Le vote des étrangers en France: y penser toujours, en parler parfois, ne l'appliquer jamais?
In: Baromètre politiqe français: Elections 2007
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In: Baromètre politiqe français: Elections 2007
World Affairs Online
In: Revue internationale de politique comparée 9.2002,1
In: Revue française de science politique, Band 57, Heft 3, S. 459-474
ISSN: 1950-6686
Résumé En affichant le projet d'une « rupture tranquille », Nicolas Sarkozy a certes manifesté une volonté de distanciation avec ses prédécesseurs, mais celle-ci ne vaut pas renoncement à toutes les ressources et dimensions de l'héritage. Si l'asymétrie des rapports de force entre les composantes partisanes de droite est bien avérée au lendemain du 6 mai 2007, une dynamique politique doublée d'une dynamique sociale, débordant l'une et l'autre les contours traditionnels de la droite classique, ont assuré – grâce à ce syncrétisme – la victoire de Nicolas Sarkozy. Mais l'élection de Nicolas Sarkozy comble aussi les attentes césaristes d'une partie de son électorat et signale la nostalgie, toujours à l'œuvre dans la société française, du renforcement gaulliste de la fonction présidentielle.
In: Revue française de science politique, Band 57, Heft 3-4, S. 459-474
ISSN: 0035-2950
By showing the project of a "quiet break," Nicolas Sarkozy certainly showed a will of distance with his predecessors, but this one is not worth renunciation of all the resources & the dimensions of the inheritance. If the asymmetry of the balance of power between the partisan right constituents is turned out well after May 6th, 2007, a political dynamics doubled by a social one, going beyond the traditional outlines of the classic right, ensured -- thanks to his syncretism -- Nicolas Sarkozy's victory. But the election of Nicolas Sarkozy also fills the cesaristes expectations of a part of his electorate & indicate the nostalgia, always in the work in the French society, of the Gaullist intensification of the presidential function. Tables, Graphs. Adapted from the source document.
In: Revue française de science politique, Band 57, Heft 3-4, S. 459-474
ISSN: 0035-2950
World Affairs Online
In: Revue française de science politique, Band 57, Heft 3-4, S. 459-474
ISSN: 0035-2950
In: Politique européenne, Band 12, Heft 1, S. 105-121
ISSN: 2105-2875
La structure fédérale de l'Allemagne et la répartition des compétences entre le Bund et les Länder ont mis au jour une tension à l'œuvre autour de la mise en place du droit de vote municipal des citoyens de l'Union : l'obligation, d'une part, pour l'Etat fédéral d'assurer l'application effective du droit communautaire sur l'ensemble de son territoire jointe, d'autre part, à une disposition légale selon laquelle le droit électoral communal relève de la compétence des Länder, selon l'article 70 de la Loi fondamentale. Une approche de l'Europe au « microscope du local » permet d'attester–dans le cas que nous examinons des résistances à l'uniformisation : si les règles sont promues d'en haut et tendent à l'harmonisation, des marges de manœuvre sont préservées dans l'application de ces mêmes règles et le fédéralisme reste un levier sûr de diversification. 1
In: Revue française de science politique, Band 53, Heft 1, S. 3-34
ISSN: 0035-2950
World Affairs Online
In: Revue française de science politique, Band 53, Heft 1, S. 3-34
L'Union européenne sert de bouc émissaire mais aussi de miroir à nombre de problèmes politiques internes. L'Europe, « invisible mais omniprésente »1 dans le précédent scrutin de 2002, va-t-elle jouer un rôle dans la campagne présidentielle et la formation de la décision électorale des citoyens en 2007 ? On pourrait le penser car un « acte lourd » a été posé le 29 mai 2005, lors du vote négatif de la France à l'occasion du référendum portant ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe. « Acte lourd » de par ses significations2 mais aussi de par ses conséquences tant françaises qu'européennes. [Premier paragraphe]
BASE
On ne saurait, dans une enquête qui traite des rapports des Français à la politique, se passer de questions concernant les attitudes vis-à-vis des institutions ou plus généralement des éléments constitutifs du système politique car est en jeu, alors, le cadre qui organise les modalités du consentement des gouvernés au pouvoir exercé par les gouvernants. [Premières lignes]
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L'Union européenne sert de bouc émissaire mais aussi de miroir à nombre de problèmes politiques internes. L'Europe, « invisible mais omniprésente »1 dans le précédent scrutin de 2002, va-t-elle jouer un rôle dans la campagne présidentielle et la formation de la décision électorale des citoyens en 2007 ? On pourrait le penser car un « acte lourd » a été posé le 29 mai 2005, lors du vote négatif de la France à l'occasion du référendum portant ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe. « Acte lourd » de par ses significations2 mais aussi de par ses conséquences tant françaises qu'européennes. [Premier paragraphe]
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On ne saurait, dans une enquête qui traite des rapports des Français à la politique, se passer de questions concernant les attitudes vis-à-vis des institutions ou plus généralement des éléments constitutifs du système politique car est en jeu, alors, le cadre qui organise les modalités du consentement des gouvernés au pouvoir exercé par les gouvernants. [Premières lignes]
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Quelles vont être les " traces " du référendum de 2005 dans le scrutin de 2007, dont le premier tour est fixé au 22 avril, soit juste un mois après la date du 50 ème anniversaire de la signature du traité de Rome (25 mars 1957) ? C'est une question d'ampleur, car l'enjeu européen " travaille ", depuis le référendum de ratification du traité de Maastricht en 1992, les équilibres sociaux, politiques et partisans français.
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L'Union européenne sert de bouc émissaire mais aussi de miroir à nombre de problèmes politiques internes. L'Europe, « invisible mais omniprésente »1 dans le précédent scrutin de 2002, va-t-elle jouer un rôle dans la campagne présidentielle et la formation de la décision électorale des citoyens en 2007 ? On pourrait le penser car un « acte lourd » a été posé le 29 mai 2005, lors du vote négatif de la France à l'occasion du référendum portant ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe. « Acte lourd » de par ses significations2 mais aussi de par ses conséquences tant françaises qu'européennes. [Premier paragraphe]
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