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Social and community indicators for evaluating women's work in communities
In: Policy research
Valérie Lefebvre-Faucher, Promenade sur Marx. Du côté des héroïnes, (Montréal : Les Éditions du remue-ménage, coll. micro r-m 2021)
In: Labour: journal of Canadian labour studies = Le travail : revue d'études ouvrières Canadiennes, Band 88
ISSN: 1911-4842
Le salaire au travail ménager, 1972-1977 : retour sur un courant féministe évanoui1
In: Recherches féministes, Band 29, Heft 1, S. 179-198
ISSN: 1705-9240
Dans cet article, l'auteure effectue un retour sur le courant de pensée et le mouvement du « salaire au travail ménager », issus de l'ouvrage de Mariarosa Dalla Costa et Selma James : Le pouvoir des femmes et la subversion sociale (1972). L'auteure offre un aperçu de certaines contributions théoriques de cette pensée et présente le sens de quelques-unes des mobilisations qui l'ont traduite en actions pendant la période 1972-1977. Son article se termine par quelques enjeux contemporains du travail domestique et de reproduction sociale.
Silvia Federici, Caliban et la sorcière. Femmes, corps et accumulation primitive, Marseille/Genève-Paris, Éditions Senonevero/Éditions Entremonde, 2014, 459 p
In: Recherches féministes, Band 27, Heft 2, S. 256
ISSN: 1705-9240
SILVIA FEDERICI, Caliban et la sorcière. Femmes, corps et accumulation primitive
In: Recherches féministes, Band 27, Heft 2, S. 256-261
ISSN: 0838-4479
Analyser autrement la « prostitution » et la « traite des femmes » 1
In: Recherches féministes, Band 19, Heft 1, S. 153-176
ISSN: 1705-9240
La « prostitution » et la « traite des femmes » sont habituellement analysées, dans les études féministes francophones, en utilisant la violence comme angle d'analyse principal et l'exploitation sexuelle, comme schéma interprétatif unique. Le texte remet en question certains postulats et prémisses à la base de bon nombre de ces analyses. Il met aussi en évidence les problèmes conceptuels qu'ils engendrent, ainsi que les biais qui en découlent. Il se termine par un appel en faveur d'une analyse autre du travail sexuel et du travail migratoire féminin et propose une approche différente à cette fin.
Christine Ockrent (dir.) et Sandrine Treiner (coord.) Le livre noir de la condition des femmes. Paris, XO Éditions, 2006, 777 p
In: Recherches féministes, Band 19, Heft 2, S. 181
ISSN: 1705-9240
Analyser autrement la "prostitution" et la "traite des femmes"
In: Recherches féministes, Band 19, Heft 1, S. 153-176
ISSN: 0838-4479
COMPTES RENDUS: Christine Ockrent (dir.) et Sandrine Treiner (coord.) "Le livre noir de la condition des femmes"
In: Recherches féministes, Band 19, Heft 2, S. 181-188
ISSN: 0838-4479
RÉFLEXION: Analyser autrement la "prostitution" et la "traite des femmes"
In: Recherches féministes, Band 19, Heft 1, S. 153-176
ISSN: 0838-4479
Des « usages » de la maternité en histoire du féminisme
In: Articles; Recherches féministes, Band 9, Heft 2, S. 113-135
ISSN: 1705-9240
L'histoire de la première phase du féminisme nord-américain (1850-1960) fait présentement l'objet d'une révision interprétative: le féminisme dit maternel caractériserait davantage cette histoire que le féminisme dit des droits égaux. L'auteure examine dans ce texte un concept à la base même de cette révision: le maternalisme, concept le plus souvent postulé, donc largement anhistorique. Elle soutient que l'absence d'un examen historique amène une certaine historiographie «révisionniste» à généraliser à tout le mouvement féministe de cette première phase un usagebien particulier de la maternité, soit l'usage idéologique. Distinguer les divers usages dont la maternité a été l'objet doit faire partie, selon elle, de la révision historiographique en cours.
Une histoire du féminisme est-elle possible?
In: Articles; Recherches féministes, Band 6, Heft 1, S. 25-52
ISSN: 1705-9240
Depuis au moins 30 ans, un cadre d'analyse historique sert à appréhender le passé du mouvement féministe aux États-Unis. Il s'agit de la dichotomie égalité-différence calquée, grosso modo, sur le débat du même nom et des deux définitions des femmes qui lui sont sous-jacentes : ou un sujet « neutre » ou un sujet « sexué ». Après avoir passé en revue l'évolution de certaines formes qu'emprunte cette dichotomie qui prend l'allure d'un véritable débat sur l'identité historique des femmes, l'auteure conclut que ce cadre d'analyse constitue une véritable idéologie qui fait écran à l'appréhension du passé du mouvement féministe. Certaines conditions d'une nouvelle conceptualisation des oppositions dans le féminisme sont émises en guise de conclusion.
La scission politique du féminisme international sur la question du " trafic des femmes ": vers la " migration " d'un certain féminisme radical ?
In: Recherches féministes, Band 15, Heft 2, S. 9-39
ISSN: 1705-9240
Cet article donne un aperçu de l'argumentation qui met en lumière et différencie les principales coalitions internationales féministes luttant contre ce qui est couramment appelé le « trafic des femmes ». L'argumentation mise en évidence ne touche que la définition du phénomène et le différend qui sépare les coalitions sur le sujet, ainsi que leurs stratégies respectives pour l'éradiquer. L'auteure souligne en conclusion certains tangentes du féminisme radical qui, à son avis, se voient désormais remises en cause à l'occasion du débat sur les migrations des femmes. Ce débat entraînera-t-il, à son tour, se demande-t-elle, la migration d'un certain féminisme radical ?
Le féminisme et la question des « mères travailleuses ». Retour sur le tournant des années 1970
In: Lien social et politiques: revue internationale et interdisciplinaire de sciences humaines consacrée aux thèmes du lien social, de la sociabilité, des problèmes sociaux et des politiques publiques, Heft 36, S. 69-73
ISSN: 1703-9665
Dans cet article, l'auteure entend soumettre à l'examen l'idée selon laquelle le féminisme aurait légitimé le modèle de la mère-travailleuse-salariée. Après un bref retour sur le contexte idéologique de la résurgence du féminisme sur la scène publique en Occident à la fin des années 1960, l'auteure estime qu'une partie seulement du mouvement a légitimé un tel modèle, alors qu'une autre partie, plus radicale, aurait plutôt — s'il faut parler en termes de légitimation — légitimé la révolte et la lutte des femmes contre leur double journée de travail et dénoncé le mythe de la libération par le travail salarié.