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World Affairs Online
Schnapper (Dominique), Schnapper (Alain). Puissante et fragile, l'entreprise en démocratie
In: Revue française de sociologie. [English edition], Band 62, Heft 2, S. 331-335
ISSN: 2271-7641
Jean-Daniel Reynaud (1926-2019). Un itinéraire scientifique
In: Sociologie du travail, Band 61, Heft 2
ISSN: 1777-5701
La construction sociale des acteurs de l'entreprise, M. Maurice: Octarès, Toulouse (2008). 232 p
In: Sociologie du travail, Band 52, Heft 2, S. 298-300
ISSN: 1777-5701
Les obstacles au développement des organisations ; Les obstacles au développement des organisations: in: Entreprendre en Chine. Contexte politique, management, réalités sociales (Etude coéditée par le CERI, le CSO et Entreprise & Personnel )
Dans la plupart des cas, la grande entreprise occidentale qui s'implante en Chine visel'essor de ses marchés. Sa stratégie est une stratégie de développement international : ils'agit de prendre place sur le marché chinois – non de « délocaliser » et de profiter desdifférentiels de coûts entre l'Asie et l'Europe. Ce mobile se conçoit d'autant mieux que lescoûts d'entrée dans l'économie chinoise sont lourds. Les barrières font objection auxinstallations opportunistes : par la force des choses, elles s'accordent mieux à des stratégiesde long terme. Un premier inventaire de ces coûts d'entrée conduit à distinguer deuxéléments différents (.).
BASE
Les obstacles au développement des organisations ; Les obstacles au développement des organisations: in: Entreprendre en Chine. Contexte politique, management, réalités sociales (Etude coéditée par le CERI, le CSO et Entreprise & Personnel )
Dans la plupart des cas, la grande entreprise occidentale qui s'implante en Chine visel'essor de ses marchés. Sa stratégie est une stratégie de développement international : ils'agit de prendre place sur le marché chinois – non de « délocaliser » et de profiter desdifférentiels de coûts entre l'Asie et l'Europe. Ce mobile se conçoit d'autant mieux que lescoûts d'entrée dans l'économie chinoise sont lourds. Les barrières font objection auxinstallations opportunistes : par la force des choses, elles s'accordent mieux à des stratégiesde long terme. Un premier inventaire de ces coûts d'entrée conduit à distinguer deuxéléments différents (.).
BASE
Les obstacles au développement des organisations ; Les obstacles au développement des organisations: in: Entreprendre en Chine. Contexte politique, management, réalités sociales (Etude coéditée par le CERI, le CSO et Entreprise & Personnel )
Dans la plupart des cas, la grande entreprise occidentale qui s'implante en Chine visel'essor de ses marchés. Sa stratégie est une stratégie de développement international : ils'agit de prendre place sur le marché chinois – non de « délocaliser » et de profiter desdifférentiels de coûts entre l'Asie et l'Europe. Ce mobile se conçoit d'autant mieux que lescoûts d'entrée dans l'économie chinoise sont lourds. Les barrières font objection auxinstallations opportunistes : par la force des choses, elles s'accordent mieux à des stratégiesde long terme. Un premier inventaire de ces coûts d'entrée conduit à distinguer deuxéléments différents (.).
BASE
En lisant les thèses et les HDR
Pourquoi si peu de femmes accèdent-elles de nos jours en Norvège aux postes de management ? Pourquoi si peu s'engagent-elles dans ce type de formation ? La Norvège apparaît pourtant woman-friendly, à l'instar de la Suède. Est-ce un paradoxe de l'égalité des sexes, principe qui, aux yeux des autres pays, semble érigé en vertu cardinale dans ces États de l'Europe du nord ? Pourquoi en revanche, la France, qui n'a pas à cet égard développé de politique particulièrement incitative, voit-elle ses écoles de gestion, y compris les plus prestigieuses, accueillir de nombreuses jeunes filles, au point qu'aujourd'hui ces établissements parviennent à la parité entre les sexes ? Pourquoi ces jeunes femmes, une fois diplômées, franchissent-elles les barrières traditionnellement opposées aux femmes dans les entreprises et parviennent-elles désormais à des postes de responsabilité au sein des firmes ? Ce sont quelques-unes des questions aux forts enjeux sociétaux qui peuvent légitimement être posées aujourd'hui. On peut y chercher des réponses dans la lecture de la thèse d'Eirinn Larsen qui, sur la base d'un travail historique fouillé, propose un ensemble d'analyses susceptibles d'offrir des explications solides à ce paradoxe social. [Premier paragraphe]
BASE
En lisant les thèses et les HDR
Pourquoi si peu de femmes accèdent-elles de nos jours en Norvège aux postes de management ? Pourquoi si peu s'engagent-elles dans ce type de formation ? La Norvège apparaît pourtant woman-friendly, à l'instar de la Suède. Est-ce un paradoxe de l'égalité des sexes, principe qui, aux yeux des autres pays, semble érigé en vertu cardinale dans ces États de l'Europe du nord ? Pourquoi en revanche, la France, qui n'a pas à cet égard développé de politique particulièrement incitative, voit-elle ses écoles de gestion, y compris les plus prestigieuses, accueillir de nombreuses jeunes filles, au point qu'aujourd'hui ces établissements parviennent à la parité entre les sexes ? Pourquoi ces jeunes femmes, une fois diplômées, franchissent-elles les barrières traditionnellement opposées aux femmes dans les entreprises et parviennent-elles désormais à des postes de responsabilité au sein des firmes ? Ce sont quelques-unes des questions aux forts enjeux sociétaux qui peuvent légitimement être posées aujourd'hui. On peut y chercher des réponses dans la lecture de la thèse d'Eirinn Larsen qui, sur la base d'un travail historique fouillé, propose un ensemble d'analyses susceptibles d'offrir des explications solides à ce paradoxe social. [Premier paragraphe]
BASE
Claude Dubar, Pierre Tripier, Sociologie des professions: Armand Colin, coll. « U », Paris, 1998, 256 p
In: Sociologie du travail, Band 42, Heft 2, S. 347-348
ISSN: 1777-5701
L'entreprise à l'épreuve des normes de marché: Les paradoxes des nouveaux standards de gestion dans l'industrie
In: Revue française de sociologie, Band 38, Heft 3, S. 553
A propos du nouveau modèle productif : questions d'efficience, questions de légitimité
In: Sociologie du travail, Band 35, Heft 1, S. 49-61
ISSN: 1777-5701
Commentaires de Denis Segrestin
In: Revue économique, Band 39, Heft 1, S. 181-186
ISSN: 1950-6694
Réponse à l'analyse de C. Paradeise sur Le phénomène corporatiste
In: Revue française de sociologie, Band 28, Heft 3, S. 559