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Les PSE : des outils incitatifs pour favoriser l'intensification écologique ? Enjeux pour la recherche en Afrique de l'Ouest
International audience ; Les systèmes agricoles ne sont plus évalués seulement sur leur capacité à subvenir à nos besoins alimentaires, mais aussi sur leur capacité à protéger l'environnement, notamment la conservation des sols, des ressources en eau, de la biodiversité, et sur leur contribution à la lutte contre le changement climatique. Ce processus d'intensification écologique des agro-écosystèmes pourrait être favorisé par un mécanisme de Paiement pour Services Environnementaux (PSE), basé sur des incitations économiques. Ce papier propose une première base de réflexion appliquée au contexte ouest-africain. Il s'agit de comprendre quels services peuvent être vendus, en quoi des incitations économiques régulées par le marché peuvent être attractives pour de petites agricultures familiales et comment elles peuvent faciliter l'adoption durable de nouvelles pratiques agricoles, plus écologiques, dans des contextes où les marges de manoeuvre des paysans sont faibles (prise de risque difficile, potentialités du milieu faibles, accès aux intrants et savoirs limités, etc.). Après avoir explicité les principes du mécanisme PSE et sa mise en politique dans les pays en voie de développement, nous nous attacherons à présenter deux type de PSE pionniers en Afrique qui concerne la séquestration du carbone dans des systèmes agricoles et agroforestiers. Cela nous permet, dans un dernier temps, de proposer un aperçu des enjeux de recherche pour le développement de projets PSE (portant notamment sur la séquestration du C du sol) en Afrique de l'Ouest.
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Les PSE : des outils incitatifs pour favoriser l'intensification écologique ? Enjeux pour la recherche en Afrique de l'Ouest
International audience ; Les systèmes agricoles ne sont plus évalués seulement sur leur capacité à subvenir à nos besoins alimentaires, mais aussi sur leur capacité à protéger l'environnement, notamment la conservation des sols, des ressources en eau, de la biodiversité, et sur leur contribution à la lutte contre le changement climatique. Ce processus d'intensification écologique des agro-écosystèmes pourrait être favorisé par un mécanisme de Paiement pour Services Environnementaux (PSE), basé sur des incitations économiques. Ce papier propose une première base de réflexion appliquée au contexte ouest-africain. Il s'agit de comprendre quels services peuvent être vendus, en quoi des incitations économiques régulées par le marché peuvent être attractives pour de petites agricultures familiales et comment elles peuvent faciliter l'adoption durable de nouvelles pratiques agricoles, plus écologiques, dans des contextes où les marges de manoeuvre des paysans sont faibles (prise de risque difficile, potentialités du milieu faibles, accès aux intrants et savoirs limités, etc.). Après avoir explicité les principes du mécanisme PSE et sa mise en politique dans les pays en voie de développement, nous nous attacherons à présenter deux type de PSE pionniers en Afrique qui concerne la séquestration du carbone dans des systèmes agricoles et agroforestiers. Cela nous permet, dans un dernier temps, de proposer un aperçu des enjeux de recherche pour le développement de projets PSE (portant notamment sur la séquestration du C du sol) en Afrique de l'Ouest.
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Capacités d'adaptation des agriculteurs à la conservation des forêts dans le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar). Perspectives pour un aménagement intégré des territoires
Thèse réalisée également au sein de l'IRD UR199, 34394 MONTPELLIER Diplôme : Dr. Ing. ; La recherche du « bon cadre d'action » pour concilier le développement des agricultures familiales et la conservation des forêts tropicales dans un contexte de grande pauvreté reste une question d'actualité. Les analyses des échecs du modèle du parc national ont focalisé les débats dans la littérature et les cercles politiques sur le rôle des populations rurales au sein des dispositifs de conservation. Ils opposent ceux qui pensent que la conservation des espaces et des espèces en danger ne pourra se faire qu'en excluant les populations par la force de la loi, grâce à la mise en place d'aires protégées, à ceux qui soulignent la nécessité de considérer les populations rurales comme des acteurs politiques majeurs des régions tropicales grâce à des aménagements négociés des territoires locaux sur la base des usages différenciés des ressources forestières. Si de nouvelles configurations socio-spatiales ont été conçues pour mieux prendre en compte les populations rurales, il n'y pas eu de véritable renouvellement des modalités d'action pour le développement des agricultures familiales. Dans les deux cas, la question du développement ne se pose qu'en termes d'association de la population aux actions d'aménagement pour la conservation. L'agriculture continue d'être considérée comme une activité économique pour laquelle on compense financièrement les contraintes naturelles et sociales qu'elle subit. Cette thèse propose d'ouvrir une troisième voie : il est possible de mieux concilier conservation et développement en recherchant des bases pour l'action, non pas dans la configuration des ressources à protéger, mais dans les logiques d'occupation de l'espace par l'agriculture et les processus de développement associés qui peuvent être compatibles avec la conservation. Ce renversement de perspective proposé correspond finalement à une modification des attentes sociales vis-à-vis de l'agriculture : un développement des agricultures ...
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Capacités d'adaptation des agriculteurs à la conservation des forêts dans le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar). Perspectives pour un aménagement intégré des territoires
Thèse réalisée également au sein de l'IRD UR199, 34394 MONTPELLIER Diplôme : Dr. Ing. ; La recherche du « bon cadre d'action » pour concilier le développement des agricultures familiales et la conservation des forêts tropicales dans un contexte de grande pauvreté reste une question d'actualité. Les analyses des échecs du modèle du parc national ont focalisé les débats dans la littérature et les cercles politiques sur le rôle des populations rurales au sein des dispositifs de conservation. Ils opposent ceux qui pensent que la conservation des espaces et des espèces en danger ne pourra se faire qu'en excluant les populations par la force de la loi, grâce à la mise en place d'aires protégées, à ceux qui soulignent la nécessité de considérer les populations rurales comme des acteurs politiques majeurs des régions tropicales grâce à des aménagements négociés des territoires locaux sur la base des usages différenciés des ressources forestières. Si de nouvelles configurations socio-spatiales ont été conçues pour mieux prendre en compte les populations rurales, il n'y pas eu de véritable renouvellement des modalités d'action pour le développement des agricultures familiales. Dans les deux cas, la question du développement ne se pose qu'en termes d'association de la population aux actions d'aménagement pour la conservation. L'agriculture continue d'être considérée comme une activité économique pour laquelle on compense financièrement les contraintes naturelles et sociales qu'elle subit. Cette thèse propose d'ouvrir une troisième voie : il est possible de mieux concilier conservation et développement en recherchant des bases pour l'action, non pas dans la configuration des ressources à protéger, mais dans les logiques d'occupation de l'espace par l'agriculture et les processus de développement associés qui peuvent être compatibles avec la conservation. Ce renversement de perspective proposé correspond finalement à une modification des attentes sociales vis-à-vis de l'agriculture : un développement des agricultures familiales, s'il est pensé différemment, doit non seulement permettre mais également favoriser la conservation des forêts. L'hypothèse testée est qu'un aménagement intégré des territoires constitue une approche qui permet de répondre à cet objectif. Aborder la question de l'ancrage territorial des capacités d'adaptation des agriculteurs à des mesures de conservation avec des outils et concepts de l'agronomie du territoire nous a permis de proposer une vision dynamique des relations entre activités agricoles et enjeux de conservation, mais aussi d'identifier les différents niveaux d'organisation à prendre en compte pour concevoir un aménagement des territoires visant à mieux concilier conservation et développement. Notre itinéraire méthodologique fondé sur une démarche de modélisation spatiale a également permis de mettre en œuvre une recherche participative pour valider nos résultats et mobiliser les acteurs locaux et régionaux dans une réflexion collective sur les enjeux d'aménagement. Ce cadre d'analyse pourrait être utile pour toute autre recherche s'intéressant aux interactions entre des mesures environnementales et la durabilité des agricultures familiales
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Capacités d'adaptation des agriculteurs à la conservation des forêts dans le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar). Perspectives pour un aménagement intégré des territoires
Thèse réalisée également au sein de l'IRD UR199, 34394 MONTPELLIER Diplôme : Dr. Ing. ; La recherche du « bon cadre d'action » pour concilier le développement des agricultures familiales et la conservation des forêts tropicales dans un contexte de grande pauvreté reste une question d'actualité. Les analyses des échecs du modèle du parc national ont focalisé les débats dans la littérature et les cercles politiques sur le rôle des populations rurales au sein des dispositifs de conservation. Ils opposent ceux qui pensent que la conservation des espaces et des espèces en danger ne pourra se faire qu'en excluant les populations par la force de la loi, grâce à la mise en place d'aires protégées, à ceux qui soulignent la nécessité de considérer les populations rurales comme des acteurs politiques majeurs des régions tropicales grâce à des aménagements négociés des territoires locaux sur la base des usages différenciés des ressources forestières. Si de nouvelles configurations socio-spatiales ont été conçues pour mieux prendre en compte les populations rurales, il n'y pas eu de véritable renouvellement des modalités d'action pour le développement des agricultures familiales. Dans les deux cas, la question du développement ne se pose qu'en termes d'association de la population aux actions d'aménagement pour la conservation. L'agriculture continue d'être considérée comme une activité économique pour laquelle on compense financièrement les contraintes naturelles et sociales qu'elle subit. Cette thèse propose d'ouvrir une troisième voie : il est possible de mieux concilier conservation et développement en recherchant des bases pour l'action, non pas dans la configuration des ressources à protéger, mais dans les logiques d'occupation de l'espace par l'agriculture et les processus de développement associés qui peuvent être compatibles avec la conservation. Ce renversement de perspective proposé correspond finalement à une modification des attentes sociales vis-à-vis de l'agriculture : un développement des agricultures familiales, s'il est pensé différemment, doit non seulement permettre mais également favoriser la conservation des forêts. L'hypothèse testée est qu'un aménagement intégré des territoires constitue une approche qui permet de répondre à cet objectif. Aborder la question de l'ancrage territorial des capacités d'adaptation des agriculteurs à des mesures de conservation avec des outils et concepts de l'agronomie du territoire nous a permis de proposer une vision dynamique des relations entre activités agricoles et enjeux de conservation, mais aussi d'identifier les différents niveaux d'organisation à prendre en compte pour concevoir un aménagement des territoires visant à mieux concilier conservation et développement. Notre itinéraire méthodologique fondé sur une démarche de modélisation spatiale a également permis de mettre en œuvre une recherche participative pour valider nos résultats et mobiliser les acteurs locaux et régionaux dans une réflexion collective sur les enjeux d'aménagement. Ce cadre d'analyse pourrait être utile pour toute autre recherche s'intéressant aux interactions entre des mesures environnementales et la durabilité des agricultures familiales
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Capacités d'adaptation des agriculteurs à la conservation des forêts dans le Corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar) : perspectives pour un aménagement intégré des territoires
La recherche du "bon cadre d'action" pour concilier le développement des agricultures familiales et la conservation des forêts tropicales dans un contexte de grande pauvreté reste une question d'actualité. Les analyses des échecs du modèle du parc national ont focalisé les débats dans la littérature et les cercles politiques sur le rôle des populations rurales au sein des dispositifs de conservation. Ils opposent ceux qui pensent que la conservation des espaces et des espèces en danger ne pourra se faire qu'en excluant les populations par la force de la loi, grâce à la mise en place d'aires protégées, à ceux qui soulignent la nécessité de considérer les populations rurales comme des acteurs politiques majeurs des régions tropicales grâce à des aménagements négociés des territoires locaux sur la base des usages différenciés des ressources forestières. Si de nouvelles configurations socio-spatiales ont été conçues pour mieux prendre en compte les populations rurales, il n'y pas eu de véritable renouvellement des modalités d'action pour le développement des agricultures familiales. Dans les deux cas, la question du développement ne se pose qu'en termes d'association de la population aux actions d'aménagement pour la conservation. L'agriculture continue d'être considérée comme une activité économique pour laquelle on compense financièrement les contraintes naturelles et sociales qu'elle subit. Cette thèse propose d'ouvrir une troisième voie : il est possible de mieux concilier conservation et développement en recherchant des bases pour l'action, non pas dans la configuration des ressources à protéger, mais dans les logiques d'occupation de l'espace par l'agriculture et les processus de développement associés qui peuvent être compatibles avec la conservation. Ce renversement de perspective proposé correspond finalement à une modification des attentes sociales vis-à-vis de l'agriculture : un développement des agricultures familiales, s'il est pensé différemment, doit non seulement permettre mais également favoriser la conservation des forêts. L'hypothèse testée est qu'un aménagement intégré des territoires locaux constitue une approche qui permet de répondre à cet objectif. Aborder la question de l'ancrage territorial des capacités d'adaptation avec des outils et concepts de l'agronomie des territoires nous a permis de proposer une vision dynamique des relations entre activités agricoles et enjeux de conservation, mais aussi d'identifier les différents niveaux d'organisation à prendre en compte pour concevoir un aménagement intégré visant à mieux concilier conservation et développement. Notre itinéraire méthodologique fondé sur une modélisation spatiale a également permis de mettre en oeuvre une recherche participative pour valider nos résultats et mobiliser les acteurs locaux et régionaux dans une réflexion collective sur les enjeux d'aménagement. Ce cadre d'analyse pourrait être utile pour toute autre recherche s'intéressant aux interactions entre des mesures environnementales et la durabilité des agricultures familiales.
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Comment les organisations de producteurs peuvent-elles accompagner leurs membres vers l'intensification écologique ? Se doter d'une politique agro-environnementale et communiquer : le choix de l'UGCPA/BM au Burkina-Faso
Produire plus et produire mieux, tel est le leitmotiv de plus en plus d'organisations de producteurs (OP) d'Afrique de l'Ouest qui s'interrogent sur la durabilité des pratiques agricoles de leurs membres. Que ce soit au Nord ou au Sud, le rôle de l'action collective et des organisations de producteurs comme facilitatrices des processus de changement et d'innovation dans le domaine environnemental reste largement à explorer. Même si les défis sociétaux ne sont pas les mêmes – sécurité alimentaire, emploi et réduction de la pauvreté au Sud, demande sociétale pour limiter les externalités négatives de l'agriculture au Nord –, les enjeux au niveau des producteurs se formulent dans les mêmes termes : quelles sont leurs motivations à changer, quelles références technico-économiques utiliser, quelles innovations sont nécessaires, quelles étapes franchir pour conduire les changements et qui prend en charge le coût de ces changements ? Par la mutualisation des coûts de transaction liés à la diffusion de références, des coûts associés à l'accès à de nouveaux segments de marché pour valoriser des produits de qualité ou encore par la fourniture de services d'appui-conseil adaptés, les organisations de producteurs peuvent jouer un rôle considérable dans l'accompagnement de ces mutations Mais les expériences documentées et mises à disposition des OP qui souhaitent s'engager dans de telles actions restent rares. Dans l'ouest du Burkina Faso, l'Union des groupements pour la commercialisation des produits agricoles de la Boucle du Mouhoun (UGCPA/BM) s'interroge aussi sur la durabilité des pratiques agricoles de ses membres. On y voit trois raisons : le constat de dégradations environnementales qui menacent la production, des incitations de marché (par exemple avec le développement de l'agriculture biologique) ou encore les suggestions de ses partenaires techniques et financiers à anticiper des problèmes de production à moyen ou long terme. Ainsi, en 2011, l'UGCPA/BM s'est dotée d'une politique agro-environnementale (PAE) pour asseoir sa vision des changements de pratiques agricoles à opérer afin d'assurer la durabilité des systèmes de production de ses membres sur le moyen et long terme. Afin de susciter l'adhésion de ses membres à cette vision, l'UGCPA/BM a fait appel à ses partenaires financiers pour l'aider à concevoir une démarche de communication sur sa PAE. C'est ainsi qu'en 2013, la Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) a lancé un projet associant l'OP, la recherche (Cirad1) et une agence de communication (Jade productions2) pour concevoir cette démarche. La présente publication, fondée sur le travail de suiviévaluation réalisé par le Cirad, relate cette expérience-pilote qui apporte des éclairages sur les réalités de l'intensification écologique au Burkina Faso, sur les visions portées par les OP et sur une démarche possible d'accompagnement des producteurs par une OP mobilisant des outils de communication.
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How to design a pro-poor payments for environmental services (PES) mechanism in the forest frontier? Lessons from action research in Madagascar
PES is considered new incentive tools for managing both the environment and rural development in developing countries. However, designing mechanisms tailored to smallholder characteristics and rural development requirements remains a challenge, particularly in tropical countries where the forest sector is characterized by long-standing patterns of inequality and poverty. In order to switch from theoretical principles to a really innovative management tool addressing local issues, we argue that it is necessary to include as from the beginning the characteristics of agricultural dynamics, and to involve local stakeholders in co-designing the ES and in solving problems encountered in their delivery. Through an action-research framework, we explored the characteristics of a "pro-poor" watershed-based PES mechanism associated with a hydropower project. The study site is located in the agricultural frontier of a rainforest in eastern Madagascar. We built a local and inclusive knowledge system based on (1) local and scientific knowledge on the relationships between land use and water services, (2) stakeholder perceptions on the electrification project, and (3) the heterogeneity of livelihoods of targeted households. We were then able to clarify what the environmental service and governance scheme could be. The main results show the necessity of going beyond economic and hydrologic rationales that usually underlie watershed-based PES development. In conclusion, we point out the main elements that underlined the design of a pro-poor PES scheme able to accompany or promote the changes that are advisable for agriculture in the forest frontier.
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How to scale Management Advice for Family Farms in Africa
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Volume 39, Issue 4, p. 515-532
ISSN: 2158-9100
Designing and organizing support for collective innovation in agriculture
This chapter reports on the different functions fulfilled by existing mechanisms for supporting collective innovation in the agricultural and agrifood sectors in the countries of the Global South in order to identify the potential contributions the research community can make to strengthen them. The authors show that a variety of mechanisms are needed to create enabling conditions for innovation and to provide a step-by-step support to innovation communities, according to their capacities and learning needs. Researchers are encouraged to move beyond their traditional roles of knowledge producers or trainers and work more closely with actors involved in supporting innovation. They can then generate new knowledge about innovation mechanisms themselves, helping to design and organize the support for collective innovation in a variety of situations.
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Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales ; Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales: divorce ou alliance ? Le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar)
International audience ; Depuis la fin des années 90, la politique environnementale malgache vise à étendre les sites de conservation de forêts mais bute sur des problèmes de financement pour leur création, leur gestion et leur pérennisation ainsi que pour la compensation des populations locales riveraines de ces forêts. L'émergence de nouveaux marchés environnementaux au Nord ouvre de nouvelles approches qui s'organisent autour de filières globales de valorisation de ces sites de conservation : biodiversité, écotourisme, services écosystémiques. Cependant, l'hétérogénéité et la diversité des situations au niveau local ne peuvent se satisfaire de nouveaux dispositifs de gestion normatifs, sans cohérence avec les particularités sociales etgéographiques et en occultant les anciens compromis existants au sein des systèmes agraires entre protection et valorisation des ressources forestières. En comparant les trois types de filières, l'article vise à poser les bases d'une réflexion sur les lacunes en terme de connaissances et d'outils de gestion pour mieux décliner localement des politiques environnementales basées sur la dimension économique globale des ressources naturelles.
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Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales ; Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales: divorce ou alliance ? Le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar)
International audience ; Depuis la fin des années 90, la politique environnementale malgache vise à étendre les sites de conservation de forêts mais bute sur des problèmes de financement pour leur création, leur gestion et leur pérennisation ainsi que pour la compensation des populations locales riveraines de ces forêts. L'émergence de nouveaux marchés environnementaux au Nord ouvre de nouvelles approches qui s'organisent autour de filières globales de valorisation de ces sites de conservation : biodiversité, écotourisme, services écosystémiques. Cependant, l'hétérogénéité et la diversité des situations au niveau local ne peuvent se satisfaire de nouveaux dispositifs de gestion normatifs, sans cohérence avec les particularités sociales etgéographiques et en occultant les anciens compromis existants au sein des systèmes agraires entre protection et valorisation des ressources forestières. En comparant les trois types de filières, l'article vise à poser les bases d'une réflexion sur les lacunes en terme de connaissances et d'outils de gestion pour mieux décliner localement des politiques environnementales basées sur la dimension économique globale des ressources naturelles.
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Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales ; Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales: divorce ou alliance ? Le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar)
International audience ; Depuis la fin des années 90, la politique environnementale malgache vise à étendre les sites de conservation de forêts mais bute sur des problèmes de financement pour leur création, leur gestion et leur pérennisation ainsi que pour la compensation des populations locales riveraines de ces forêts. L'émergence de nouveaux marchés environnementaux au Nord ouvre de nouvelles approches qui s'organisent autour de filières globales de valorisation de ces sites de conservation : biodiversité, écotourisme, services écosystémiques. Cependant, l'hétérogénéité et la diversité des situations au niveau local ne peuvent se satisfaire de nouveaux dispositifs de gestion normatifs, sans cohérence avec les particularités sociales etgéographiques et en occultant les anciens compromis existants au sein des systèmes agraires entre protection et valorisation des ressources forestières. En comparant les trois types de filières, l'article vise à poser les bases d'une réflexion sur les lacunes en terme de connaissances et d'outils de gestion pour mieux décliner localement des politiques environnementales basées sur la dimension économique globale des ressources naturelles.
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Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales ; Valorisations économiques globales vs locales des sites de conservation des forêts tropicales: divorce ou alliance ? Le corridor Ranomafana-Andringitra (Madagascar)
International audience ; Depuis la fin des années 90, la politique environnementale malgache vise à étendre les sites de conservation de forêts mais bute sur des problèmes de financement pour leur création, leur gestion et leur pérennisation ainsi que pour la compensation des populations locales riveraines de ces forêts. L'émergence de nouveaux marchés environnementaux au Nord ouvre de nouvelles approches qui s'organisent autour de filières globales de valorisation de ces sites de conservation : biodiversité, écotourisme, services écosystémiques. Cependant, l'hétérogénéité et la diversité des situations au niveau local ne peuvent se satisfaire de nouveaux dispositifs de gestion normatifs, sans cohérence avec les particularités sociales etgéographiques et en occultant les anciens compromis existants au sein des systèmes agraires entre protection et valorisation des ressources forestières. En comparant les trois types de filières, l'article vise à poser les bases d'une réflexion sur les lacunes en terme de connaissances et d'outils de gestion pour mieux décliner localement des politiques environnementales basées sur la dimension économique globale des ressources naturelles.
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