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AbstractMeso‐institutions offer a promising theoretical approach for assessing the way in which firms govern their activities and transactions while embedded in the macro‐institutional environment. The concept of meso‐institutions also offers theoretical support when evaluating a wide variety of voluntary standards that have been introduced within value chains in recent decades. Such tools can be considered meso‐institutions because of their features, and because of their role in translating general normative rules into specific mechanisms that delineate the domain of activities of supply chain agents. While various aspects of meso‐institutions have been investigated, little is known about their relationship with micro‐level structures and the determinants of firm's voluntary participation. The present paper investigates the association between a private standard, different forms of transaction governance in the supply chain, and the role that internal and external risks play in voluntary participation in the standard. The analysis draws upon secondary data taken from a representative sample of firms that form part of the European soybean supply chain. Our findings show that firms that participate in this standard have fewer hybrid forms and higher levels of spot markets. This suggests that some of the functions of hybrid forms are fulfilled by the meso‐institution. The results also show that risks associated with firm's behavioral uncertainty are more conducive to the participation in the standard than environmental‐related risks.

This article presents comparative perspectives from Australia, the European Union, and the United States from a plenary session, "Herbicide resistance: Challenges for Farmers and Implications for the Environment" at the 19th Annual Conference of the International Consortium on Applied Bioeconomy Research. Herbicide-resistant (HR) weeds threaten the sustainability of herbicide-tolerant (HT) crops, pose environmental risks from alternative weed control methods, and are altering public and private research and development programs. Institutional responses to HR weeds across the three regions, while confronting similar problems (in some respects, but not others), are taking different forms. The article discusses public policies and private-sector strategies to address weed resistance problems. Considerations of HR weeds are already transforming regulatory approval processes for new HR crop varieties. We conclude by discussing over-arching public policy and agricultural research challenges.

Conventionally bred (CHT) and genetically modified herbicide-tolerant (GMHT) crops have changed weed management practices and made an important contribution to the global production of some commodity crops. However, a concern is that farm management practices associated with the cultivation of herbicide-tolerant (HT) crops further deplete farmland biodiversity and accelerate the evolution of herbicide-resistant (HR) weeds. Diversification in crop systems and weed management practices can enhance farmland biodiversity, and reduce the risk of weeds evolving herbicide resistance. Therefore, HT crops are most effective and sustainable as a component of an integrated weed management (IWM) system. IWM advocates the use of multiple effective strategies or tactics to manage weed populations in a manner that is economically and environmentally sound. In practice, however, the potential benefits of IWM with HT crops are seldom realized because a wide range of technical and socio-economic factors hamper the transition to IWM. Here, we discuss the major factors that limit the integration of HT crops and their associated farm management practices in IWM systems. Based on the experience gained in countries where CHT or GMHT crops are widely grown and the increased familiarity with their management, we propose five actions to facilitate the integration of HT crops in IWM systems within the European Union.

International audience ; Performances économiques de l'agriculture familiale, patronale et d'entreprise7RésuméL'agriculture en Côte d'Ivoire est le fait de différents types de systèmes de production, qui diffèrent grandement lesuns et les autres, en termes de taille, d'accès aux ressources de production (travail, capital) ou encore de droits fonciers. Certaines régions combinent sur un même espace des systèmes de production familiaux, patronaux et d'entreprises, chacune de ces catégories pouvant d'ailleurs renfermer une grande diversité de systèmes. Par ailleurs, ces différentes exploitations n'évoluent pas en vase clos, loin de là, et elles interagissent et échangent connaissances, ressources et produits finis.Leurtrajectoirede différenciation –en constante évolution –ne peut se comprendre que par une étude fine de leurs caractéristiques et de leursrelations les unes aux autres. Il en va de même pour l'étude de leurs performances économiques.L'objectif de ce projet de recherche, dont les principaux résultats sont rassemblés dans ce rapport, était donc d'analyserle fonctionnement économique de ces différents systèmes de production, et par conséquent leursperformances économiques comparées, à partir de trois études de cas en Côte d'Ivoire, concernant plus particulièrement la culture de l'hévéa, du palmier à huile et de la canne à sucre.Les résultats montrent l'importance de la prise en compte de tous les aspects des exploitations dans la réalisation de telles analyses: lesperformances "au champs" (rendement, marge brute) s'avérant de mauvais indicateurs de la performance finale. Nos résultats montrentla capacité de l'agriculture familiale à générer des revenus important alors même qu'elle reste très peu dotée en capital. Dans les trois régions étudiées de Côte d'Ivoire, les exploitations familiales sont capables de rivaliser avec les exploitations patronales et industrielles voisines. Grâce à des systèmes de culture complexes, associant cultures pérennes et cultures vivrières, elles créent biensouvent plus de richesse par unité de surface ou de travail que lesplus grandes exploitations. Ces dernières pâtissent de déséconomies d'échelles liées leur tailleet aux coûts d'organisation du travail, ainsi que, dans le cas des plantations industrielles, de la poursuite d'une logique industrielleau détriment de la logique agricole.Les conclusions de ce travail ont d'importantes implications pour les bailleurs de fond ou les agences de développement.

International audience ; Performances économiques de l'agriculture familiale, patronale et d'entreprise7RésuméL'agriculture en Côte d'Ivoire est le fait de différents types de systèmes de production, qui diffèrent grandement lesuns et les autres, en termes de taille, d'accès aux ressources de production (travail, capital) ou encore de droits fonciers. Certaines régions combinent sur un même espace des systèmes de production familiaux, patronaux et d'entreprises, chacune de ces catégories pouvant d'ailleurs renfermer une grande diversité de systèmes. Par ailleurs, ces différentes exploitations n'évoluent pas en vase clos, loin de là, et elles interagissent et échangent connaissances, ressources et produits finis.Leurtrajectoirede différenciation –en constante évolution –ne peut se comprendre que par une étude fine de leurs caractéristiques et de leursrelations les unes aux autres. Il en va de même pour l'étude de leurs performances économiques.L'objectif de ce projet de recherche, dont les principaux résultats sont rassemblés dans ce rapport, était donc d'analyserle fonctionnement économique de ces différents systèmes de production, et par conséquent leursperformances économiques comparées, à partir de trois études de cas en Côte d'Ivoire, concernant plus particulièrement la culture de l'hévéa, du palmier à huile et de la canne à sucre.Les résultats montrent l'importance de la prise en compte de tous les aspects des exploitations dans la réalisation de telles analyses: lesperformances "au champs" (rendement, marge brute) s'avérant de mauvais indicateurs de la performance finale. Nos résultats montrentla capacité de l'agriculture familiale à générer des revenus important alors même qu'elle reste très peu dotée en capital. Dans les trois régions étudiées de Côte d'Ivoire, les exploitations familiales sont capables de rivaliser avec les exploitations patronales et industrielles voisines. Grâce à des systèmes de culture complexes, associant cultures pérennes et cultures vivrières, elles créent biensouvent plus de richesse par unité de surface ou de travail que lesplus grandes exploitations. Ces dernières pâtissent de déséconomies d'échelles liées leur tailleet aux coûts d'organisation du travail, ainsi que, dans le cas des plantations industrielles, de la poursuite d'une logique industrielleau détriment de la logique agricole.Les conclusions de ce travail ont d'importantes implications pour les bailleurs de fond ou les agences de développement.

International audience ; Performances économiques de l'agriculture familiale, patronale et d'entreprise7RésuméL'agriculture en Côte d'Ivoire est le fait de différents types de systèmes de production, qui diffèrent grandement lesuns et les autres, en termes de taille, d'accès aux ressources de production (travail, capital) ou encore de droits fonciers. Certaines régions combinent sur un même espace des systèmes de production familiaux, patronaux et d'entreprises, chacune de ces catégories pouvant d'ailleurs renfermer une grande diversité de systèmes. Par ailleurs, ces différentes exploitations n'évoluent pas en vase clos, loin de là, et elles interagissent et échangent connaissances, ressources et produits finis.Leurtrajectoirede différenciation –en constante évolution –ne peut se comprendre que par une étude fine de leurs caractéristiques et de leursrelations les unes aux autres. Il en va de même pour l'étude de leurs performances économiques.L'objectif de ce projet de recherche, dont les principaux résultats sont rassemblés dans ce rapport, était donc d'analyserle fonctionnement économique de ces différents systèmes de production, et par conséquent leursperformances économiques comparées, à partir de trois études de cas en Côte d'Ivoire, concernant plus particulièrement la culture de l'hévéa, du palmier à huile et de la canne à sucre.Les résultats montrent l'importance de la prise en compte de tous les aspects des exploitations dans la réalisation de telles analyses: lesperformances "au champs" (rendement, marge brute) s'avérant de mauvais indicateurs de la performance finale. Nos résultats montrentla capacité de l'agriculture familiale à générer des revenus important alors même qu'elle reste très peu dotée en capital. Dans les trois régions étudiées de Côte d'Ivoire, les exploitations familiales sont capables de rivaliser avec les exploitations patronales et industrielles voisines. Grâce à des systèmes de culture complexes, associant cultures pérennes et cultures vivrières, elles créent biensouvent plus de richesse par unité de surface ou de travail que lesplus grandes exploitations. Ces dernières pâtissent de déséconomies d'échelles liées leur tailleet aux coûts d'organisation du travail, ainsi que, dans le cas des plantations industrielles, de la poursuite d'une logique industrielleau détriment de la logique agricole.Les conclusions de ce travail ont d'importantes implications pour les bailleurs de fond ou les agences de développement.

International audience ; Performances économiques de l'agriculture familiale, patronale et d'entreprise7RésuméL'agriculture en Côte d'Ivoire est le fait de différents types de systèmes de production, qui diffèrent grandement lesuns et les autres, en termes de taille, d'accès aux ressources de production (travail, capital) ou encore de droits fonciers. Certaines régions combinent sur un même espace des systèmes de production familiaux, patronaux et d'entreprises, chacune de ces catégories pouvant d'ailleurs renfermer une grande diversité de systèmes. Par ailleurs, ces différentes exploitations n'évoluent pas en vase clos, loin de là, et elles interagissent et échangent connaissances, ressources et produits finis.Leurtrajectoirede différenciation –en constante évolution –ne peut se comprendre que par une étude fine de leurs caractéristiques et de leursrelations les unes aux autres. Il en va de même pour l'étude de leurs performances économiques.L'objectif de ce projet de recherche, dont les principaux résultats sont rassemblés dans ce rapport, était donc d'analyserle fonctionnement économique de ces différents systèmes de production, et par conséquent leursperformances économiques comparées, à partir de trois études de cas en Côte d'Ivoire, concernant plus particulièrement la culture de l'hévéa, du palmier à huile et de la canne à sucre.Les résultats montrent l'importance de la prise en compte de tous les aspects des exploitations dans la réalisation de telles analyses: lesperformances "au champs" (rendement, marge brute) s'avérant de mauvais indicateurs de la performance finale. Nos résultats montrentla capacité de l'agriculture familiale à générer des revenus important alors même qu'elle reste très peu dotée en capital. Dans les trois régions étudiées de Côte d'Ivoire, les exploitations familiales sont capables de rivaliser avec les exploitations patronales et industrielles voisines. Grâce à des systèmes de culture complexes, associant cultures pérennes et cultures vivrières, elles créent biensouvent plus de richesse par unité de surface ou de travail que lesplus grandes exploitations. Ces dernières pâtissent de déséconomies d'échelles liées leur tailleet aux coûts d'organisation du travail, ainsi que, dans le cas des plantations industrielles, de la poursuite d'une logique industrielleau détriment de la logique agricole.Les conclusions de ce travail ont d'importantes implications pour les bailleurs de fond ou les agences de développement.

International audience ; Performances économiques de l'agriculture familiale, patronale et d'entreprise7RésuméL'agriculture en Côte d'Ivoire est le fait de différents types de systèmes de production, qui diffèrent grandement lesuns et les autres, en termes de taille, d'accès aux ressources de production (travail, capital) ou encore de droits fonciers. Certaines régions combinent sur un même espace des systèmes de production familiaux, patronaux et d'entreprises, chacune de ces catégories pouvant d'ailleurs renfermer une grande diversité de systèmes. Par ailleurs, ces différentes exploitations n'évoluent pas en vase clos, loin de là, et elles interagissent et échangent connaissances, ressources et produits finis.Leurtrajectoirede différenciation –en constante évolution –ne peut se comprendre que par une étude fine de leurs caractéristiques et de leursrelations les unes aux autres. Il en va de même pour l'étude de leurs performances économiques.L'objectif de ce projet de recherche, dont les principaux résultats sont rassemblés dans ce rapport, était donc d'analyserle fonctionnement économique de ces différents systèmes de production, et par conséquent leursperformances économiques comparées, à partir de trois études de cas en Côte d'Ivoire, concernant plus particulièrement la culture de l'hévéa, du palmier à huile et de la canne à sucre.Les résultats montrent l'importance de la prise en compte de tous les aspects des exploitations dans la réalisation de telles analyses: lesperformances "au champs" (rendement, marge brute) s'avérant de mauvais indicateurs de la performance finale. Nos résultats montrentla capacité de l'agriculture familiale à générer des revenus important alors même qu'elle reste très peu dotée en capital. Dans les trois régions étudiées de Côte d'Ivoire, les exploitations familiales sont capables de rivaliser avec les exploitations patronales et industrielles voisines. Grâce à des systèmes de culture complexes, associant cultures pérennes et cultures vivrières, elles créent biensouvent plus de richesse par unité de surface ou de travail que lesplus grandes exploitations. Ces dernières pâtissent de déséconomies d'échelles liées leur tailleet aux coûts d'organisation du travail, ainsi que, dans le cas des plantations industrielles, de la poursuite d'une logique industrielleau détriment de la logique agricole.Les conclusions de ce travail ont d'importantes implications pour les bailleurs de fond ou les agences de développement.

International audience ; Performances économiques de l'agriculture familiale, patronale et d'entreprise7RésuméL'agriculture en Côte d'Ivoire est le fait de différents types de systèmes de production, qui diffèrent grandement lesuns et les autres, en termes de taille, d'accès aux ressources de production (travail, capital) ou encore de droits fonciers. Certaines régions combinent sur un même espace des systèmes de production familiaux, patronaux et d'entreprises, chacune de ces catégories pouvant d'ailleurs renfermer une grande diversité de systèmes. Par ailleurs, ces différentes exploitations n'évoluent pas en vase clos, loin de là, et elles interagissent et échangent connaissances, ressources et produits finis.Leurtrajectoirede différenciation –en constante évolution –ne peut se comprendre que par une étude fine de leurs caractéristiques et de leursrelations les unes aux autres. Il en va de même pour l'étude de leurs performances économiques.L'objectif de ce projet de recherche, dont les principaux résultats sont rassemblés dans ce rapport, était donc d'analyserle fonctionnement économique de ces différents systèmes de production, et par conséquent leursperformances économiques comparées, à partir de trois études de cas en Côte d'Ivoire, concernant plus particulièrement la culture de l'hévéa, du palmier à huile et de la canne à sucre.Les résultats montrent l'importance de la prise en compte de tous les aspects des exploitations dans la réalisation de telles analyses: lesperformances "au champs" (rendement, marge brute) s'avérant de mauvais indicateurs de la performance finale. Nos résultats montrentla capacité de l'agriculture familiale à générer des revenus important alors même qu'elle reste très peu dotée en capital. Dans les trois régions étudiées de Côte d'Ivoire, les exploitations familiales sont capables de rivaliser avec les exploitations patronales et industrielles voisines. Grâce à des systèmes de culture complexes, associant cultures pérennes et cultures vivrières, elles créent biensouvent plus de ...