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Changes with regard to climate and permafrost are giving rise to new, interrelated processes and stressors, which in turn are creating new risk patterns for Arctic communities. Obtaining an increased knowledge of these new risks could be a starting point for understanding the opportunities for, and implications of, possible solutions. This article focuses on the social representations of permafrost thaw among people who were born or live in different regions of Sakha Republic (Russia). In this sense, our research aims to obtain a better understanding of the new risk patterns through the collection and subsequent analysis of narratives of personal experiences in order to identify the main concerns, how these are defined and framed and which coping strategies are considered by local inhabitants. We conducted fieldwork in Yakutsk (the capital city of Sakha Republic) in order to meet and interview a wide range of stakeholders including, among others, governmental authorities, people working in or representing research institutions, indigenous people, students and reindeer herders.

Changes with regard to climate and permafrost are giving rise to new, interrelated processes and stressors, which in turn are creating new risk patterns for Arctic communities. Obtaining an increased knowledge of these new risks could be a starting point for understanding the opportunities for, and implications of, possible solutions. This article focuses on the social representations of permafrost thaw among people who were born or live in different regions of Sakha Republic (Russia). In this sense, our research aims to obtain a better understanding of the new risk patterns through the collection and subsequent analysis of narratives of personal experiences in order to identify the main concerns, how these are defined and framed and which coping strategies are considered by local inhabitants. We conducted fieldwork in Yakutsk (the capital city of Sakha Republic) in order to meet and interview a wide range of stakeholders including, among others, governmental authorities, people working in or representing research institutions, indigenous people, students and reindeer herders.

Changes with regard to climate and permafrost are giving rise to new, interrelated processes and stressors, which in turn are creating new risk patterns for Arctic communities. Obtaining an increased knowledge of these new risks could be a starting point for understanding the opportunities for, and implications of, possible solutions. This article focuses on the social representations of permafrost thaw among people who were born or live in different regions of Sakha Republic (Russia). In this sense, our research aims to obtain a better understanding of the new risk patterns through the collection and subsequent analysis of narratives of personal experiences in order to identify the main concerns, how these are defined and framed and which coping strategies are considered by local inhabitants. We conducted fieldwork in Yakutsk (the capital city of Sakha Republic) in order to meet and interview a wide range of stakeholders including, among others, governmental authorities, people working in or representing research institutions, indigenous people, students and reindeer herders.

International audience ; Le concept de résilience est aujourd'hui mobilisé dans le cadre des analyses portant sur l'adaptation des régions côtières aux impacts des changements climatiques. Or il s'agit d'un mot utilisé dans de nombreux cadres disciplinaires et auxquels il est associé une variété de sens et de contextes. Cet article propose de : (i) faire une analyse des usages du mot résilience pour comprendre les implications scientifiques, politiques, voir sociales, de la polysémie du concept, ceci dans les discours des différents acteurs, en milieu côtier, et dans un contexte de changements climatiques et (ii) mettre en place un cadre de mise en intelligibilité des usages de « résilience » à travers divers domaines d'action. Un projet international multi partenarial et hautement interdisciplinaire, le projet THESEUS, est utilisé comme étude de cas. Les principaux résultats montrent : (1) au niveau scientifique, les usages du mot résilience obéissent à une logique de paradigmes suivant les contextes de production des savoirs, (2) au niveau politique, les implications terminologiques suscitent un risque d'instrumentalisation du concept et un risque de conflit d'intérêts.

International audience ; Le concept de résilience est aujourd'hui mobilisé dans le cadre des analyses portant sur l'adaptation des régions côtières aux impacts des changements climatiques. Or il s'agit d'un mot utilisé dans de nombreux cadres disciplinaires et auxquels il est associé une variété de sens et de contextes. Cet article propose de : (i) faire une analyse des usages du mot résilience pour comprendre les implications scientifiques, politiques, voir sociales, de la polysémie du concept, ceci dans les discours des différents acteurs, en milieu côtier, et dans un contexte de changements climatiques et (ii) mettre en place un cadre de mise en intelligibilité des usages de « résilience » à travers divers domaines d'action. Un projet international multi partenarial et hautement interdisciplinaire, le projet THESEUS, est utilisé comme étude de cas. Les principaux résultats montrent : (1) au niveau scientifique, les usages du mot résilience obéissent à une logique de paradigmes suivant les contextes de production des savoirs, (2) au niveau politique, les implications terminologiques suscitent un risque d'instrumentalisation du concept et un risque de conflit d'intérêts.

International audience ; Le concept de résilience est aujourd'hui mobilisé dans le cadre des analyses portant sur l'adaptation des régions côtières aux impacts des changements climatiques. Or il s'agit d'un mot utilisé dans de nombreux cadres disciplinaires et auxquels il est associé une variété de sens et de contextes. Cet article propose de : (i) faire une analyse des usages du mot résilience pour comprendre les implications scientifiques, politiques, voir sociales, de la polysémie du concept, ceci dans les discours des différents acteurs, en milieu côtier, et dans un contexte de changements climatiques et (ii) mettre en place un cadre de mise en intelligibilité des usages de « résilience » à travers divers domaines d'action. Un projet international multi partenarial et hautement interdisciplinaire, le projet THESEUS, est utilisé comme étude de cas. Les principaux résultats montrent : (1) au niveau scientifique, les usages du mot résilience obéissent à une logique de paradigmes suivant les contextes de production des savoirs, (2) au niveau politique, les implications terminologiques suscitent un risque d'instrumentalisation du concept et un risque de conflit d'intérêts.

International audience ; Le concept de résilience est aujourd'hui mobilisé dans le cadre des analyses portant sur l'adaptation des régions côtières aux impacts des changements climatiques. Or il s'agit d'un mot utilisé dans de nombreux cadres disciplinaires et auxquels il est associé une variété de sens et de contextes. Cet article propose de : (i) faire une analyse des usages du mot résilience pour comprendre les implications scientifiques, politiques, voir sociales, de la polysémie du concept, ceci dans les discours des différents acteurs, en milieu côtier, et dans un contexte de changements climatiques et (ii) mettre en place un cadre de mise en intelligibilité des usages de « résilience » à travers divers domaines d'action. Un projet international multi partenarial et hautement interdisciplinaire, le projet THESEUS, est utilisé comme étude de cas. Les principaux résultats montrent : (1) au niveau scientifique, les usages du mot résilience obéissent à une logique de paradigmes suivant les contextes de production des savoirs, (2) au niveau politique, les implications terminologiques suscitent un risque d'instrumentalisation du concept et un risque de conflit d'intérêts.

International audience ; Le concept de résilience est aujourd'hui mobilisé dans le cadre des analyses portant sur l'adaptation des régions côtières aux impacts des changements climatiques. Or il s'agit d'un mot utilisé dans de nombreux cadres disciplinaires et auxquels il est associé une variété de sens et de contextes. Cet article propose de : (i) faire une analyse des usages du mot résilience pour comprendre les implications scientifiques, politiques, voir sociales, de la polysémie du concept, ceci dans les discours des différents acteurs, en milieu côtier, et dans un contexte de changements climatiques et (ii) mettre en place un cadre de mise en intelligibilité des usages de « résilience » à travers divers domaines d'action. Un projet international multi partenarial et hautement interdisciplinaire, le projet THESEUS, est utilisé comme étude de cas. Les principaux résultats montrent : (1) au niveau scientifique, les usages du mot résilience obéissent à une logique de paradigmes suivant les contextes de production des savoirs, (2) au niveau politique, les implications terminologiques suscitent un risque d'instrumentalisation du concept et un risque de conflit d'intérêts.

"Existing coastal management and defense approaches are not well suited to meet the challenges of climate change and related uncertanities. Professionals in this field need a more dynamic, systematic and multidisciplinary approach. Written by an international group of experts, Coastal Risk Assessment and Mitigation in a Changing Climate provides innovative, multidisciplinary best practices for mitigating the effects of climate change on coastal structures. Based on the Theseus program, the book includes eight study sites across Europe, with specific attention to the most vulnerable coastal environments such as deltas, estuaries and wetlands, where many large cities and industrial areas are located"--

Extreme Event Attribution has raised increasing attention in climate science in the last years. It means to judge the extent to which certain weather-related extreme events have changed due to human influences on climate with probabilistic statements. Extreme Event Attribution is often anticipated to spur more than just scientific ambition. It is able to provide answers to a commonly asked questions after extreme events, namely, 'can we blame it on climate change' and is assumed to support decision-making of various actors engaged in climate change mitigation and adaptation. More in-depth research is widely lacking about who these actors are; in which context they can make use of it; and what requirements they have, to be able to actually apply Extreme Event Attribution. We have therefore addressed these questions with two empirical case studies looking at regional decision-makers who deal with storm surge risks in the German Baltic Sea region and heat waves in the Greater Paris area. Stakeholder interviews and workshops reveal that fields of application and requirements are diverse, difficult to explicitly identify, and often clearly associated with stakeholders' specific mandate, the hazard background, and the regional socio-economic setting. Among the considered stakeholders in the Baltic Sea region, Extreme Event Attribution is perceived to be most useful to awareness-raising, in particular for climate change mitigation. They emphasised the importance of receiving understandable information - and that, rather later, but with smaller uncertainties than faster, but with higher uncertainties. In the Paris case, we typically talked to people engaged in adaptation with expertise in terms of climate science, but narrowly defined mandates which is typical for the Paris-centred political system with highly specialised public experts. The interviewees claimed that Extreme Event Attribution is most useful to political leverage and public discourses. If novel information like this is not sorted out a priori, it needs ...