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World Affairs Online
Entretien avec Louis-Georges Soler
In: Sociologies pratiques, Band 41, Heft 2, S. 9-16
ISSN: 2104-3787
Is there a win-win scenario with increased beef quality and reduced consumption?
In the scientific literature, the debate on health and environmental benefits of a reduction in the share of animal-sourced food, in particular beef, in consumer diets is mostly focused on demand-side vs. supply transitions. We discuss in this paper the necessary conditions for a win-win scenario to exist, where consumer preferences for diets with less red meat are accompanied by a transition in livestock production systems towards higher average quality of beef. Trade-offs between quantity and quality of beef at the consumer level, and between domestic and international markets forproducers are presented, as well as the determinants of reduced beef consumption, productivity gains, innovation in quality and environmental impacts in the case of France. We present a simplified model of aggregate consumer surplus and producer profit, with decisions on beef demand, output price and quality, to explore the necessary combination of changes in consumer preferences, producer strategies and public policies, required to produce a win-win scenario. Our experiment provides conditions for a win-win scenario, including increased efficiency on domestic andinternational beef markets and enhanced consumer awareness. We suggest research priorities and policy recommendations for accompanying transition in food preferences and cattle production system. ; National audience
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L'étiquetage nutritionnel face à l'arbitrage goût-santé
In: INRA Sciences Sociales 5-6/2012 , 1-7. (2013)
Dans de nombreux pays, l'étiquetage nutritionnel est l'un des outils envisagés, ou déjà mis en place, par les pouvoirs publics pour essayer de modifier les comportements des consommateurs face aux impacts de santé associés à une alimentation déséquilibrée sur le plan nutritionnel. Les résultats synthétisés ici visent à identifier l'intérêt et les limites de ces démarches d'étiquetage et à en évaluer les effets existants ou potentiels tant du côté de la demande (modification des choix des consommateurs) que de l'offre alimentaire (modification des stratégies des entreprises). Un étiquetage descriptif aurait un impact modeste, plus diffus et de long terme sur le consommateur qui valorise mieux les propriétés gustatives de court terme des aliments que les impacts nutritionnels. Un étiquetage prescriptif aidant à l'identification des produits « nutritionnellement sains » et des produits « à limiter » pourrait avoir un impact plus marqué en contribuant à infléchir les comportements des consommateurs. En revanche, son impact sur l'offre dépend des modalités pratiques de sa mise en place ; le risque étant de voir émerger des équilibres entre l'offre et la demande où les changements des uns sont annulés par ceux des autres sans amélioration nutritionnelle significative.
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Consommation et formation des prix dans les filières fruits et légumes
National audience ; On admet généralement que la consommation individuelle moyenne de fruits et légumes (F&L) en France est de l'ordre de 350 g/j ce qui, au regard d'un objectif de consommation de 400 g/j, conduit à évaluer à 50 g/j par jour et par personne le déficit moyen à combler. A priori, une telle croissance de la consommation de F&L peut être recherchée à travers plusieurs leviers d'action tels que des politiques agissant sur les prix, sur la segmentation du marché ou sur l'information des consommateurs. Nous présentons ici les résultats d'un ensemble de travaux visant à mieux comprendre la formation des prix dans les filières fruits et légumes et à évaluer l'impact de politiques publiques destinées à accroître leur consommation. Les travaux ont porté essentiellement sur les deux principaux fruits et légumes consommés en France : la tomate et la pomme.
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Consommation et formation des prix dans les filières fruits et légumes
Contribution à la journée INRA-SAE2 sur le programme ANR (ANR-05-PNRA-012-01) : Politiques nutritionnelles, régulation des filières et consommation alimentaire. ; National audience ; On admet généralement que la consommation individuelle moyenne de fruits et légumes (F&L) en France est de l'ordre de 350 g/j ce qui, au regard d'un objectif de consommation de 400 g/j, conduit à évaluer à 50 g/j par jour et par personne le déficit moyen à combler. A priori, une telle croissance de la consommation de F&L peut être recherchée à travers plusieurs leviers d'action tels que des politiques agissant sur les prix, sur la segmentation du marché ou sur l'information des consommateurs. Nous présentons ici les résultats d'un ensemble de travaux visant à mieux comprendre la formation des prix dans les filières fruits et légumes et à évaluer l'impact de politiques publiques destinées à accroître leur consommation. Les travaux ont porté essentiellement sur les deux principaux fruits et légumes consommés en France : la tomate et la pomme.
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Consommation et formation des prix dans les filières fruits et légumes
In: Politiques nutritionnelles, régulation des filières et consommation alimentaire, Paris, FRA, 2009-05-25-
On admet généralement que la consommation individuelle moyenne de fruits et légumes (F&L) en France est de l'ordre de 350 g/j ce qui, au regard d'un objectif de consommation de 400 g/j, conduit à évaluer à 50 g/j par jour et par personne le déficit moyen à combler. A priori, une telle croissance de la consommation de F&L peut être recherchée à travers plusieurs leviers d'action tels que des politiques agissant sur les prix, sur la segmentation du marché ou sur l'information des consommateurs. Nous présentons ici les résultats d'un ensemble de travaux visant à mieux comprendre la formation des prix dans les filières fruits et légumes et à évaluer l'impact de politiques publiques destinées à accroître leur consommation. Les travaux ont porté essentiellement sur les deux principaux fruits et légumes consommés en France : la tomate et la pomme.
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Consommation et formation des prix dans les filières fruits et légumes
In: INRA Sciences Sociales 2 , 1-4. (2009)
On admet généralement que la consommation individuelle moyenne de fruits et légumes (F&L) en France est de l'ordre de 350 g/j ce qui, au regard d'un objectif de consommation de 400 g/j, conduit à évaluer à 50 g/j par jour et par personne le déficit moyen à combler. A priori, une telle croissance de la consommation de F&L peut être recherchée à travers plusieurs leviers d'action tels que des politiques agissant sur les prix, sur la segmentation du marché ou sur l'information des consommateurs. Nous présentons ici les résultats d'un ensemble de travaux visant à mieux comprendre la formation des prix dans les filières fruits et légumes et à évaluer l'impact de politiques publiques destinées à accroître leur consommation. Les travaux ont porté essentiellement sur les deux principaux fruits et légumes consommés en France : la tomate et la pomme.
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GM/non GM coexistence and admixture monitoring in chains
In: 57. Congrès de l'AFSE, Paris, FRA, 2008-09-18-2008-09-19
In this paper we develop a framework of analysis for the main economic issues that arise in the pursuit of system of labelling for GM and non-GM products under the introduction of GM products. This model represents a vertical relationship with three stages in the supply chain: manufacturer, retailer and final consumers. Co-mingling may occur between non-GM and GM products: contaminated non-GM products may be sold on the final market. To avoid this, the retailer induces his supplier to make tests before the sale. The retailer accepts lots if the GM content is under the public labelling threshold. Above the threshold, lots are sold by the manufacturer on a GM market. Public regulation takes the form of the purity threshold or labelling threshold. The impact of the firm's strategies takes the form of the effort (segregation measures) and the sampling size set up by the supplier/manufacturer. The paper aims to determine under what conditions demand for non-GM products can be satisfied, given that upstream coexistence generates admixture risks, thereby resulting in (i) additional segregation and control tests and (ii) a risk of downgrading for non-GM due to this potential mixing. With this model, not only are the prices and quantities of commercialized non-GM products analyzed, but also the level of contamination of non-GM products throughout the supply chain. An analysis is proposed to evaluate impacts of private and public policies on stakeholders' trade-offs and on the GM/non-GM coexistence.
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Contrats, planification et systèmes de gestion au sein de la firme
In: Sociologie du travail, Band 38, Heft 4, S. 509-526
ISSN: 1777-5701
Comment penser et gérer les procédures de contractualisation internes aux structures organisationnelles ? Entre économie des contrats et sociologie des organisations, les auteurs examinent les difficultés de coordination entre services, proposent une typologie des manières usuellement utilisées pour chercher à résoudre les conflits et des problèmes qui en résultent. Entre engagement et négociation, ils cherchent à dégager une architecture informationnelle tenable simultanément pour la coordination et la planification, en recourant aux notions de prescription mutuelle, de plan interactif et de représentation de référence.
Prescriptive Labeling of Food Products: a suitable Policy Instrument?
In: Revue d'économie politique, Band 126, Heft 5, S. 895-919
ISSN: 2105-2883
L'étiquetage prescriptif, tel que le système de code couleur appelé « traffic light » qui permet de classer et hiérarchiser les produits, modifie le comportement des entreprises. Ainsi, une politique publique d'étiquetage qui prend seulement en compte le comportement des consommateurs peut ne pas atteindre les objectifs fixés. Cette étude utilise un modèle de différenciation verticale dans lequel trois firmes se concurrencent sur un marché. L'objectif est d'analyser les effets d'un étiquetage prescriptif qui engendre une modification de la perception des consommateurs sur la qualité des produits et d'identifier comment une politique publique d'étiquetage affecte les parts de marché des entreprises, les prix et le bien-être. Nous examinons deux cas. Dans le premier, le régulateur veut renforcer la valorisation de l'attribut de qualité dominant. Nous montrons qu'un étiquetage récompensant les firmes entraine une amélioration de la qualité fournie sur le marché. De plus, une politique d'étiquetage modérément contraignante génère de meilleurs résultats. Dans le second cas, le régulateur veut atténuer la perception de qualité sur l'attribut dominant. Un étiquetage sanctionnant l'attribut qualité dominant est le meilleur scenario.
Prescriptive labeling of food products: a suitable policy instrument?
Prescriptive labels, which include the use of "traffic light" rankings on food products and energy efficiency classifications on electrical appliances, modify firms' decisions. Thus, a labeling policy that accounts only for consumer responses may not achieve its intended outcome. This study uses a vertical differentiation model in which three firms compete in a market to examine the changes in consumers' quality perceptions caused by prescriptive labeling and to identify how these policies impact market share, prices and welfare. We examine two cases faced by the public regulator. When the regulator wants to reinforce the valorization of the dominant quality attribute, we find that a rewarding labeling strategy yields more weighted quality in the market than a penalizing strategy. Furthermore, a mildly stringent rewarding strategy generates the highest results. In the case where the regulator wants to weaken this quality perception, a penalizing labeling strategy is the best scenario. ; L'étiquetage prescriptif, tel que le système de code couleur appelé « traffic light » qui permet de classer et hiérarchiser les produits, modifie le comportement des entreprises. Ainsi, une politique publique d'étiquetage qui prend seulement en compte le comportement des consommateurs peut ne pas atteindre les objectifs fixés. Cette étude utilise un modèle de différenciation verticale dans lequel trois firmes se concurrencent sur un marché. L'objectif est d'analyser les effets d'un étiquetage prescriptif qui engendre une modification de la perception des consommateurs sur la qualité des produits et d'identifier comment une politique publique d'étiquetage affecte les parts de marché des entreprises, les prix et le bien-être. Nous examinons deux cas. Dans le premier, le régulateur veut renforcer la valorisation de l'attribut de qualité dominant. Nous montrons qu'un étiquetage récompensant les firmes entraine une amélioration de la qualité fournie sur le marché. De plus, une politique d'étiquetage modérément contraignante génère de meilleurs résultats. Dans le second cas, le régulateur veut atténuer la perception de qualité sur l'attribut dominant. Un étiquetage sanctionnant l'attribut qualité dominant est le meilleur scenario
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Prescriptive labeling of food products: a suitable policy instrument?
In: Revue d'Economie Politique 5 (126), 895-919. (2016)
Prescriptive labels, which include the use of "traffic light" rankings on food products and energy efficiency classifications on electrical appliances, modify firms' decisions. Thus, a labeling policy that accounts only for consumer responses may not achieve its intended outcome. This study uses a vertical differentiation model in which three firms compete in a market to examine the changes in consumers' quality perceptions caused by prescriptive labeling and to identify how these policies impact market share, prices and welfare. We examine two cases faced by the public regulator. When the regulator wants to reinforce the valorization of the dominant quality attribute, we find that a rewarding labeling strategy yields more weighted quality in the market than a penalizing strategy. Furthermore, a mildly stringent rewarding strategy generates the highest results. In the case where the regulator wants to weaken this quality perception, a penalizing labeling strategy is the best scenario. ; L'étiquetage prescriptif, tel que le système de code couleur appelé « traffic light » qui permet de classer et hiérarchiser les produits, modifie le comportement des entreprises. Ainsi, une politique publique d'étiquetage qui prend seulement en compte le comportement des consommateurs peut ne pas atteindre les objectifs fixés. Cette étude utilise un modèle de différenciation verticale dans lequel trois firmes se concurrencent sur un marché. L'objectif est d'analyser les effets d'un étiquetage prescriptif qui engendre une modification de la perception des consommateurs sur la qualité des produits et d'identifier comment une politique publique d'étiquetage affecte les parts de marché des entreprises, les prix et le bien-être. Nous examinons deux cas. Dans le premier, le régulateur veut renforcer la valorisation de l'attribut de qualité dominant. Nous montrons qu'un étiquetage récompensant les firmes entraine une amélioration de la qualité fournie sur le marché. De plus, une politique d'étiquetage modérément contraignante génère de meilleurs résultats. Dans le second cas, le régulateur veut atténuer la perception de qualité sur l'attribut dominant. Un étiquetage sanctionnant l'attribut qualité dominant est le meilleur scenario
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Prescriptive labeling of food products: a suitable policy instrument?
Prescriptive labels, which include the use of "traffic light" rankings on food products and energy efficiency classifications on electrical appliances, modify firms' decisions. Thus, a labeling policy that accounts only for consumer responses may not achieve its intended outcome. This study uses a vertical differentiation model in which three firms compete in a market to examine the changes in consumers' quality perceptions caused by prescriptive labeling and to identify how these policies impact market share, prices and welfare. We examine two cases faced by the public regulator. When the regulator wants to reinforce the valorization of the dominant quality attribute, we find that a rewarding labeling strategy yields more weighted quality in the market than a penalizing strategy. Furthermore, a mildly stringent rewarding strategy generates the highest results. In the case where the regulator wants to weaken this quality perception, a penalizing labeling strategy is the best scenario. ; L'étiquetage prescriptif, tel que le système de code couleur appelé « traffic light » qui permet de classer et hiérarchiser les produits, modifie le comportement des entreprises. Ainsi, une politique publique d'étiquetage qui prend seulement en compte le comportement des consommateurs peut ne pas atteindre les objectifs fixés. Cette étude utilise un modèle de différenciation verticale dans lequel trois firmes se concurrencent sur un marché. L'objectif est d'analyser les effets d'un étiquetage prescriptif qui engendre une modification de la perception des consommateurs sur la qualité des produits et d'identifier comment une politique publique d'étiquetage affecte les parts de marché des entreprises, les prix et le bien-être. Nous examinons deux cas. Dans le premier, le régulateur veut renforcer la valorisation de l'attribut de qualité dominant. Nous montrons qu'un étiquetage récompensant les firmes entraine une amélioration de la qualité fournie sur le marché. De plus, une politique d'étiquetage modérément contraignante génère de ...
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Food Safety, Liability and Collective Norms
Over the last few years, retailers have implemented new collective private norms in order to improve food safety and reduce the risks related to microbial contamination and pesticide residues. In this paper, we propose a model of vertical relationships in which a group of retailers imposes more stringent specifications to upstream producers. We consider that the contamination risk is endogenously determined by the efforts made by the producers in order to improve food safety. We also consider that the penalty costs – related to the liability rule in the event of a crisis – decrease accordingly as the requirement level of the collective norm rises. We show how the liability rule influences the level of the collective norm and the contamination risk ; Afin de renforcer la sécurité sanitaire des produits alimentaires, la grande distribution met en place un certain nombre de normes restrictives sur le référencement des producteurs. Cet article étudie le fonctionnement économique de ces normes, dans le cadre d'une formalisation des relations verticales producteurs-distributeurs. Le modèle d'analyse intègre à la fois un risque endogène de marché (lié à l'adoption ou non des normes sécurisées par les agriculteurs) ainsi qu'un risque de pénalité pour les distributeurs défectueux (en cas de crise sanitaire). Nous montrons comment ce dernier principe de politique publique, dit de « responsabilité », explique en partie l'action coordonnée des distributeurs et peut de fait influencer le risque sanitaire.
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