Traces et mémoires urbaines: enjeux sociaux de la patrimonialisation et de la démolition
In: Géographie sociale
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In: Géographie sociale
In: L' homme et la société: revue internationale de recherches et de syntheses en sciences sociales, Band 192, Heft 2, S. 49-68
À travers cet article, nous cherchons à montrer que les anciennes cheminées d'usine représentent un bon analyseur de la manière dont sont traitées les traces de l'activité industrielle. Premières exposées aux démolitions, bien souvent disparues de nos paysages urbains sous prétexte de mise en sécurité des sites, elles mobilisent dans certains contextes particuliers l'attention de promoteurs de la mémoire ouvrière et industrielle. Elles peuvent également être conservées comme artefact esthétisé et neutralisé dans certains quartiers aujourd'hui gentrifiés.
International audience ; En tant qu'art figuratif et séquentiel, la bande dessinée, plus que tout autre art du récit, s'exprime à travers la mise en espace. Un indice de cette importance de l'espace dans la narration en bande dessinée, c'est la présence fréquente de la carte, qui fonde le récit ou le structure. La carte est notamment bien présente dans ce que l'on pourrait qualifier de « BD du réel », de reportage, de voyage, autobiographique, politique… qui se développe fortement depuis les années 1990. Reconnu comme l'un des pionniers de cette incursion du genre bande dessinée dans le documentaire et le reportage, Etienne Davodeau a intégré de nombreuses cartes dans son ouvrage Rural !, paru en 2000. Dans le cadre d'une immersion dans une exploitation agricole laitière en bio, il traite également de l'impact paysager du passage de l'autoroute Angers-Cholet et des enjeux géopolitiques locaux que cela révèle. La carte (à deux dimensions) apparaît complémentaire du dessin (simulation de la 3D). La carte n'apparaît pas simple à insérer dans le récit de bande dessinée car elle pose fondamentalement un problème de rupture de code par rapport au langage de la bande dessinée.
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International audience ; En tant qu'art figuratif et séquentiel, la bande dessinée, plus que tout autre art du récit, s'exprime à travers la mise en espace. Un indice de cette importance de l'espace dans la narration en bande dessinée, c'est la présence fréquente de la carte, qui fonde le récit ou le structure. La carte est notamment bien présente dans ce que l'on pourrait qualifier de « BD du réel », de reportage, de voyage, autobiographique, politique… qui se développe fortement depuis les années 1990. Reconnu comme l'un des pionniers de cette incursion du genre bande dessinée dans le documentaire et le reportage, Etienne Davodeau a intégré de nombreuses cartes dans son ouvrage Rural !, paru en 2000. Dans le cadre d'une immersion dans une exploitation agricole laitière en bio, il traite également de l'impact paysager du passage de l'autoroute Angers-Cholet et des enjeux géopolitiques locaux que cela révèle. La carte (à deux dimensions) apparaît complémentaire du dessin (simulation de la 3D). La carte n'apparaît pas simple à insérer dans le récit de bande dessinée car elle pose fondamentalement un problème de rupture de code par rapport au langage de la bande dessinée.
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International audience ; En tant qu'art figuratif et séquentiel, la bande dessinée, plus que tout autre art du récit, s'exprime à travers la mise en espace. Un indice de cette importance de l'espace dans la narration en bande dessinée, c'est la présence fréquente de la carte, qui fonde le récit ou le structure. La carte est notamment bien présente dans ce que l'on pourrait qualifier de « BD du réel », de reportage, de voyage, autobiographique, politique… qui se développe fortement depuis les années 1990. Reconnu comme l'un des pionniers de cette incursion du genre bande dessinée dans le documentaire et le reportage, Etienne Davodeau a intégré de nombreuses cartes dans son ouvrage Rural !, paru en 2000. Dans le cadre d'une immersion dans une exploitation agricole laitière en bio, il traite également de l'impact paysager du passage de l'autoroute Angers-Cholet et des enjeux géopolitiques locaux que cela révèle. La carte (à deux dimensions) apparaît complémentaire du dessin (simulation de la 3D). La carte n'apparaît pas simple à insérer dans le récit de bande dessinée car elle pose fondamentalement un problème de rupture de code par rapport au langage de la bande dessinée.
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International audience ; En tant qu'art figuratif et séquentiel, la bande dessinée, plus que tout autre art du récit, s'exprime à travers la mise en espace. Un indice de cette importance de l'espace dans la narration en bande dessinée, c'est la présence fréquente de la carte, qui fonde le récit ou le structure. La carte est notamment bien présente dans ce que l'on pourrait qualifier de « BD du réel », de reportage, de voyage, autobiographique, politique… qui se développe fortement depuis les années 1990. Reconnu comme l'un des pionniers de cette incursion du genre bande dessinée dans le documentaire et le reportage, Etienne Davodeau a intégré de nombreuses cartes dans son ouvrage Rural !, paru en 2000. Dans le cadre d'une immersion dans une exploitation agricole laitière en bio, il traite également de l'impact paysager du passage de l'autoroute Angers-Cholet et des enjeux géopolitiques locaux que cela révèle. La carte (à deux dimensions) apparaît complémentaire du dessin (simulation de la 3D). La carte n'apparaît pas simple à insérer dans le récit de bande dessinée car elle pose fondamentalement un problème de rupture de code par rapport au langage de la bande dessinée.
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International audience ; En tant qu'art figuratif et séquentiel, la bande dessinée, plus que tout autre art du récit, s'exprime à travers la mise en espace. Un indice de cette importance de l'espace dans la narration en bande dessinée, c'est la présence fréquente de la carte, qui fonde le récit ou le structure. La carte est notamment bien présente dans ce que l'on pourrait qualifier de « BD du réel », de reportage, de voyage, autobiographique, politique… qui se développe fortement depuis les années 1990. Reconnu comme l'un des pionniers de cette incursion du genre bande dessinée dans le documentaire et le reportage, Etienne Davodeau a intégré de nombreuses cartes dans son ouvrage Rural !, paru en 2000. Dans le cadre d'une immersion dans une exploitation agricole laitière en bio, il traite également de l'impact paysager du passage de l'autoroute Angers-Cholet et des enjeux géopolitiques locaux que cela révèle. La carte (à deux dimensions) apparaît complémentaire du dessin (simulation de la 3D). La carte n'apparaît pas simple à insérer dans le récit de bande dessinée car elle pose fondamentalement un problème de rupture de code par rapport au langage de la bande dessinée.
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In: Géographie et cultures, Heft 72, S. 63-79
International audience ; Le terme « déconstruction » tend à s'imposer pour désigner tout ou partie du processus de démolition de bâtiments et se réfère explicitement à l'envers de la construction. L'acte de la démolition serait intrinsèquement lié à celui de la construction et tend, compte tenu de l'évolution des normes, des techniques et des stratégies de communication, à se rapprocher de plus en plus d'un reflet inversé de la construction. L'histoire récente de la déconstruction semble se jouer dans le domaine du logement social, où les démolitions se sont intensifiées dans la deuxième moitié des années 1990 (Berland-Berthon, 2009), pour s'accélérer encore à partir de 2004 dans le cadre de l'ANRU. Ces opérations constituent dans la décennie 2000 les principaux chantiers de démolition, les plus spectaculaires et médiatisés , ainsi que des marchés importants pour les entreprises du secteur. Le présent propos vise à décrire et interpréter l'évolution de la démolition vers ce que l'on désigne aujourd'hui par « déconstruction ».La déconstruction correspondait initialement à une pratique opposée à celle de la démolition : il s'agissait de retirer les matériaux étape par étape, et non d'abattre un édifice d'un seul coup. La déconstruction est devenue aujourd'hui synonyme de démolition, du fait de l'évolution des pratiques vers une décomposition du processus de démolition. Cette évolution s'inscrit dans des évolutions normatives, techniques et politiques. Du point de vue technique, la « démolition » ne constitue plus que la dernière étape d'une opération, c'est-à-dire l'abattage de la structure par une pelle mécanique (« grignotage ») ou par explosif. Dans ce contexte, parler de « déconstruction » pour les entreprises du secteur et pour les maîtres d'ouvrage, représente un enjeu en termes d'image.L'évolution des techniques, des pratiques et de la réception de la démolition est analysée à partir d'un échantillon de démolitions concernant quatre communes de l'est lyonnais et un quartier de la ville centre, dans un contexte posé comme représentatif à l'échelle nationale, à la fois des politiques et des choix techniques opérés dans le cadre de la rénovation urbaine.
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International audience ; Le terme « déconstruction » tend à s'imposer pour désigner tout ou partie du processus de démolition de bâtiments et se réfère explicitement à l'envers de la construction. L'acte de la démolition serait intrinsèquement lié à celui de la construction et tend, compte tenu de l'évolution des normes, des techniques et des stratégies de communication, à se rapprocher de plus en plus d'un reflet inversé de la construction. L'histoire récente de la déconstruction semble se jouer dans le domaine du logement social, où les démolitions se sont intensifiées dans la deuxième moitié des années 1990 (Berland-Berthon, 2009), pour s'accélérer encore à partir de 2004 dans le cadre de l'ANRU. Ces opérations constituent dans la décennie 2000 les principaux chantiers de démolition, les plus spectaculaires et médiatisés , ainsi que des marchés importants pour les entreprises du secteur. Le présent propos vise à décrire et interpréter l'évolution de la démolition vers ce que l'on désigne aujourd'hui par « déconstruction ».La déconstruction correspondait initialement à une pratique opposée à celle de la démolition : il s'agissait de retirer les matériaux étape par étape, et non d'abattre un édifice d'un seul coup. La déconstruction est devenue aujourd'hui synonyme de démolition, du fait de l'évolution des pratiques vers une décomposition du processus de démolition. Cette évolution s'inscrit dans des évolutions normatives, techniques et politiques. Du point de vue technique, la « démolition » ne constitue plus que la dernière étape d'une opération, c'est-à-dire l'abattage de la structure par une pelle mécanique (« grignotage ») ou par explosif. Dans ce contexte, parler de « déconstruction » pour les entreprises du secteur et pour les maîtres d'ouvrage, représente un enjeu en termes d'image.L'évolution des techniques, des pratiques et de la réception de la démolition est analysée à partir d'un échantillon de démolitions concernant quatre communes de l'est lyonnais et un quartier de la ville centre, dans un contexte posé comme représentatif à l'échelle nationale, à la fois des politiques et des choix techniques opérés dans le cadre de la rénovation urbaine.
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International audience ; Le terme « déconstruction » tend à s'imposer pour désigner tout ou partie du processus de démolition de bâtiments et se réfère explicitement à l'envers de la construction. L'acte de la démolition serait intrinsèquement lié à celui de la construction et tend, compte tenu de l'évolution des normes, des techniques et des stratégies de communication, à se rapprocher de plus en plus d'un reflet inversé de la construction. L'histoire récente de la déconstruction semble se jouer dans le domaine du logement social, où les démolitions se sont intensifiées dans la deuxième moitié des années 1990 (Berland-Berthon, 2009), pour s'accélérer encore à partir de 2004 dans le cadre de l'ANRU. Ces opérations constituent dans la décennie 2000 les principaux chantiers de démolition, les plus spectaculaires et médiatisés , ainsi que des marchés importants pour les entreprises du secteur. Le présent propos vise à décrire et interpréter l'évolution de la démolition vers ce que l'on désigne aujourd'hui par « déconstruction ».La déconstruction correspondait initialement à une pratique opposée à celle de la démolition : il s'agissait de retirer les matériaux étape par étape, et non d'abattre un édifice d'un seul coup. La déconstruction est devenue aujourd'hui synonyme de démolition, du fait de l'évolution des pratiques vers une décomposition du processus de démolition. Cette évolution s'inscrit dans des évolutions normatives, techniques et politiques. Du point de vue technique, la « démolition » ne constitue plus que la dernière étape d'une opération, c'est-à-dire l'abattage de la structure par une pelle mécanique (« grignotage ») ou par explosif. Dans ce contexte, parler de « déconstruction » pour les entreprises du secteur et pour les maîtres d'ouvrage, représente un enjeu en termes d'image.L'évolution des techniques, des pratiques et de la réception de la démolition est analysée à partir d'un échantillon de démolitions concernant quatre communes de l'est lyonnais et un quartier de la ville centre, dans un ...
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International audience ; Le terme « déconstruction » tend à s'imposer pour désigner tout ou partie du processus de démolition de bâtiments et se réfère explicitement à l'envers de la construction. L'acte de la démolition serait intrinsèquement lié à celui de la construction et tend, compte tenu de l'évolution des normes, des techniques et des stratégies de communication, à se rapprocher de plus en plus d'un reflet inversé de la construction. L'histoire récente de la déconstruction semble se jouer dans le domaine du logement social, où les démolitions se sont intensifiées dans la deuxième moitié des années 1990 (Berland-Berthon, 2009), pour s'accélérer encore à partir de 2004 dans le cadre de l'ANRU. Ces opérations constituent dans la décennie 2000 les principaux chantiers de démolition, les plus spectaculaires et médiatisés , ainsi que des marchés importants pour les entreprises du secteur. Le présent propos vise à décrire et interpréter l'évolution de la démolition vers ce que l'on désigne aujourd'hui par « déconstruction ».La déconstruction correspondait initialement à une pratique opposée à celle de la démolition : il s'agissait de retirer les matériaux étape par étape, et non d'abattre un édifice d'un seul coup. La déconstruction est devenue aujourd'hui synonyme de démolition, du fait de l'évolution des pratiques vers une décomposition du processus de démolition. Cette évolution s'inscrit dans des évolutions normatives, techniques et politiques. Du point de vue technique, la « démolition » ne constitue plus que la dernière étape d'une opération, c'est-à-dire l'abattage de la structure par une pelle mécanique (« grignotage ») ou par explosif. Dans ce contexte, parler de « déconstruction » pour les entreprises du secteur et pour les maîtres d'ouvrage, représente un enjeu en termes d'image.L'évolution des techniques, des pratiques et de la réception de la démolition est analysée à partir d'un échantillon de démolitions concernant quatre communes de l'est lyonnais et un quartier de la ville centre, dans un contexte posé comme représentatif à l'échelle nationale, à la fois des politiques et des choix techniques opérés dans le cadre de la rénovation urbaine.
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International audience ; Le terme « déconstruction » tend à s'imposer pour désigner tout ou partie du processus de démolition de bâtiments et se réfère explicitement à l'envers de la construction. L'acte de la démolition serait intrinsèquement lié à celui de la construction et tend, compte tenu de l'évolution des normes, des techniques et des stratégies de communication, à se rapprocher de plus en plus d'un reflet inversé de la construction. L'histoire récente de la déconstruction semble se jouer dans le domaine du logement social, où les démolitions se sont intensifiées dans la deuxième moitié des années 1990 (Berland-Berthon, 2009), pour s'accélérer encore à partir de 2004 dans le cadre de l'ANRU. Ces opérations constituent dans la décennie 2000 les principaux chantiers de démolition, les plus spectaculaires et médiatisés , ainsi que des marchés importants pour les entreprises du secteur. Le présent propos vise à décrire et interpréter l'évolution de la démolition vers ce que l'on désigne aujourd'hui par « déconstruction ».La déconstruction correspondait initialement à une pratique opposée à celle de la démolition : il s'agissait de retirer les matériaux étape par étape, et non d'abattre un édifice d'un seul coup. La déconstruction est devenue aujourd'hui synonyme de démolition, du fait de l'évolution des pratiques vers une décomposition du processus de démolition. Cette évolution s'inscrit dans des évolutions normatives, techniques et politiques. Du point de vue technique, la « démolition » ne constitue plus que la dernière étape d'une opération, c'est-à-dire l'abattage de la structure par une pelle mécanique (« grignotage ») ou par explosif. Dans ce contexte, parler de « déconstruction » pour les entreprises du secteur et pour les maîtres d'ouvrage, représente un enjeu en termes d'image.L'évolution des techniques, des pratiques et de la réception de la démolition est analysée à partir d'un échantillon de démolitions concernant quatre communes de l'est lyonnais et un quartier de la ville centre, dans un contexte posé comme représentatif à l'échelle nationale, à la fois des politiques et des choix techniques opérés dans le cadre de la rénovation urbaine.
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In: L' observatoire: observatoire des politiques culturelles, Band 36, Heft 1, S. 73-75
ISSN: 2553-615X
In: Les Documents du C2SD
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