La population des continents et des États en 2022 : quel bilan des conséquences de la pandémie Covid-19 ?
In: Population & Avenir, Band 760, Heft 5, S. 14-19
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In: Population & Avenir, Band 760, Heft 5, S. 14-19
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In: Population & Avenir, Band 735, Heft 5, S. 18-23
In: Population & Avenir, Band 730, Heft 5, S. 18-23
In: Population & Avenir, Band 725, Heft 5, S. 18-23
In: Population & Avenir, Band 720, Heft 5, S. 18-23
In: Population & Avenir, Band 715, Heft 5, S. 18-23
In: Population & Avenir, Band 710, Heft 5, S. 18-23
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 61, Heft 3, S. 227-300
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Résumé La relative stabilité d'ensemble de la population du continent européen n'est assurée que par la croissance de celle de l'Europe occidentale, due pour l'essentiel à l'immigration. En Europe centrale, l'accroissement naturel est négatif, le solde migratoire n'étant positif qu'en Russie. Cette situation s'oppose à celle des États-Unis, où soldes naturel et migratoire sont largement positifs. L'indicateur conjoncturel de fécondité de l'Europe des Quinze enregistre une légère progression depuis 2002, due pour l'essentiel aux anciens membres, pour se situer à 1,55 enfant par femme, soit 0,5 enfant de moins qu'aux États-Unis. Tendances et niveaux de la fécondité sont assez contrastés sur l'ensemble du continent, l'indicateur s'échelonnant de 1,20 en Biélorussie à 2,04 en Islande. En Europe centrale et orientale, où la fécondité était descendue à des niveaux très faibles, le recul semble enrayé dans de nombreux pays. En Europe occidentale, on observe une certaine stabilisation des indicateurs, même s'ils enregistrent une notable élévation en Scandinavie. La descendance finale des générations féminines continue à baisser presque partout, à l'exception des États-Unis. Cette diminution de la descendance finale s'accompagne d'une augmentation de l'infécondité définitive. La durée de vie moyenne continue sa progression dans la quasi-totalité des pays européens. Cependant, les pays issus de l'ancienne Union soviétique n'ont toujours pas rattrapé le niveau qui était le leur dans les années 1960. Si l'espérance de vie à la naissance des femmes est dans certains pays d'Europe occidentale (Espagne, Suisse et France) parmi les plus élevées du monde, elle n'en accuse pas moins un retard de près de 2 ans sur le Japon.
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 61, Heft 3, S. 301-328
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Résumé Les populations anglophones d'Amérique du Nord et d'Océanie, ont, semble-t-il, toujours eu une fécondité plus élevée qu'en Europe, en dépit de l'absence de toute politique visant à intervenir de manière directe dans la sphère familiale. Cependant, depuis quelques décennies, l'écart a tendance à se réduire, ces pays se retrouvant aujourd'hui au niveau des pays européens les plus féconds. Dans ces pays, comme en Europe, la période écoulée depuis la seconde guerre mondiale a été caractérisée par le baby-boom et le recul de la fécondité qui lui a succédé. Le baby-boom y a été plus marqué et plus précoce qu'en Europe. Il a atteint son maximum en 1957 aux États-Unis, en 1959 au Canada, et en 1961 en Australie et en Nouvelle-Zélande. L'ajournement des naissances et leur report à des âges toujours plus élevés a suivi des modalités particulières aux États-Unis. En effet, après le baby-boom, la fécondité des jeunes femmes américaines a rejoint très rapidement son niveau antérieur, et elle est restée à peu près stable depuis. Au contraire, partout ailleurs, le recul des taux de fécondité s'est poursuivi sous l'effet de l'ajournement continu des naissances. De ce fait, dans la plupart des pays, la hausse de la fécondité au-delà de 30 ans, consécutive à la récupération des naissances ajournées a, au mieux, contrebalancé le recul aux âges jeunes ; aux États-Unis, cette hausse, qui provient avant tout d'une augmentation de l'intensité de la fécondité des générations, entraîne une progression de l'indicateur conjoncturel. Dans cet ensemble, le Canada se distingue par une fécondité relativement faible ; l'indicateur conjoncturel s'est stabilisé depuis quelques années à 1,5 enfant par femme, soit une valeur très proche de celle de l'Union européenne dans son ensemble.
In: Population. English edition, Band 61, Heft 3, S. 197
ISSN: 1958-9190
In: Population. English edition, Band 61, Heft 3, S. 267
ISSN: 1958-9190