Suchergebnisse
Filter
64 Ergebnisse
Sortierung:
The role of cognitive and normative frames in Policy-making
In: EUI working papers / Robert Schuman Centre, 98,45
World Affairs Online
L' état et le livre: Les politiques publiques du livre en France (1957-1993)
In: Logiques politiques
World Affairs Online
Paul Sabatier. Theories of the policy process (1999)
In: Revue française de science politique, Band hors-série, Heft HS1, S. 333-339
ISSN: 1950-6686
L'État et l'opinion
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Band 177, Heft 2, S. 59-69
Lieu commun de la vie politique, la relation entre l'État et l'opinion est depuis longtemps considérée comme une interaction complexe. Cet article montre que, si les décideurs tiennent bien compte de l'opinion, ils le font de manière différente selon les contextes, et la manipulent parfois pour la constituer en ressource de pouvoir. Mais, parce que derrière elle se cache l'électeur, l'opinion constitue aussi une pression ou une menace diversement intégrée par les acteurs politiques au moment de prendre une décision.
How to stay populist? The Front National and the changing French party system
In: West European politics, Band 42, Heft 6, S. 1230-1257
ISSN: 1743-9655
La mécanique de l'action publique: Le process tracing dans l'analyse des politiques publiques
In: Revue française de science politique, Band 68, Heft 6, S. 991-1014
ISSN: 1950-6686
Resume L'article, dans le cadre de ce numéro spécial sur le process tracing , entend montrer comment ce (nouveau) protocole de recherche peut s'avérer utile dans l'analyse des politiques publiques et poursuit par là même deux objectifs principaux. Pointer tout d'abord les similitudes et affinités que cette méthode, centrée sur l'identification et le séquençage de mécanismes causaux à l'œuvre dans un processus politique donné, entretient avec certains éléments du kit analytique de la sociologie de l'action publique (analyse séquentielle, néo-institutionnalisme, analyses du changement, etc.). Identifier ensuite par quels moyens, cette méthode parfois discutée de manière très abstraite, peut fournir des outils opérationnels pour une analyse plus systématique et plus fine des trajectoires de politique publique. Pour ce faire, nous défendons l'idée que les mécanismes causaux, qui constituent à nos yeux les éléments centraux de la démarche, peuvent être mieux isolés et articulés à l'aide du modèle des « trois I », le séquençage d'une politique publique pouvant se faire à partir de l'identification de mécanismes attachés aux idées, aux intérêts et aux institutions.
Qui gouverne l'économie ?
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Band 142, Heft 3, S. 43-60
Résumé La question du gouvernement ou de la régulation de l'économie et du système financier se pose avec une réelle acuité depuis que les crises bancaires, financières et celle des dettes souveraines ont débuté. La remise en perspective historique et comparative permet de montrer que l'économie, longtemps pilotée de façon principale par les États, est désormais gouvernée par un ensemble toujours plus nombreux d'acteurs publics et privés placés à différents niveaux de gouvernement. Administrations, firmes, groupes d'intérêt, think tanks élaborent ainsi des régulations complexes et évolutives dans un cadre faiblement institutionnalisé, qui donne parfois le sentiment d'un auto-gouvernement chaotique et dépolitisé. La question de la régulation de l'économie est de ce point de vue aussi celle, plus générale, de la place de l'État et du gouvernement des sociétés contemporaines.
Qui gouverne l'economie?
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Heft 142, S. 43-60
The question of the role of the government or of the regulation of the economy and the financial system has taken a new urgency since the beginning of the crises of the banking and financial systems and sovereign debts. A historical perspective and comparative approach reveal that the economy, which for a long time was run principally by the state, is now managed by an increasing number of public and private actors operating at different institutional levels. Public administrations, companies, interest groups, think tanks all produce complex and changing regulations in a weak institutionalized framework, sometimes giving the impression of a chaotic and depoliticized self-government. In this regard, the question of the regulation of the economy also raises the broader question of the role of the state and the government in contemporary societies. Adapted from the source document.
Hay (Colin), ed. – New Directions in Political Science. Responding to the Challenges of an Interdependent World . – Basingstoke, Palgrave Macmillan, 2010. 318 p. Bibliogr. Index
In: Revue française de science politique, Band 61, Heft 6, S. II-II
ISSN: 1950-6686
Configurational Comparative Methods. Qualitative comparative Analysis (QCA)
In: Revue française de science politique, Band 61, Heft 6, S. 1157-1160
ISSN: 0035-2950
Le poids des organisations internationales dans les réformes des politiques sociales
In: Informations sociales, Band 157, Heft 1, S. 36-43
Résumé L'analyse des transformations récentes des États-providence a mis en lumière le rôle d'influence qu'ont pu jouer les organisations internationales comme la Banque mondiale ou l'OCDE. En produisant des représentations cohérentes des problèmes à traiter et en préconisant certaines directions aux États pour la réforme des politiques sociales, ces organisations ont en effet sans doute été à l'origine de nouveaux paradigmes de politique publique, diffusés progressivement. Ainsi, les réformes des retraites ou les politiques de l'emploi portent-elles la « marque » de ces diagnostics et solutions, souvent définis par référence à des idées « néolibérales ». Cette influence doit cependant être nuancée, d'abord parce que ces organisations ne sont pas les seules sources de changement, mais également parce que les configurations institutionnelles nationales des politiques sociales tendent à résister ou à décliner de façon chaque fois particulière les orientations ou préconisations émises par des acteurs supranationaux.
Las politicas publicas como paradigmas
In: Estudios políticos, Heft 33, S. 41-65
ISSN: 0121-5167
LE CHEF DE L'OPPOSITION
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Band 108, Heft 1, S. 63-80
Résumé La notion de chef de l'opposition reste peu étudiée par les travaux de science politique, alors même que la personnalisation et la médiatisation de la vie politique ont incontestablement conduit à une valorisation de ce rôle. Ce paradoxe s'explique sans doute par la prudence des sciences sociales dans le traitement des acteurs individuels, mais également par la difficulté à définir précisément les contours de ce rôle politique (peu reconnu par les mécanismes institutionnels classiques) et à identifier les dépositaires de cette fonction. Cet article se propose dès lors de mobiliser trois séries de variables d'analyse pour étudier le chef de l'opposition : les déterminants institutionnels classiques, notamment la forme du régime ; les logiques de fonctionnement des systèmes de partis, déterminées pour partie par les modes de scrutin ; les éléments « personnels » associés au charisme supposé des chefs de l'opposition et à leur maîtrise des médias. En appliquant ces variables aux systèmes politiques allemand, américain, britannique, français et italien, on constate que cette fonction de chef de l'opposition est peu codifiée, rarement monopolisée et de plus en plus dépendante des « caractéristiques » personnelles associées aux acteurs politiques concernés.
Le chef de l'opposition
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionnelles et politiques, Heft 108, S. 63-80
ISSN: 0152-0768