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La anulación de las elecciones presidenciales de 2019 puso fin a una crisis política y social durante la cual Bolivia estuvo al borde de la guerra civil. Otro año de campaña electoral volvía a empezar, marcado por el impacto de la Covid-19. Al final, el Movimiento al Socialismo (MAS) volvió, triunfante, al poder. Y por primera vez sin la candidatura de Evo Morales.
BASE
L'annulation de l'élection présidentielle de 2019 a clos une crise politique et sociale qui a entraîné la Bolivie au bord de la guerre civile. Une année de campagne s'ouvrait à nouveau, marquée par l'épidémie de Covid-19. A son issue, le Mouvement vers le socialisme (MAS) est revenu triomphalement au pouvoir, cette fois sans la candidature d'Evo Morales.
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L'annulation de l'élection présidentielle de 2019 a clos une crise politique et sociale qui a entraîné la Bolivie au bord de la guerre civile. Une année de campagne s'ouvrait à nouveau, marquée par l'épidémie de Covid-19. A son issue, le Mouvement vers le socialisme (MAS) est revenu triomphalement au pouvoir, cette fois sans la candidature d'Evo Morales.
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La anulación de las elecciones presidenciales de 2019 puso fin a una crisis política y social durante la cual Bolivia estuvo al borde de la guerra civil. Otro año de campaña electoral volvía a empezar, marcado por el impacto de la Covid-19. Al final, el Movimiento al Socialismo (MAS) volvió, triunfante, al poder. Y por primera vez sin la candidatura de Evo Morales.
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L'annulation de l'élection présidentielle de 2019 a clos une crise politique et sociale qui a entraîné la Bolivie au bord de la guerre civile. Une année de campagne s'ouvrait à nouveau, marquée par l'épidémie de Covid-19. A son issue, le Mouvement vers le socialisme (MAS) est revenu triomphalement au pouvoir, cette fois sans la candidature d'Evo Morales.
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La anulación de las elecciones presidenciales de 2019 puso fin a una crisis política y social durante la cual Bolivia estuvo al borde de la guerra civil. Otro año de campaña electoral volvía a empezar, marcado por el impacto de la Covid-19. Al final, el Movimiento al Socialismo (MAS) volvió, triunfante, al poder. Y por primera vez sin la candidatura de Evo Morales.
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En 2005, l'élection au premier tour de Evo Morales avec 53,74 % des voix et un écart deplus de vingt-cinq points avec le candidat arrivé en deuxième position a signé la fin d'uneère très particulière dans l'histoire électorale et gouvernementale bolivienne, et le débutd'une autre tout aussi singulière.
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Bolivia: fin de ciclo -- En 2005, la elección en la primera vuelta de Evo Morales con el 53.74% de los votos yuna diferencia de más de 25 puntos con respecto al segundo candidato más votado significóel fin de una época muy particular en la historia electoral y gubernamental boliviana y elcomienzo de otra igualmente singular.
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Bolivia: fin de ciclo -- En 2005, la elección en la primera vuelta de Evo Morales con el 53.74% de los votos yuna diferencia de más de 25 puntos con respecto al segundo candidato más votado significóel fin de una época muy particular en la historia electoral y gubernamental boliviana y elcomienzo de otra igualmente singular.
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Bolivia: fin de ciclo -- En 2005, la elección en la primera vuelta de Evo Morales con el 53.74% de los votos yuna diferencia de más de 25 puntos con respecto al segundo candidato más votado significóel fin de una época muy particular en la historia electoral y gubernamental boliviana y elcomienzo de otra igualmente singular.
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En 2005, l'élection au premier tour de Evo Morales avec 53,74 % des voix et un écart deplus de vingt-cinq points avec le candidat arrivé en deuxième position a signé la fin d'uneère très particulière dans l'histoire électorale et gouvernementale bolivienne, et le débutd'une autre tout aussi singulière.
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Bolivia: fin de ciclo -- En 2005, la elección en la primera vuelta de Evo Morales con el 53.74% de los votos yuna diferencia de más de 25 puntos con respecto al segundo candidato más votado significóel fin de una época muy particular en la historia electoral y gubernamental boliviana y elcomienzo de otra igualmente singular.
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En 2005, l'élection au premier tour de Evo Morales avec 53,74 % des voix et un écart deplus de vingt-cinq points avec le candidat arrivé en deuxième position a signé la fin d'uneère très particulière dans l'histoire électorale et gouvernementale bolivienne, et le débutd'une autre tout aussi singulière.
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En 2005, l'élection au premier tour de Evo Morales avec 53,74 % des voix et un écart deplus de vingt-cinq points avec le candidat arrivé en deuxième position a signé la fin d'uneère très particulière dans l'histoire électorale et gouvernementale bolivienne, et le débutd'une autre tout aussi singulière.
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La sorprendente rapidez con la cual las huelgas de hambre de 1978 aceleraron el fin de ladictadura militar de Hugo Banzer e iniciaron la transición democrática en Bolivia requiereun análisis a la luz del carácter autoritario y precario de su gobierno.
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