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International audience ; We develop two issues: 1. a territorial assemblage is a narrative which organizes in a complex hypernetwork (Johnson) heterogeneous elements (characters, contexts, plots, tools, discourses…) 2. as a new kind of artifact, it is then necessary to imagine a political mode of " being together " in a world-like-assemblages. A territory, a city, an area are, literally, a " story being done " , it is an ongoing process, a performative (Austin). And as Mac Intyres affirms it (After the virtue, 1981), " the stories must be lived before being told ". The narrative is then the making of the territory. We propose then five models of the being together in this assemblage: an apolitical mode of innovation (Bergson, Deleuze, Serres), a mode of recognition (Honneth), a mode of self-organisation (Guattari, Negri), a cybernetic mode (Smart City) and a mode of diplomacy (Latour). We will develop two ideas in this paper: a territorial assemblage is a narrative, it connects very heterogeneous ingredients. But as such, it is possible to live in it only if we are able to imagine a political mode of " being together " in a world-like-assemblages. First we try to develop our first claim: a territorial assemblage is a narrative which organizes heterogeneous entities (characters, context, plot, tools, discourses…) in a kind of complex hypernetwork.

International audience ; We develop two issues: 1. a territorial assemblage is a narrative which organizes in a complex hypernetwork (Johnson) heterogeneous elements (characters, contexts, plots, tools, discourses…) 2. as a new kind of artifact, it is then necessary to imagine a political mode of " being together " in a world-like-assemblages. A territory, a city, an area are, literally, a " story being done " , it is an ongoing process, a performative (Austin). And as Mac Intyres affirms it (After the virtue, 1981), " the stories must be lived before being told ". The narrative is then the making of the territory. We propose then five models of the being together in this assemblage: an apolitical mode of innovation (Bergson, Deleuze, Serres), a mode of recognition (Honneth), a mode of self-organisation (Guattari, Negri), a cybernetic mode (Smart City) and a mode of diplomacy (Latour). We will develop two ideas in this paper: a territorial assemblage is a narrative, it connects very heterogeneous ingredients. But as such, it is possible to live in it only if we are able to imagine a political mode of " being together " in a world-like-assemblages. First we try to develop our first claim: a territorial assemblage is a narrative which organizes heterogeneous entities (characters, context, plot, tools, discourses…) in a kind of complex hypernetwork.

International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.

International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.

International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.

International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.

This article reports on an action research to support the urban community of Cap Excellence in Guadaloupe in its local sustainable development project. After summarizing the terms of the debate around sustainable development, and presenting the region, the search will be put back into the context of a more general approach of territorial* intelligence (TI). The limits of a local Agenda 21 in the form of a "programmed action plan" is the chance to enhance the concept of TI with that of territorial assemblage. Our study area is the natural reserve of the Grand Cul-de-Sac Marin of Guadeloupe, the second largest biosphere reserve designated by UNESCO in the archipelago of the Petites Antilles, more specifically the implementation of the Taonaba project, whose goal is to launch an ecotourism visitors' centre, operational at the end of 2012. Based on the analysis of a large amount of data, the article describes an evaluation tool for territorial assemblages for participative territorial governance. Our results were presented to local government officials in the Urban Sustainable Development Forum, which our group organised from 2 to 4 April 2012, in the district of Abymes/Pointe-à -Pitre. ; Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación

This article reports on an action research to support the urban community of Cap Excellence in Guadaloupe in its local sustainable development project. After summarizing the terms of the debate around sustainable development, and presenting the region, the search will be put back into the context of a more general approach of territorial* intelligence (TI). The limits of a local Agenda 21 in the form of a 'programmed action plan' is the chance to enhance the concept of TI with that of territorial assemblage. Our study area is the natural reserve of the Grand Cul-de-Sac Marin of Guadeloupe, the second largest biosphere reserve designated by UNESCO in the archipelago of the Petites Antilles, more specifically the implementation of the Taonaba project, whose goal is to launch an ecotourism visitors' centre, operational at the end of 2012. Based on the analysis of a large amount of data, the article describes an evaluation tool for territorial assemblages for participative territorial governance. Our results were presented to local government officials in the Urban Sustainable Development Forum, which our group organised from 2 to 4 April 2012, in the district of Abymes/Pointe-à-Pitre

This article reports on an action research to support the urban community of Cap Excellence in Guadaloupe in its local sustainable development project. After summarizing the terms of the debate around sustainable development, and presenting the region, the search will be put back into the context of a more general approach of territorial* intelligence (TI). The limits of a local Agenda 21 in the form of a 'programmed action plan' is the chance to enhance the concept of TI with that of territorial assemblage. Our study area is the natural reserve of the Grand Cul-de-Sac Marin of Guadeloupe, the second largest biosphere reserve designated by UNESCO in the archipelago of the Petites Antilles, more specifically the implementation of the Taonaba project, whose goal is to launch an ecotourism visitors' centre, operational at the end of 2012. Based on the analysis of a large amount of data, the article describes an evaluation tool for territorial assemblages for participative territorial governance. Our results were presented to local government officials in the Urban Sustainable Development Forum, which our group organised from 2 to 4 April 2012, in the district of Abymes/Pointe-à-Pitre

This article reports on an action research to support the urban community of Cap Excellence in Guadaloupe in its local sustainable development project. After summarizing the terms of the debate around sustainable development, and presenting the region, the search will be put back into the context of a more general approach of territorial* intelligence (TI). The limits of a local Agenda 21 in the form of a 'programmed action plan' is the chance to enhance the concept of TI with that of territorial assemblage. Our study area is the natural reserve of the Grand Cul-de-Sac Marin of Guadeloupe, the second largest biosphere reserve designated by UNESCO in the archipelago of the Petites Antilles, more specifically the implementation of the Taonaba project, whose goal is to launch an ecotourism visitors' centre, operational at the end of 2012. Based on the analysis of a large amount of data, the article describes an evaluation tool for territorial assemblages for participative territorial governance. Our results were presented to local government officials in the Urban Sustainable Development Forum, which our group organised from 2 to 4 April 2012, in the district of Abymes/Pointe-à-Pitre