La campagne électorale laisse les électeurs sur leur faim
In: Revue politique et parlementaire, Band 114, Heft 1063, S. 271-281
ISSN: 0035-385X
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In: Revue politique et parlementaire, Band 114, Heft 1063, S. 271-281
ISSN: 0035-385X
International audience ; En 1983, Etienne Schweisguth réalisait une enquête auprès de citoyens ordinaires, dans un contexte interrogeant les effets de l'alternance de 1981. Il mettait en évidence plusieurs types idéologiques et un groupe d'entretiens résistant à ce principe de classement : les divers. Notre revisite part de cette énigme. La réflexion sur la méthode et les modalités de son déploiement outillé est au cœur de notre démarche. La ré-analyse que nous proposerons se fait notamment à travers le choix d'outils et de logiciels d'analyse « qualitative » (ADT et CAQDAS).
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International audience ; En 1983, Etienne Schweisguth réalisait une enquête auprès de citoyens ordinaires, dans un contexte interrogeant les effets de l'alternance de 1981. Il mettait en évidence plusieurs types idéologiques et un groupe d'entretiens résistant à ce principe de classement : les divers. Notre revisite part de cette énigme. La réflexion sur la méthode et les modalités de son déploiement outillé est au cœur de notre démarche. La ré-analyse que nous proposerons se fait notamment à travers le choix d'outils et de logiciels d'analyse « qualitative » (ADT et CAQDAS).
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International audience ; Les enquêtes de l'International Social Survey Programme (ISSP) portent en 2003 et 2013 sur le thème de l'identité nationale et de la perception des immigrés, avec de nombreuses questions identiques, ce qui permet des analyses comparées dans le temps et selon les pays.La communication s'intéresse d'abord – pour quinze pays européens - à un problème méthodologique : comment considérer les réponses « ne peut choisir » et l'absence de réponse, que les résultats distinguent ? Sur 47 variables communes aux deux vagues d'enquête, deux indices sont construits, montrant que les « ne peut choisir » et les sans réponse correspondent à deux populations assez spécifiques, même si leurs caractéristiques sociodémographiques ont des parentés assez fortes selon le genre, l'âge, les catégories sociales, l'implication politique.De 2003 à 2013, on observe une baisse de la propension à ne pas se positionner (somme des « ne peut choisir » et des sans réponse) comme dans beaucoup d'autres enquêtes. Si des explications structurelles (niveau d'études croissant, meilleures pratiques des instituts de sondage…) peuvent expliquer cette évolution, il semble plus difficile de l'attribuer à une polarisation générale des opinions sur ces questions.La communication compare ensuite les résultats par pays et à dix ans de distance pour trois thématiques :- le nationalisme identitaire, mesuré par deux indices, est élevé mais stable, baissant au Portugal et en Irlande mais augmentant en Europe centrale et orientale. Il est particulièrement fort chez les personnes faiblement diplômées et âgées, à forte religiosité, orientées à droite.- la fierté nationale, fortement corrélée au nationalisme dans beaucoup de pays, diffère selon les domaines : on est en général beaucoup plus fier des performances sportives et scientifiques du pays, de son histoire et de sa culture que de ses réalisations économiques, de son sens de la justice ou de son influence politique dans le monde. Comparé à la fierté, un indice de honte de son pays montre ...
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International audience ; Les enquêtes de l'International Social Survey Programme (ISSP) portent en 2003 et 2013 sur le thème de l'identité nationale et de la perception des immigrés, avec de nombreuses questions identiques, ce qui permet des analyses comparées dans le temps et selon les pays.La communication s'intéresse d'abord – pour quinze pays européens - à un problème méthodologique : comment considérer les réponses « ne peut choisir » et l'absence de réponse, que les résultats distinguent ? Sur 47 variables communes aux deux vagues d'enquête, deux indices sont construits, montrant que les « ne peut choisir » et les sans réponse correspondent à deux populations assez spécifiques, même si leurs caractéristiques sociodémographiques ont des parentés assez fortes selon le genre, l'âge, les catégories sociales, l'implication politique.De 2003 à 2013, on observe une baisse de la propension à ne pas se positionner (somme des « ne peut choisir » et des sans réponse) comme dans beaucoup d'autres enquêtes. Si des explications structurelles (niveau d'études croissant, meilleures pratiques des instituts de sondage…) peuvent expliquer cette évolution, il semble plus difficile de l'attribuer à une polarisation générale des opinions sur ces questions.La communication compare ensuite les résultats par pays et à dix ans de distance pour trois thématiques :- le nationalisme identitaire, mesuré par deux indices, est élevé mais stable, baissant au Portugal et en Irlande mais augmentant en Europe centrale et orientale. Il est particulièrement fort chez les personnes faiblement diplômées et âgées, à forte religiosité, orientées à droite.- la fierté nationale, fortement corrélée au nationalisme dans beaucoup de pays, diffère selon les domaines : on est en général beaucoup plus fier des performances sportives et scientifiques du pays, de son histoire et de sa culture que de ses réalisations économiques, de son sens de la justice ou de son influence politique dans le monde. Comparé à la fierté, un indice de honte de son pays montre ...
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In: French politics, Band 1, Heft 2, S. 243-245
ISSN: 1476-3427
The 2002 elections in France have been a unique occasion to study the French voter in a dynamic perspective. With two elections (presidential and legislative) in a few weeks sequence of time, the analysis of the dynamics of political choice and voting was requiring a special design. Two research teams (the CEVIPOF in Paris and the CIDSP in Grenoble) and a private political expertise agency (the CECOP) have joined their efforts to conduce the biggest electoral study ever done in France, the Panel ´electroal franc¸ais 2002 (the ''PEF 2002''). With a support from the Ministère de l'Intérieur and the Fondation nationale des Sciences Politiques, the PEF 2002 is a three waves panel study of the French voter in the context of the 2002 campaigns and elections. The overall sample of the French electorate is more than 10 000 individuals from which 1822 have been interviewed two times and 1413three times. The paper presents an overview of this unique study.
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The 2002 elections in France have been a unique occasion to study the French voter in a dynamic perspective. With two elections (presidential and legislative) in a few weeks sequence of time, the analysis of the dynamics of political choice and voting was requiring a special design. Two research teams (the CEVIPOF in Paris and the CIDSP in Grenoble) and a private political expertise agency (the CECOP) have joined their efforts to conduce the biggest electoral study ever done in France, the Panel ´electroal franc¸ais 2002 (the ''PEF 2002''). With a support from the Ministère de l'Intérieur and the Fondation nationale des Sciences Politiques, the PEF 2002 is a three waves panel study of the French voter in the context of the 2002 campaigns and elections. The overall sample of the French electorate is more than 10 000 individuals from which 1822 have been interviewed two times and 1413three times. The paper presents an overview of this unique study.
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In: French politics, Band 1, Heft 2, S. 243-245
ISSN: 1476-3427
The 2002 elections in France have been a unique occasion to study the French voter in a dynamic perspective. With two elections (presidential & legislative) in a few weeks sequence of time, the analysis of the dynamics of political choice & voting required a special design. Two research teams (the CEVIPOF in Paris & the CIDSP in Grenoble) & a private political expertise agency (the CECOP) have joined their efforts to conduce the biggest electoral study ever done in France, the Panel electoral francais 2002 (the "PEF 2002"). With support from the Ministere de l'Interieur & the Fondation nationale des Sciences Politiques, the PEF 2002 is a three-wave panel study of the French voter in the context of the 2002 campaigns & elections. The overall sample of the French electorate comprises 10,000+ individuals, 1,822 have been interviewed twice & 1,413 three times. The paper presents an overview of this unique study. Adapted from the source document.
The 2002 elections in France have been a unique occasion to study the French voter in a dynamic perspective. With two elections (presidential and legislative) in a few weeks sequence of time, the analysis of the dynamics of political choice and voting was requiring a special design. Two research teams (the CEVIPOF in Paris and the CIDSP in Grenoble) and a private political expertise agency (the CECOP) have joined their efforts to conduce the biggest electoral study ever done in France, the Panel ´electroal franc¸ais 2002 (the ''PEF 2002''). With a support from the Ministère de l'Intérieur and the Fondation nationale des Sciences Politiques, the PEF 2002 is a three waves panel study of the French voter in the context of the 2002 campaigns and elections. The overall sample of the French electorate is more than 10 000 individuals from which 1822 have been interviewed two times and 1413three times. The paper presents an overview of this unique study.
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The 2002 elections in France have been a unique occasion to study the French voter in a dynamic perspective. With two elections (presidential and legislative) in a few weeks sequence of time, the analysis of the dynamics of political choice and voting was requiring a special design. Two research teams (the CEVIPOF in Paris and the CIDSP in Grenoble) and a private political expertise agency (the CECOP) have joined their efforts to conduce the biggest electoral study ever done in France, the Panel ´electroal franc¸ais 2002 (the ''PEF 2002''). With a support from the Ministère de l'Intérieur and the Fondation nationale des Sciences Politiques, the PEF 2002 is a three waves panel study of the French voter in the context of the 2002 campaigns and elections. The overall sample of the French electorate is more than 10 000 individuals from which 1822 have been interviewed two times and 1413three times. The paper presents an overview of this unique study.
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Actes du 1er colloque international francophone sur les méthodes qualitatives. Hors Série "Bilan et prospectives de la recherche qualitative en sciences humaines et sociales. ; International audience ; La capitalisation et l'analyse secondaire du qualitatif en sciences humaines et sociales est encore peu répandue en France. Le présent article présente le développement de ces pratiques de la recherche qualitative et les problématiques de recherche autour d'elles. Il présente les résultats d'une collaboration entre deux institutions de recherche au sein du projet CAPAS (CAPitalisation et Analyse Secondaire) : -le GRETS, groupe de recherche en sciences sociales et humaines de EDF/R&D qui conduit depuis 1998 une politique de capitalisation et de ré-utilisation de ses enquêtes qualitatives ainsi qu'une réflexion méthodologique sur ces questions ; -l'unité mixte de recherche PACTE (CNRS-IEP-Université de Grenoble) reconnue depuis longtemps par ses travaux sur la capitalisation des données quantitatives et qui a rendu possible un élargissement de cette problématique à un réseau de recherche plus large. Cette expérience novatrice constitue un indice du développement à venir de l'analyse secondaire qualitative en France.
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Actes du 1er colloque international francophone sur les méthodes qualitatives. Hors Série "Bilan et prospectives de la recherche qualitative en sciences humaines et sociales. ; International audience ; La capitalisation et l'analyse secondaire du qualitatif en sciences humaines et sociales est encore peu répandue en France. Le présent article présente le développement de ces pratiques de la recherche qualitative et les problématiques de recherche autour d'elles. Il présente les résultats d'une collaboration entre deux institutions de recherche au sein du projet CAPAS (CAPitalisation et Analyse Secondaire) : -le GRETS, groupe de recherche en sciences sociales et humaines de EDF/R&D qui conduit depuis 1998 une politique de capitalisation et de ré-utilisation de ses enquêtes qualitatives ainsi qu'une réflexion méthodologique sur ces questions ; -l'unité mixte de recherche PACTE (CNRS-IEP-Université de Grenoble) reconnue depuis longtemps par ses travaux sur la capitalisation des données quantitatives et qui a rendu possible un élargissement de cette problématique à un réseau de recherche plus large. Cette expérience novatrice constitue un indice du développement à venir de l'analyse secondaire qualitative en France.
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Actes du 1er colloque international francophone sur les méthodes qualitatives. Hors Série "Bilan et prospectives de la recherche qualitative en sciences humaines et sociales. ; International audience ; La capitalisation et l'analyse secondaire du qualitatif en sciences humaines et sociales est encore peu répandue en France. Le présent article présente le développement de ces pratiques de la recherche qualitative et les problématiques de recherche autour d'elles. Il présente les résultats d'une collaboration entre deux institutions de recherche au sein du projet CAPAS (CAPitalisation et Analyse Secondaire) : -le GRETS, groupe de recherche en sciences sociales et humaines de EDF/R&D qui conduit depuis 1998 une politique de capitalisation et de ré-utilisation de ses enquêtes qualitatives ainsi qu'une réflexion méthodologique sur ces questions ; -l'unité mixte de recherche PACTE (CNRS-IEP-Université de Grenoble) reconnue depuis longtemps par ses travaux sur la capitalisation des données quantitatives et qui a rendu possible un élargissement de cette problématique à un réseau de recherche plus large. Cette expérience novatrice constitue un indice du développement à venir de l'analyse secondaire qualitative en France.
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Actes du 1er colloque international francophone sur les méthodes qualitatives. Hors Série "Bilan et prospectives de la recherche qualitative en sciences humaines et sociales. ; International audience ; La capitalisation et l'analyse secondaire du qualitatif en sciences humaines et sociales est encore peu répandue en France. Le présent article présente le développement de ces pratiques de la recherche qualitative et les problématiques de recherche autour d'elles. Il présente les résultats d'une collaboration entre deux institutions de recherche au sein du projet CAPAS (CAPitalisation et Analyse Secondaire) : -le GRETS, groupe de recherche en sciences sociales et humaines de EDF/R&D qui conduit depuis 1998 une politique de capitalisation et de ré-utilisation de ses enquêtes qualitatives ainsi qu'une réflexion méthodologique sur ces questions ; -l'unité mixte de recherche PACTE (CNRS-IEP-Université de Grenoble) reconnue depuis longtemps par ses travaux sur la capitalisation des données quantitatives et qui a rendu possible un élargissement de cette problématique à un réseau de recherche plus large. Cette expérience novatrice constitue un indice du développement à venir de l'analyse secondaire qualitative en France.
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