Suchergebnisse

La lingua materna, un incrocio di metafore : Sotto l'aspetto storico, l'espressione «lingua materna» è intesa come lingua della madre e come argomento politico : in tutti i due i casi, la dimensione metaforica è messa in rilievo. Vari esempi dimostrano chiaramente corne l'espressione è può cristallizzare diverse matafore e corne un taie incrocio metaforico può essere utilizzato da misure istituzionali per raggiungere la sensibilità delle persone e alludere ai legami identificatori dei gruppi.

The name of a language : a blind ambassador, ignorant of his missions.
Honoured or held in contempt, the name of a language fulfills a pivotal function. The main symbol of multiple realities (linguistic, historical, political), as a pure name, or signifiant, it is also quite ready to serve as a medium and terrain for affects for which it is not destined to be the vehicle. Love, hatred, contempt ; the name of a language is entrenched in with what has been said in that language, but also with the people who speak it, those who spoke it before, or even those who will speak it in the future. No matter whether we prefer to ignore them or seek their company. After taking a close look at the people who are the name-givers, this text presents the example of the terms "creole", "mother tongue", "standard", the linguistic realities they name and the representations they bear.

Lire et écrire : un droit fondamental. La première partie de l'article considère l'état de la littérature, presque cinquante ans après le programme d'alphabétisation lancé par l'UNESCO. La seconde partie propose une synthèse des articles publiés dans Enfance durant la même période, et consacrés à la lecture et à l'écriture du point de vue de la psychologie de l'enfant. L'objectif de l'article est de montrer en quoi les deux entreprises diffèrent tout en étant complémentaires dans leur intérêt pour l'alphabétisation.

Il s'agit ici de la parole d'un enfant particulier dont le langage représente et exprime l'univers de vie.
Le dialogue avec un enfant pose la question du crédit que l'on est prêt à accorder au témoignage d'un enfant. Il ne convient pas seulement d'écouter mais d'entendre.
Faut-il dire « entendre à la lettre » ou « interpréter » ? Et quel est le lien possible entre les deux interlocuteurs, l'adulte et l'enfant ?