase in the number of studies that examine the economics of child labor and more particularly the determinants of children's labor supply in developing countries. This paper provides a new angle on the causes of child labor force participation by showing that parents' health affects child labor through family labor supply decisions. Using a survey with detailed information on health matters for Bangladesh, we find that child labor supply is sometimes takes the form of an added worker effect in reaction to certain types of health shock.

Patrick Plane and Claire Salmon — Trade unionism and technical efficiency : a practical analysis to Bangladeshi firms.
The impact of trade union activity on the economic variables of firms has not been much studied, especially in developing countries. The authors of this paper attempted to apply econometric tests on the technical efficiency of a cross section of Bangladeshi firms by comparing those with and without trade unions. Estimates of a « parametric frontier model » between the two situations suggest a rather positive relationship. The statistically significant influence of trade unions however proves relevant only when considered in relation to firms predominantly owned by foreigners and in the overall context of econometric variables determining firm efficiency.

The behavior of Bangladeshi trade unions is characterized by political activism & momentous strikes, called hartals there, have played a crucial part in most political changes in this country. We offer a theoretical framework for discussing this fact, & we test empirically its main prediction by bringing out the political cycle that characterizes the occurrence of strikes in Bangladesh. 3 Tables, 2 Figures, 1 Appendix, 28 References. Adapted from the source document.

Document disponible en ligne: http://faere.fr/pub/PolicyPapers/Charlier_Risch_Salmon_FAERE_PP2016.01.pdf ; Rapports ; Dans cet article, nous évaluons les mesures publiques actuelles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES),la consommation énergétique, et à lutter contre le « fardeau de l'énergie » à long terme, de sorte qu'il soit possible d'offrir des recommandations politiques pertinentes. Nous développons un modèle d'équilibre partiel existant afin de prendre en considération les déterminants clés du poids excessif de l'énergie. Cette analyse révèle que les politiques publiques ne sont pas suffisantes pour atteindre les objectifs ambitieux en matière de réduction de la consommation énergétique et des émissions de GES en France. De plus, les diminutions qui pourraient se produire dissimulent les disparités sociales importantes entre les ménages. La mise en œuvre conjointe de plusieurs outils conduit à des interactions qui diminuent les résultats globaux de la politique. Dans l'ensemble les politiques publiques actuelles globales donnent des estimations des taux de 75% de free-riding. Les mesures d'efficacité dans le domaine énergétique sont donc insuffisantes. Les gouvernements doivent se concentrer davantage sur la pauvreté monétaire (le manque d'argent) comme une cause du faible taux des rénovations et envisager l'octroi de subventions pour les rénovations comme une solution potentielle.

Document disponible en ligne: http://faere.fr/pub/PolicyPapers/Charlier_Risch_Salmon_FAERE_PP2016.01.pdf ; Rapports ; Dans cet article, nous évaluons les mesures publiques actuelles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES),la consommation énergétique, et à lutter contre le « fardeau de l'énergie » à long terme, de sorte qu'il soit possible d'offrir des recommandations politiques pertinentes. Nous développons un modèle d'équilibre partiel existant afin de prendre en considération les déterminants clés du poids excessif de l'énergie. Cette analyse révèle que les politiques publiques ne sont pas suffisantes pour atteindre les objectifs ambitieux en matière de réduction de la consommation énergétique et des émissions de GES en France. De plus, les diminutions qui pourraient se produire dissimulent les disparités sociales importantes entre les ménages. La mise en œuvre conjointe de plusieurs outils conduit à des interactions qui diminuent les résultats globaux de la politique. Dans l'ensemble les politiques publiques actuelles globales donnent des estimations des taux de 75% de free-riding. Les mesures d'efficacité dans le domaine énergétique sont donc insuffisantes. Les gouvernements doivent se concentrer davantage sur la pauvreté monétaire (le manque d'argent) comme une cause du faible taux des rénovations et envisager l'octroi de subventions pour les rénovations comme une solution potentielle.

Document disponible en ligne: http://faere.fr/pub/PolicyPapers/Charlier_Risch_Salmon_FAERE_PP2016.01.pdf ; Rapports ; Dans cet article, nous évaluons les mesures publiques actuelles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES),la consommation énergétique, et à lutter contre le « fardeau de l'énergie » à long terme, de sorte qu'il soit possible d'offrir des recommandations politiques pertinentes. Nous développons un modèle d'équilibre partiel existant afin de prendre en considération les déterminants clés du poids excessif de l'énergie. Cette analyse révèle que les politiques publiques ne sont pas suffisantes pour atteindre les objectifs ambitieux en matière de réduction de la consommation énergétique et des émissions de GES en France. De plus, les diminutions qui pourraient se produire dissimulent les disparités sociales importantes entre les ménages. La mise en œuvre conjointe de plusieurs outils conduit à des interactions qui diminuent les résultats globaux de la politique. Dans l'ensemble les politiques publiques actuelles globales donnent des estimations des taux de 75% de free-riding. Les mesures d'efficacité dans le domaine énergétique sont donc insuffisantes. Les gouvernements doivent se concentrer davantage sur la pauvreté monétaire (le manque d'argent) comme une cause du faible taux des rénovations et envisager l'octroi de subventions pour les rénovations comme une solution potentielle.

Document disponible en ligne: http://faere.fr/pub/PolicyPapers/Charlier_Risch_Salmon_FAERE_PP2016.01.pdf ; Rapports ; Dans cet article, nous évaluons les mesures publiques actuelles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES),la consommation énergétique, et à lutter contre le « fardeau de l'énergie » à long terme, de sorte qu'il soit possible d'offrir des recommandations politiques pertinentes. Nous développons un modèle d'équilibre partiel existant afin de prendre en considération les déterminants clés du poids excessif de l'énergie. Cette analyse révèle que les politiques publiques ne sont pas suffisantes pour atteindre les objectifs ambitieux en matière de réduction de la consommation énergétique et des émissions de GES en France. De plus, les diminutions qui pourraient se produire dissimulent les disparités sociales importantes entre les ménages. La mise en œuvre conjointe de plusieurs outils conduit à des interactions qui diminuent les résultats globaux de la politique. Dans l'ensemble les politiques publiques actuelles globales donnent des estimations des taux de 75% de free-riding. Les mesures d'efficacité dans le domaine énergétique sont donc insuffisantes. Les gouvernements doivent se concentrer davantage sur la pauvreté monétaire (le manque d'argent) comme une cause du faible taux des rénovations et envisager l'octroi de subventions pour les rénovations comme une solution potentielle.

Document disponible en ligne: http://faere.fr/pub/PolicyPapers/Charlier_Risch_Salmon_FAERE_PP2016.01.pdf ; Rapports ; Dans cet article, nous évaluons les mesures publiques actuelles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES),la consommation énergétique, et à lutter contre le « fardeau de l'énergie » à long terme, de sorte qu'il soit possible d'offrir des recommandations politiques pertinentes. Nous développons un modèle d'équilibre partiel existant afin de prendre en considération les déterminants clés du poids excessif de l'énergie. Cette analyse révèle que les politiques publiques ne sont pas suffisantes pour atteindre les objectifs ambitieux en matière de réduction de la consommation énergétique et des émissions de GES en France. De plus, les diminutions qui pourraient se produire dissimulent les disparités sociales importantes entre les ménages. La mise en œuvre conjointe de plusieurs outils conduit à des interactions qui diminuent les résultats globaux de la politique. Dans l'ensemble les politiques publiques actuelles globales donnent des estimations des taux de 75% de free-riding. Les mesures d'efficacité dans le domaine énergétique sont donc insuffisantes. Les gouvernements doivent se concentrer davantage sur la pauvreté monétaire (le manque d'argent) comme une cause du faible taux des rénovations et envisager l'octroi de subventions pour les rénovations comme une solution potentielle.