Single mothers and their children: disposal, punishment and survival in Australia
In: Studies in Australian history
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In: Studies in Australian history
In: Settler colonial studies, Band 13, Heft 4, S. 575-580
ISSN: 1838-0743
In: The Journal of the history of childhood and youth, Band 16, Heft 1, S. 151-152
ISSN: 1941-3599
In: The Australian journal of politics and history: AJPH, Band 68, Heft 1, S. 129-130
ISSN: 1467-8497
In: Journal of family history: studies in family, kinship and demography, Band 47, Heft 3, S. 248-260
ISSN: 1552-5473
Based on a database of Australian cases from 1834–1954, this article argues that abandonment was an intentional strategy intended to maximise a child's chances of survival while preserving its family's reputation. However, abandonment had the potential to expose family secrets, bringing them into the public gaze and subjecting them to interrogation. Abandonment was also used for revenge, exposing the identity of putative fathers in a demand for financial support. Through this analysis the article positions abandonment as a key site of interaction between the individual and society, and the private and the public in relation to the politics of secrecy.
In: Annales de démographie historique: ADH, Band 142, Heft 2, S. 147-164
ISSN: 1776-2774
On peut considérer que l'adoption, le déplacement permanent d'un enfant d'une famille à une autre, est rarement politiquement neutre, mais signale plutôt un déséquilibre de pouvoir qui est souvent nié par les processus juridiques qui l'autorisent. Le choix du terme « adoption forcée » par des militants dans plusieurs pays occidentaux a bouleversé les conceptions actuelles de l'adoption au xx e siècle, qui considèrent celle-ci comme une pratique sociale bienveillante permettant de trouver des foyers pour les enfants « non désirés » ou comme une transaction dans un marché libre permettant aux couples stériles de construire des familles. Bien que non sans contestation, cette perturbation met au défi les historiens de l'adoption de placer leur travail dans un contexte plus large de pratiques nationales et internationales de retrait d'enfants. En s'appuyant sur le nombre croissant d'études en anglais documentant ces pratiques dans différents contextes nationaux, cet article cartographie l'étendue et la variété des moyens par lesquels les gouvernements ont utilisé le recours à l'adoption pour renforcer les politiques sociales dans des domaines tels que l'assimilation des autochtones ou d'autres minorités raciales, le rapatriement des enfants d'ascendance mixte au lendemain du colonialisme, les représailles contre les opposants politiques pendant les conflits et le contrôle interne des mœurs en temps de paix, la répression de la remise en cause du modèle patriarcal de la famille par l'augmentation des naissances hors mariage dans le monde occidental au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. L'article identifie les contextes nationaux dans lesquels l'adoption plutôt que le placement des enfants est devenue une méthode acceptée et, dans certains cas, privilégiée pour atteindre ces objectifs. Il soutient que la capacité à reconstruire des enfants « souillés » pour les rendre acceptables pour les parents adoptifs potentiels, se présentant au départ comme motivée par la bienveillance, mais de plus en plus par l'infertilité, a été un élément central de cette transition. L'augmentation de la demande qui en a résulté a souvent poussé les autorités pourvoyeuses à élargir leur définition des enfants à adopter, en créant des chaînes d'approvisionnement, dans des endroits aussi divers que l'Australie, l'Espagne, le Nigeria et la Corée du Sud, dans lesquelles les futures mères étaient hébergées et recevaient des soins médicaux à condition qu'elles abandonnent leur enfant à la naissance. Dans de telles circonstances, la liberté du consentement, sur laquelle repose le statut juridique de l'adoption, est gravement compromise. En identifiant les cas où l'absence manifeste de consentement concernant les enfants placés en adoption pendant la guerre ou les troubles civils, notamment en Allemagne et en Argentine, a conduit à perturber les adoptions et, dans de nombreux cas, à les annuler, l'article explore les défis que posent pour l'avenir les tentatives des activistes contemporains de faire classer comme forcées, voire illégales, les adoptions faites dans d'autres contextes et d'autre cadres juridiques.
In: The Journal of the history of childhood and youth, Band 14, Heft 2, S. 191-210
ISSN: 1941-3599
In: The Australian journal of politics and history: AJPH, Band 65, Heft 3, S. 494-494
ISSN: 1467-8497
In: The Australian journal of politics and history: AJPH, Band 63, Heft 1, S. 149-150
ISSN: 1467-8497
In: The history of the family: an international quarterly, Band 23, Heft 1, S. 1-19
ISSN: 1081-602X
In: Children, Childhood and Youth in the British World, S. 27-40
In: The Journal of the history of childhood and youth, Band 8, Heft 1, S. 2-3
ISSN: 1941-3599
In: The Journal of the history of childhood and youth, Band 8, Heft 1, S. 17-33
ISSN: 1941-3599
In memories of institutionalized childhoods the physical shape of the orphanage looms large. Constructed with the dual, and often conflicting, goals of containing and controlling children and impressing potential donors, institutional buildings provided a space in which childhoods were constructed, not only by the planners and administrators but by the children themselves. Grandiose entrances often disguised an inner penury, and, even in institutions ostensibly designed to be "home"-like, the demands of efficiency produced spaces that were anything but domestic. Drawing on published memoirs, oral histories, and the testimonies presented to recent Australian inquiries into the experiences of children who grew up in out-of-home care, this article explores orphanages and related institutions both as represented spaces and as spaces of representation. It argues that although orphanages were efficient but soulless environments that all too often harbored spaces of both physical and sexual abuse, the children, as individuals or as parts of groups, also shaped these environments, investing them with meaning never anticipated by their founders.
In: Australian social work: journal of the AASW, Band 70, Heft sup1, S. 17-28
ISSN: 1447-0748
In: The Australian feminist law journal, Band 41, Heft 2, S. 289-304
ISSN: 2204-0064