Approche pragmatique pour une politique de plein emploi: les subventions à la création d'emplois
In: Economic papers no. 22
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In: Economic papers no. 22
The labour market developments have led to substantial changes in household income composition and may have affected inequality in the distribution of household incomes. Our aim is to analyse the evolution of the contribution of different sources of income to total income inequality in the light of developments in the labour market. The scope of this study covers the period from the end of the seven-year period to the beginning of the ninety years and covers several countries. The methodology used is the decomposition of a synthetic inequality index (Gini index) by income sources. The results of this study, in particular those concerning transfers whose share of income has increased but which appear to be less redistributive, show the need to integrate labour market policies and the future of the social protection system into the same issue. The developments which have been characterised the labour market obtained in substantive changes of the composition of the househods' dependesand could possibly affect househould income inequality. Our aim is to analyse the changes in the contributions of the various income sources to total income inequality in the light of the developments in the labour market. This study covers the period from the end of the seventies to the beginnings of the nineties and streches to several countries. The methodology we use is a decomposition of the Gini index of inequality by income sources. The results of this study show that the share of transfers in total income has been increased in order to have betrayed less redistributive. This implies the need to think about labour market policies and the future of the welfare system as integral parts of the same problem. ; Les évolutions qui ont caractérisé le marché du travail se sont traduites par de substantielles modifications de la composition des revenus des ménages et ont pu affecter l'inégalité de la répartition de ces revenus. Notre objectif est d'analyser l'évolution de la contribution des différentes sources de revenus à l'inégalité ...
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Les évolutions qui ont caractérisé le marché du travail se sont traduites par de substantielles modifications de la composition des revenus des ménages et ont pu affecter l'inégalité de la répartition de ces revenus. Notre objectif est d'analyser l'évolution de la contribution des différentes sources de revenus à l'inégalité du revenu total à la lumière des évolutions intervenues sur le marché du travail. Le champ de cette étude couvre la période allant de la fin des années septante au début des années nonante et s'étend à plusieurs pays. La méthodologie utilisée est celle de la décomposition d'un indice synthétique d'inégalité (indice de Gini) par sources de revenus. Les résultats de cette étude, en particulier ceux qui concernent les transferts dont la part dans le revenu a augmenté mais qui semblent devenus moins redistributifs, montrent la nécessité d'intégrer en une même problématique les politiques en faveur du marché du travail et l'avenir du système de protection sociale. The developments which have characterised the labour market haveresulted in substantial modifications of the composition of the househods' incomesand could therefore affect househould income inequality. Our aim is to analyse the changes in the contributions of the various income sources to total income inequality in the light of the developments in the labour market. This study covers the period from the end of the seventies to the beginning of the nineties and streches to several countries. The methodology we use is a decomposition of the Gini index of inequality by income sources. The results of this study show that the share of transfers in total income has increased but they seem to have become less redistributive. This implies the need to think of labour market policies and the future of the welfare system as integral parts of the same problem.
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Les évolutions qui ont caractérisé le marché du travail se sont traduites par de substantielles modifications de la composition des revenus des ménages et ont pu affecter l'inégalité de la répartition de ces revenus. Notre objectif est d'analyser l'évolution de la contribution des différentes sources de revenus à l'inégalité du revenu total à la lumière des évolutions intervenues sur le marché du travail. Le champ de cette étude couvre la période allant de la fin des années septante au début des années nonante et s'étend à plusieurs pays. La méthodologie utilisée est celle de la décomposition d'un indice synthétique d'inégalité (indice de Gini) par sources de revenus. Les résultats de cette étude, en particulier ceux qui concernent les transferts dont la part dans le revenu a augmenté mais qui semblent devenus moins redistributifs, montrent la nécessité d'intégrer en une même problématique les politiques en faveur du marché du travail et l'avenir du système de protection sociale. The developments which have characterised the labour market haveresulted in substantial modifications of the composition of the househods' incomesand could therefore affect househould income inequality. Our aim is to analyse the changes in the contributions of the various income sources to total income inequality in the light of the developments in the labour market. This study covers the period from the end of the seventies to the beginning of the nineties and streches to several countries. The methodology we use is a decomposition of the Gini index of inequality by income sources. The results of this study show that the share of transfers in total income has increased but they seem to have become less redistributive. This implies the need to think of labour market policies and the future of the welfare system as integral parts of the same problem.
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C'est la question que se sont posée les évaluateurs de l'IWEPS (Institut wallon de l'évaluation, de la prospective et de la statistique) lorsque le Gouvernement wallon leur a confié la mission d'évaluer le Plan Marshall2.Vert (PM2.Vert). Si la question «comment évaluer ?» met au-devant de la scène les problèmes de nature méthodologique, elle ne peut être dissociée de la question plus fondamentale : «qu'évaluer ?» C'est donc à la recherche des effets du PM2.Vert et de leur mesure qu'a été consacrée la préparation de l'évaluation de ce plan décrite dans ce numéro de Regards économiques. La première question à laquelle nous avons tenté de répondre est la suivante : quelle est la stratégie poursuivie par le Gouvernement au travers du PM2.Vert ? L'explicitation de cette stratégie, qui consiste à clarifier et hiérarchiser les objectifs du Plan, est nécessaire pour construire un référentiel d'évaluation auquel les résultats observés seront comparés. La modélisation du PM2.Vert comme une chaîne de moyens et d'effets attendus met en évidence les différences de niveaux et de portée de ces effets. Les effets du PM2.Vert seront observés en suivant l'évolution d'indicateurs de résultats. La construction de ces indicateurs pose plusieurs problèmes : adéquation entre l'indicateur et l'objectif qu'il représente, disponibilité de données adéquates, mesure de l'effet net de la politique. La précision des résultats observés est liée à la précision de la définition du champ d'évaluation. En raison de sa complexité, le PM2.Vert sera évalué par parties : treize évaluations thématiques seront réalisées par l'IWEPS au cours des deux prochaines années. Ces évaluations se focaliseront sur la façon dont les acteurs s'approprient les mesures qui leur sont destinées et sur les effets observables à leur niveau. Les résultats de ces évaluations partielles nourriront l'évaluation globale du Plan attendue en fin de législature.
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Les historiens retrouvent des traces d'évaluation jusque dans l'Antiquité : on y faisait déjà l'effort de comprendre et d'améliorer le fonctionnement des communautés politiques. C'est aux Anglo-saxons qu'on reconnaît généralement d'avoir œuvré à la systématisation de l'évaluation : sous des formes limitées dans la marine britannique au 18e siècle, puis formellement aux USA et au Canada, pays qui ont créé les premières sociétés d'évaluation. Si l'évaluation des politiques est restée peu pratiquée par les services publics en Belgique jusqu'aux années 2000, elle a connu un développement spectaculaire au cours des quinze dernières années, et notamment dans la partie francophone du pays. L'article revient sur ce qu'implique la démarche évaluative et sur la formation dispensée aujourd'hui en Wallonie.
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Les historiens retrouvent des traces d'évaluation jusque dans l'Antiquité : on y faisait déjà l'effort de comprendre et d'améliorer le fonctionnement des communautés politiques. C'est aux Anglo-saxons qu'on reconnaît généralement d'avoir œuvré à la systématisation de l'évaluation : sous des formes limitées dans la marine britannique au 18e siècle, puis formellement aux USA et au Canada, pays qui ont créé les premières sociétés d'évaluation. Si l'évaluation des politiques est restée peu pratiquée par les services publics en Belgique jusqu'aux années 2000, elle a connu un développement spectaculaire au cours des quinze dernières années, et notamment dans la partie francophone du pays. L'article revient sur ce qu'implique la démarche évaluative et sur la formation dispensée aujourd'hui en Wallonie.
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