An empirical estimation of the economic effects of a bilateral free trade area agreement between Israel and Jordan in the context of the Euro-Mediterranean partnership
In: EUI working papers
In: Robert Schuman Centre 03,11
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In: EUI working papers
In: Robert Schuman Centre 03,11
World Affairs Online
In: World Bank discussion papers 100
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In: Mediterranean politics, S. 1-3
ISSN: 1743-9418
In: The Israel journal of foreign affairs, Band 18, Heft 1, S. 128-131
ISSN: 2373-9789
In: Central European economic journal, Band 11, Heft 58, S. 42-53
ISSN: 2543-6821
Abstract
The creation of a single market in Europe, conceived as the application of the so-called four freedoms (goods, services, capital and manpower) of movement was in vogue in the 1990s. What has happened to this dream? At the time not only business communities but also consumer associations, and even labour unions were all in favour of opening their national economies to the winds of continental competition. Three decades after, some national communities seem to have turned their backs on the free movement of people. The case of Eastern European immigrants settling for work in the UK after 2004 comes to mind, something which arguably was one of the main reasons for the Brexit vote in 2016. The issue could again become the focus of populist governments or parties (e.g., in Italy, France, Sweden, Austria, Hungary or The Netherlands), should the danger of an EU-wide recession or an idiosyncratic crisis in one of the poorest member states (MSs) materialize. Actually, a new intensification of intra-EU migration flows could be one of the outcomes of the unravelling of supply chains as a result of the COVID epidemic and geopolitical considerations, such as the EU's wish to diminish trade dependence from China and Russia. The ground is slowly eroding under the feet of those adamant to cling to the free movement of people as part of the acquis. The EU Commission should give thought, before it is too late, about the fourth freedom particularly in view of future EU enlargements.
In: The Israel journal of foreign affairs, Band 15, Heft 2, S. 201-216
ISSN: 2373-9789
In: The Israel journal of foreign affairs, Band 14, Heft 2, S. 327-330
ISSN: 2373-9789
In: The Israel journal of foreign affairs, S. 1-2
ISSN: 2373-9789
In: Mediterranean politics, Band 21, Heft 3, S. 467-469
ISSN: 1743-9418
In: Mediterranean politics, S. 1-3
ISSN: 1354-2982, 1362-9395
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 371, Heft 1, S. 109-127
ISSN: 2410-9231
Apparemment les deux crises qui déferlent sur le monde arabe et l'Europe du Sud ont des causes et des conséquences différentes. Dans le sud de la Méditerranée, les chercheurs parlent d'une crise politique et sécuritaire. Dans le nord de la Méditerranée, les experts mettent l'accent sur la récession économique et sur l'austérité ainsi que sur la crise de l'euro. L'hypothèse est que les deux étaient et continuent d'être déconnectées. Mais est-ce vraiment ainsi ? Il y a quelques caractéristiques qui se chevauchent et qui sont communes à la plupart des pays méditerranéens et a leurs propres crises. Par exemple, les États du Nord et du Sud qui bordent la Méditerranée souffrent de la corruption endémique de leurs élites, du chômage massif des jeunes et des problèmes similaires environnementaux. Ces caractéristiques ont-elles joué un rôle dans les deux crises ? L'article va tenter de répondre à cette question en premier. Mais même là, en supposant que l'origine et la possible explication des crises jumelles sont écartées, est ce qu'il y a des interactions mutuelles entre elles, compte tenu de la proximité géographique, économique et culturelle des rives Nord et Sud de la Méditerranée ? Et si c'est le cas, est ce que les deux crises se renforcent mutuellement ? Est-ce qu'elles se neutralisent mutuellement ? Si elles se renforcent mutuellement, lequel des deux rives de la Méditerranée est la plus touchée, et au contraire, qui de ces deux bords sort gagnant ? Cet article analyse ce qui est l'effet net probable des deux crises en apparence déconnectées. Au cœur de cet article se trouve la dimension culturelle, démographique et migratoire. Mais le document aborde également d'autres dimensions de ces interactions, telles que le commerce des biens, le commerce des services (principalement le tourisme), les IDE, les flux d'aide, les relations bilatérales entre l'UE et les pays méditerranéens et, sans oublier, la gouvernance politique et économique.