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Cet ouvrage se propose d'explorer de façon critique le concept de culture, au sens anthropologique, au travers de ses différents impacts dans la vie sociale et politique. En partant de la définition de l'être humain et de la séparation entre nature et culture, Albin Wagener évoque de façon progressive les problèmes sociaux, ethniques et politiques posés par un concept de culture qui ne fait que dissimuler des enjeux de pouvoir et représenter une version plus politiquement correcte de la notion de race. Au fur et à mesure de cette exploration critique, qui s'appuie sur des travaux variés, l'aut
In: Internet pragmatics, Band 6, Heft 2, S. 239-258
ISSN: 2542-386X
Abstract
Since the apparition of the web 2.0, memes have emerged as a form of language that blends visual and linguistic signs in a compressed format. Memes represent a typical production of our postdigital society, insofar as they blur boundaries between the digital and the non-digital, circulate quickly and may have an influence on our society. Memes also participate in the reinterpreting and expressing complex emotions, ideas, and cultural references in a new, condensed form. The aim of this paper is to show how memes convey hateful representations, both through language and visual signs based on popular culture, thus participating in a climate of violence in public discourse. This discourse analysis is based on a case study of memes that present excessive messages, through a particular blend of linguistic and visual utterances.
Une vaste étude conduite sur les réseaux sociaux au cours du quinquennat Macron permet d'identifier quatre groupes aux approches politiques distinctes vis-à-vis du changement climatique.
BASE
Une vaste étude conduite sur les réseaux sociaux au cours du quinquennat Macron permet d'identifier quatre groupes aux approches politiques distinctes vis-à-vis du changement climatique.
BASE
In: Postdigital science and education, Band 3, Heft 3, S. 1044-1050
ISSN: 2524-4868
In: Postdigital science and education, Band 3, Heft 3, S. 831-850
ISSN: 2524-4868
In: Postdigital science and education, Band 2, Heft 3, S. 576-580
ISSN: 2524-4868
In: Postdigital science and education, Band 2, Heft 1, S. 147-169
ISSN: 2524-4868
International audience ; La communication auprès des habitants des quartiers prioritaires de la ville présente un défi considérable, dans le sens où elle connecte questions institutionnelles et organisationnelles d'une part, et questions de vie quotidienne d'autre part. Ces deux sphères peuvent être réunies grâce à la recherche de « noeuds sémantiques » communs, permettant de travailler le sens avant la forme. La communication comme partage de sens I l n'y a rien de nouveau à dire que chaque type de communication doit s'appliquer à un public précis ; le souligner en guise d'introduction peut paraître peu pertinent. Toutefois, il convient de préciser la probléma-tique de la communication à destination de publics de manière plus complète, dans la mesure où tout type de communication s'inscrit dans une dynamique systémique, qui implique émetteur(s) et récepteur(s), en plus du contenu même du message (Meunier 2003). Pour le dire autrement, et sans reprendre inutilement les questionnements de base des théories de l'information et de la communication, une transmission bien comprise du message, c'est-à-dire dans des dispositions acceptables et efficientes à la fois pour l'émetteur et le récepteur, ne peut se faire que sur une base mutuelle et partageable de sens. En tant que chercheur, nous avons traité la question du rapprochement de ces deux instances de multiples fois (Wagener 2012 ; Wagener 2015). En tant qu'acteur professionnel de ces thématiques, nous avons pu observer, au cours d'interventions diverses, que les personnes qui doivent transmettre un message et concevoir une communication « efficace » ne sont pas toujours au clair sur leurs propres représentations de 1/ ce qu'est une communication « efficace », 2/ du public cible auquel ils doivent s'adresser et 3/ de leur propre rôle d'émetteur et de ce que cela implique. La question devient plus épineuse encore lorsqu'un ou plusieurs paramètres sociaux éloignent les émetteurs et les récepteurs, comme cela peut être le cas dans le cadre de la communication auprès des habitants de quartiers prioritaires de la ville. Nous sommes déjà intervenus, dans ce périmètre précis, auprès de professionnels et d'élus : l'objectif de cet article est de pouvoir proposer une méthodologie d'intervention en prenant appui sur une théorisation systémique et discursive de ce qu'implique concrètement la problématique de communication, notamment lorsque celle-ci concerne la politique de la ville et les quartiers prioritaires qui y sont associés. Communiquer auprès des habitants des quartiers prioritaires : pour une approche consacrée aux « noeuds sémantiques » Albin Wagener
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In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 7, Heft 2, S. 67-104
ISSN: 1918-7475
Si la systémique permet de mettre en exergue la complexité des interactions humaines (Meunier 2003), elle a aussi pour but d'en préciser les modalités de régulations et les éléments permettant à ces interactions d'émerger et de se maintenir (Varela et al. 1993). En reliant cette systémique interactionnelle à des principes hérités du connexionnisme (Bechtel et Abrahamsen 1993, Marcus 2001), nous affirmons qu'il devient alors possible de mettre l'accent sur l'importance du contexte dans les interactions et sur la manière dont les individus réagissent en fonction de noeuds sémantiques, dans la mesure où ces noeuds se retrouvent notamment activés lors de processus d'identification nécessaires pour l'individu ou le groupe (Burke et Stets 2009). Le présent travail théorique explore ces possibilités, en lien avec la prise en compte de la complexité des relations humaines (Lerbet-Séréni 1994, Wagener 2010).
In: Intercultural communication, Band 12, Heft 2, S. 1-08
ISSN: 1404-1634
How may culture be defined? Numerous works and important contributions have been answering this crucial question for the past thirty years; yet the problem remains unsolved. When taking a close look at 'intercultural communication', we may see that some utterances might not be thatcultural at all. If we have a clear definition of 'intercultural communication', then what is 'intra-cultural communication' (Winch 1997, Ma 2004)? Is there really a sharp difference between these two concepts and is miscommunication necessarily 'cultural' when implying individuals or groups from alleged different cultural backgrounds? We will study various examples and try to separate the cultural from the non-cultural by taking a close look at intercultural and intra-cultural miscommunication, insofar as their definitions seem to ultimately cover the same conceptual maps. After this first step, we will deconstruct the concept of culture, as it has been defined by scholars in various research fields over the last decades; we will thus see that culture might not be a set of shared values or behaviours (Knapp & Knapp-Pothoff 1990; Scollon & Wong Scollon 2001): culture may only be a very personal variable of a complex, strangely organized and experimental toolbox (Kay 1999) which would constitute a product of our education, psychology, social encounters and language and would only remain activated through particular contexts. This exploration will eventually be followed by a proposal for a redefinition of 'culture' as a concept, based on interactional pragmatics, contextics (Castella 2005) and a triadic declension of this very concept with three notions: bathyculture, dramaculture and osmoculture.
In: Journal of Intercultural Communication, Heft 29
In: Journal of multicultural discourses, Band 10, Heft 3, S. 332-348
ISSN: 1747-6615
Intercultural cities – a joint initiative launched in 2008 by the European Commission and the Council of Europe – aims to develop a model supporting intercultural integration within diversified urban communities. This article examines, using methods of applied linguistics and discourse analysis, how intercultural urban policy is linguistically produced in the initiative. The examination indicates that the intercultural urban policy in the initiative is 'negative politics': the policy rhetoric commonly outlines the content of interculturalism by describing what is not included in it and what the policy is not about. The language used in the intercultural urban policy rhetoric presents the coexistence of distinct cultures as a problematic and conflicting issue. This contradicts the fundamental principle of the policy, which aims for co-operative and positive encountering between people in an urban environment. ; peerReviewed
BASE