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The recent elections in Greece reflects an enormous change in the political behavior of the electorate. The citizens have not chosen a simple switch on the power, but contributed with their votes to a strategic defeat of populism and in same time they paved the way for the search of a new type of leadership, which is close to realism in handling with social problems that can't be implemented with calculated
financial costs. The vote of 7 th Juli is a vote against the over-promising and underdelivery experienced under Syriza's rule. The voting for conservative ND is not an ideological choice. It's a choice that runs counter to the logic of falsely or hypocritical negotiating austerity measures opposed to Greece buy his Lenders (memorandum) and the consequent tax-tornado as a result of negotiating failure with the partners in the EEC and the IMF. The positive vote for ND also reflects the contradiction with the misguided manipulations of public opinion regarding the Skopje-Question and
finally the strategy of micro concessions and micro-allowances as a means of concluding a "political-social alliance" with an undefined hostile establishment.

It is the first time after the restoration of democracy in Greece that such a U-turn has been conducted. The radical, unconventional and extreme rhetoric against harsh austeritywas sharply transformed into a tactical retreat in order to supposedly support more effectively the public interest. SYRIZA, a heterogeneous alloy of leftist tendencies, treated the popular anger and resentment towards harsher austerity measures in order to achieve electoral rise. Consequently, it was rapidly transformed from a small – protest – party into a power party. In this instance, it transformed, without moral curb, citizens' despair into an extreme rhetoric which defended their "rights" in order to rise to power. Namely, SYRIZA treated instrumentally the expectations of the desperate as a means to rise to power in order to benefit the party but not for the whole society.

Les insuffisances de la PAC actuelle en matière environnementale amènent les différents décideurs publics à envisager la question d'une réforme des instruments de cette politique qui tienne véritablement compte à la fois d'objectifs de soutien d'une agriculture compétitive et de protection de l'environnement. Or dans l'Union européenne, il semble difficile de concilier ces deux objectifs dans la mesure où la relative rareté de la terre pousse les agriculteurs à intensifier les techniques de production et, par voie de conséquence, à utiliser des quantités importantes d'intrants industriels à l'origine de pollution. Pourtant plusieurs éléments peuvent amener à penser que des politiques plus ciblées que les politiques de prix utilisées jusqu'à présent peuvent apporter des solutions intéressantes. Les techniques de production utilisées en Europe reposent dans une large mesure sur l'apport d'intrants aux cultures. Cet apport n'est réalisé avec un gaspillage limité que dans des sites propices aux cultures, i. e. des sites caractérisés par des sols de bonne structure, par un ensoleillement de bonne qualité. Or les qualités agronomiques et la "sensibilité environnementale" des sites de production sont liées, par exemple, les caractéristiques d'un sol séchant limitent ses propriétés agronomiques pour les mêmes raisons qu'elles sont à l'origine de pollutions des eaux si ce sol est utilisé pour une culture intensive. Aussi, s'il est certain qu'un accroissement de l'utilisation d'intrants industriels dans un site de production donné engendre un accroissement d'émissions polluantes, il est bien moins certain qu'une utilisation importante d'intrants industriels dans un site possédant de bonnes qualités agronomiques engendre plus d'émissions polluantes qu'un moindre recours à ces facteurs variables sur un site de médiocre qualité agronomique. Les estimations réalisées montrent que les agriculteurs tiennent compte de ces contraintes. Ces aspects de la production agricole et du comportement des agriculteurs peuvent permettre de contourner cette a priori inévitable incompatibilité des objectifs de compétitivité et de respect de l'environnement. Des politiques tenant compte de l'hétérogénéité des sites de production et employant des instruments ciblés peuvent permettre d'atteindre de manière simultanée et cohérente les objectifs qu'un pays moderne à son agriculture

Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 65 rue de Saint-Brieuc 35042 Rennes Cedex (FRA) ; Les insuffisances de la PAC actuelle en matière environnementale amènent les différents décideurs publics à envisager la question d'une réforme des instruments de cette politique qui tienne véritablement compte à la fois d'objectifs de soutien d'une agriculture compétitive et de protection de l'environnement. Or dans l'Union européenne, il semble difficile de concilier ces deux objectifs dans la mesure où la relative rareté de la terre pousse les agriculteurs à intensifier les techniques de production et, par voie de conséquence, à utiliser des quantités importantes d'intrants industriels à l'origine de pollution. Pourtant plusieurs éléments peuvent amener à penser que des politiques plus ciblées que les politiques de prix utilisées jusqu'à présent peuvent apporter des solutions intéressantes. Les techniques de production utilisées en Europe reposent dans une large mesure sur l'apport d'intrants aux cultures. Cet apport n'est réalisé avec un gaspillage limité que dans des sites propices aux cultures, i. e. des sites caractérisés par des sols de bonne structure, par un ensoleillement de bonne qualité. Or les qualités agronomiques et la "sensibilité environnementale" des sites de production sont liées, par exemple, les caractéristiques d'un sol séchant limitent ses propriétés agronomiques pour les mêmes raisons qu'elles sont à l'origine de pollutions des eaux si ce sol est utilisé pour une culture intensive. Aussi, s'il est certain qu'un accroissement de l'utilisation d'intrants industriels dans un site de production donné engendre un accroissement d'émissions polluantes, il est bien moins certain qu'une utilisation importante d'intrants industriels dans un site possédant de bonnes qualités agronomiques engendre plus d'émissions polluantes qu'un moindre recours à ces facteurs variables sur un site de médiocre qualité agronomique. Les estimations réalisées montrent que les agriculteurs tiennent ...

This is the second part of the article devoted to the approach to the problem of consciousness, which is called illusionism. Illusionism claims that phenomenal consciousness is illusory, because conscious experience is misrepresented as having phenomenal properties. Illusionism replaces the hard problem of con­sciousness with the problem of illusion. In this part, special attention is paid to the justification of illusionism and pointing out its advantages over radical and conservative realism. The critical part does not aim to refute the mentioned ap­proaches or provide a definitive argument for illusionism, but to show that such a view has its own strengths, and following the illusionist position can have its own prospects. In addition, this part presents several positive argu­ments in favor of illusionism, demonstrating that liberation from the meta­physical framework of realism can give a new impetus to the philosophy of consciousness. As a response to criticism, the article considers arguments often cited as reproaches to illusionists. Among these arguments are the accusation that illusionism does not take into account the immediate data of conscious­ness; the indication of the gap between illusion and reality that needs to be filled, as well as the problem of the Cartesian theater – the inner viewer, which distorts experience, forcing us to believe the existence of a phenomenal consciousness.

Die European Values Study (EVS) und die World Values Survey (WVS) sind zwei groß angelegte, länderübergreifende und längsschnittliche Umfrage-Forschungsprogramme. Sie umfassen eine große Anzahl von Fragen zu moralischen, religiösen, gesellschaftlichen, politischen, beruflichen und familiären Werten, die seit Anfang der achtziger Jahre repliziert wurden.

Beide Organisationen vereinbarten, ab 2017 bei der gemeinsamen Datenerhebung zusammenzuarbeiten. Der EVS war verantwortlich für die Planung und Durchführung von Umfragen in europäischen Ländern unter Verwendung des EVS-Fragebogens und der methodischen Richtlinien des EVS. Der WVSA war für die Planung und Durchführung von Umfragen in Ländern außerhalb Europas verantwortlich, wobei der WVS-Fragebogen und die methodischen Richtlinien des WVS verwendet wurden. Beide Organisationen entwickelten ihre Entwürfe für Master-Fragebögen unabhängig voneinander. Die gemeinsamen Items definieren den gemeinsamen Kern beider Fragebögen.

Der Gemeinsame EVS/WVS wird aus den beiden Quellendatensätzen des EVS und des WVS erstellt:
- European Values Study 2017 Integrated Dataset (EVS 2017), ZA7500 Data file Version 5.0.0, doi:10.4232/1.13897 (https://doi.org/10.4232/1.13897).
- World Values Survey: Round Seven–Country-Pooled Datafile. Version 5.0.0, doi: 10.14281/18241.20