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International tätige Unternehmen sehen sich unterschiedlich restriktiven ökologischen Anforderungen gegenüber. Demgegenüber stehen Forderungen international agierender ökologischer Anspruchsgruppen, möglichst weltweit ein einheitliches ökologisches Vorgehen zu wählen. In diesem Zusammenhang stellt sich die Frage nach einer internationalen Koordination des ökologiegerichteten Unternehmensverhaltens. Die methodisch als konzeptionell-literaturgestützt einzuordnende Arbeit zeigt den ökologiebezogenen Koordinationsbedarf bei internationaler Unternehmenstätigkeit auf und untersucht geeignete Instrumente zur Reduzierung und Deckung dieses Koordinationsbedarfs. Die Arbeit orientiert sich am situativen Kontext der Automobilindustrie und ist mit Erkenntnissen aus Expertengesprächen sowie primär- und sekundärstatistischen Erhebungen unterlegt.

La disparition des forêts tropicales est un problème de gestion globale du territoire et plus précisément de politique forestière résultant notamment d'un manque flagrant de plans d'aménagement adéquats basés sur une vision à long terme. La FAO a estimé le rythme de destruction des forêts tropicales denses, entre 1986 et 1990, à environ 11 millions d'hectares par an, dont 5 millions retournent à l'état de jachères, c.à.d. avec une possibilité de retour vers une formation forestière naturelle adulte. La perte annuelle nette est donc de 6 millions d'ha de forêts totalement défrichées ce qui représente 0,5% de l'ensemble des forêts. Cette étude propose une révision des possibilités d'un aménagement des forêts denses humides du Zaïre en se basant sur ses capacités naturelles. La zone d'étude se limite à la réserve forestière de la station de recherche agronomique et forestière de Yangambi. Le matériel d'étude est constitué d'inventaires très détaillés de différentes formations forestières provenant des expériences de l'INEAC. L'étude propose une évaluation technique et financière des possibilités d'une gestion forestière basée sur un système sylvicultural simple garantissant un rapport soutenu pour un domaine forestier permanent, par opposition à la cueillette par exploitation classique telle qu'elle est pratiquée actuellement au Zaïre. L'analyse des inventaires floristiques confirme l'impressionnante hétérogénéité des forêts de terre ferme de la région avec la présence de formations plus homogènes. La forêt hétérogène, caractérisée par l'abondance et la dominance de Scorodoploeus zenkeri, forme une toile de fond dans laquelle les formations plus homogènes sont présentes sous forme d'îlots plus ou moins étendus, mais ne dépassant pas 10% de l'étendue de la forêt. La forêt hétérogène présente un nombre d'espèces (170 à 200) et un nombre de tiges/ha (370 à 420) plus élevé que celui des formations. La surface terrière varie de 30 à 36 m2/ha et le volume brut de 250 à 370 m3/ha. La régénération, qui présente un mode de dispersion agrégatif, est très abondante (100.000 à 200.000 plantules/ha) et présente une grande diversité floristique (180 à 250 espèces) et une variabilité étonnante. Les formations plus homogènes sont caractérisées chacune par une espèce particulièrement abondante ou dominante ayant trouvé un milieu de prédilection dans les niches écologiques naturelles ou anthropiques des forêts de terre ferme (Strombosia grandifolia, Cynometra alexandri, Brachystegia laurentii et Gilbertiodendron dewevrei). Malgré l'influence de perturbations continues d'origine naturelle et anthropique, les forêts semicaducifoliées de la région de Yangambi sont en parfait équilibre. Plus de 90% des tiges du peuplement ont une structure équilibrée de type exponentiel ou hyperbolique, ce qui garantit des bonnes possibilités de recrutement en petites et moyennes tiges pour l'application d'un traitement sylvicole. 10 essences forment à elles seules un volume brut exploitable d'environ 50 m3/ha, avec une relève en tiges moyennes de 15 à 20/ha, un recrutement en petites tiges de 40/ha et une régénération de plus de 10.000 plants/ha. Malgré une régénération est très abondante, la concurrence des lianes et des essences secondaires est très forte, ces dernières représentant respectivement 30 et 40% des plantules. Ceci confirme l'intérêt des opérations de délianage et de nettoiement. Les analyses floristique, structurelle et sylvicole confirment donc la faisabilité technique d'une exploitation plus soutenue du capital ligneux des forêts de la Cuvette Centrale dans le cadre d'un aménagement durable et sans mettre en péril la forêt. Les conditions de mise en oeuvre de ce type d'aménagement sont la protection des forêts contre toute forme de dégradation d'origine anthropique, l'exploitation d'essences abondantes et équilibrées autres que celles exploitées actuellement, et qui sont de bonne valeur technologique, ainsi que l'application d'un traitement sylvicole, qui permet de réduire le temps de passage entre deux exploitations. Un modèle d'aménagement et de gestion simple est proposé pour minimiser les contraintes socio-économiques du Zaïre qui ont un impact très négatif sur les possibilités d'aménagement. Ce modèle est basé sur la protection des forêts et l'application d'un système sylvicultural élémentaire. Il combine l'exploitation sélective d'environ 50 m3/ha de bois brut (10-20 espèces) et l'éclaircie de 9 à 10 m2 d'essences indésirables à partir d'un diamètre fixe. Le temps de passage est de 30 ans. L'étude de marché laisse entrevoir un déficit de bois tropicaux à long terme, en raison de la baisse prévisible de l'offre asiatique. Même si l'écoulement interne des rebuts de sciage d'une production industrielle est fortement concurrencé par le secteur artisanal, il semble que la promotion de nouvelles essences, ainsi que l'intensification de l'exploitation, soient possibles grâce à un développement parallèle de nouveaux moyens de transformation du bois délivré. L'analyse des coûts de revient montre la faisabilité financière de ce modèle d'aménagement, mais les moyens à mettre en œuvre sont considérables. Les marges bénéficiaires (avant impôts, en % du prix de vente) varient de 20 à 50% en fonction du type de transformation envisagée. La combinaison d'une activité de sciage et de tranchage est le scénario financièrement le plus intéressant et le moins risqué, en surveillant particulièrement les coûts d'exploitation et de transport du bois. L'aménagement intégré des forêts de terre ferme de la Cuvette basé sur une activité industrielle est donc financièrement possible sous réserve d'un marché du bois innovateur, demandeur et sensible au prix, ce que l'étude de marché laisse entrevoir. Les avantages écologiques en termes de protection contre la déforestation et l'érosion des sols dépassent de loin d'éventuels effets négatifs mineurs liés aux interventions. ; (AGRO - Sciences agronomiques et ingénierie biologique) -- UCL, 1993

La disparition des forêts tropicales est un problème de gestion globale du territoire et plus précisément de politique forestière résultant notamment d'un manque flagrant de plans d'aménagement adéquats basés sur une vision à long terme. La FAO a estimé le rythme de destruction des forêts tropicales denses, entre 1986 et 1990, à environ 11 millions d'hectares par an, dont 5 millions retournent à l'état de jachères, c.à.d. avec une possibilité de retour vers une formation forestière naturelle adulte. La perte annuelle nette est donc de 6 millions d'ha de forêts totalement défrichées ce qui représente 0,5% de l'ensemble des forêts. Cette étude propose une révision des possibilités d'un aménagement des forêts denses humides du Zaïre en se basant sur ses capacités naturelles. La zone d'étude se limite à la réserve forestière de la station de recherche agronomique et forestière de Yangambi. Le matériel d'étude est constitué d'inventaires très détaillés de différentes formations forestières provenant des expériences de l'INEAC. L'étude propose une évaluation technique et financière des possibilités d'une gestion forestière basée sur un système sylvicultural simple garantissant un rapport soutenu pour un domaine forestier permanent, par opposition à la cueillette par exploitation classique telle qu'elle est pratiquée actuellement au Zaïre. L'analyse des inventaires floristiques confirme l'impressionnante hétérogénéité des forêts de terre ferme de la région avec la présence de formations plus homogènes. La forêt hétérogène, caractérisée par l'abondance et la dominance de Scorodoploeus zenkeri, forme une toile de fond dans laquelle les formations plus homogènes sont présentes sous forme d'îlots plus ou moins étendus, mais ne dépassant pas 10% de l'étendue de la forêt. La forêt hétérogène présente un nombre d'espèces (170 à 200) et un nombre de tiges/ha (370 à 420) plus élevé que celui des formations. La surface terrière varie de 30 à 36 m2/ha et le volume brut de 250 à 370 m3/ha. La régénération, qui présente un mode de dispersion agrégatif, est très abondante (100.000 à 200.000 plantules/ha) et présente une grande diversité floristique (180 à 250 espèces) et une variabilité étonnante. Les formations plus homogènes sont caractérisées chacune par une espèce particulièrement abondante ou dominante ayant trouvé un milieu de prédilection dans les niches écologiques naturelles ou anthropiques des forêts de terre ferme (Strombosia grandifolia, Cynometra alexandri, Brachystegia laurentii et Gilbertiodendron dewevrei). Malgré l'influence de perturbations continues d'origine naturelle et anthropique, les forêts semicaducifoliées de la région de Yangambi sont en parfait équilibre. Plus de 90% des tiges du peuplement ont une structure équilibrée de type exponentiel ou hyperbolique, ce qui garantit des bonnes possibilités de recrutement en petites et moyennes tiges pour l'application d'un traitement sylvicole. 10 essences forment à elles seules un volume brut exploitable d'environ 50 m3/ha, avec une relève en tiges moyennes de 15 à 20/ha, un recrutement en petites tiges de 40/ha et une régénération de plus de 10.000 plants/ha. Malgré une régénération est très abondante, la concurrence des lianes et des essences secondaires est très forte, ces dernières représentant respectivement 30 et 40% des plantules. Ceci confirme l'intérêt des opérations de délianage et de nettoiement. Les analyses floristique, structurelle et sylvicole confirment donc la faisabilité technique d'une exploitation plus soutenue du capital ligneux des forêts de la Cuvette Centrale dans le cadre d'un aménagement durable et sans mettre en péril la forêt. Les conditions de mise en oeuvre de ce type d'aménagement sont la protection des forêts contre toute forme de dégradation d'origine anthropique, l'exploitation d'essences abondantes et équilibrées autres que celles exploitées actuellement, et qui sont de bonne valeur technologique, ainsi que l'application d'un traitement sylvicole, qui permet de réduire le temps de passage entre deux exploitations. Un modèle d'aménagement et de gestion simple est proposé pour minimiser les contraintes socio-économiques du Zaïre qui ont un impact très négatif sur les possibilités d'aménagement. Ce modèle est basé sur la protection des forêts et l'application d'un système sylvicultural élémentaire. Il combine l'exploitation sélective d'environ 50 m3/ha de bois brut (10-20 espèces) et l'éclaircie de 9 à 10 m2 d'essences indésirables à partir d'un diamètre fixe. Le temps de passage est de 30 ans. L'étude de marché laisse entrevoir un déficit de bois tropicaux à long terme, en raison de la baisse prévisible de l'offre asiatique. Même si l'écoulement interne des rebuts de sciage d'une production industrielle est fortement concurrencé par le secteur artisanal, il semble que la promotion de nouvelles essences, ainsi que l'intensification de l'exploitation, soient possibles grâce à un développement parallèle de nouveaux moyens de transformation du bois délivré. L'analyse des coûts de revient montre la faisabilité financière de ce modèle d'aménagement, mais les moyens à mettre en œuvre sont considérables. Les marges bénéficiaires (avant impôts, en % du prix de vente) varient de 20 à 50% en fonction du type de transformation envisagée. La combinaison d'une activité de sciage et de tranchage est le scénario financièrement le plus intéressant et le moins risqué, en surveillant particulièrement les coûts d'exploitation et de transport du bois. L'aménagement intégré des forêts de terre ferme de la Cuvette basé sur une activité industrielle est donc financièrement possible sous réserve d'un marché du bois innovateur, demandeur et sensible au prix, ce que l'étude de marché laisse entrevoir. Les avantages écologiques en termes de protection contre la déforestation et l'érosion des sols dépassent de loin d'éventuels effets négatifs mineurs liés aux interventions. ; (AGRO - Sciences agronomiques et ingénierie biologique) -- UCL, 1993

Assistance legislation in Germany is not effective. Imports are less important as a cause of displacement than productivity change & are not therefore the prime reason for adjustment difficulties. Programs aimed at specific individual industries are not warranted because: they delay necessary restructuring, can easily turn into disguised or open protectionism, discriminate against the rest of the economy, & provoke retaliatory measures abroad. Intensification of trade with developing countries entails restructuring, & this hits hardest at low-skilled, F labor, backward regions, & industries in which small- & medium-size firms predominate. Two basic methods for coping with restructuring in a free economy are available: (1) adequate advance signals should tell entrants into the job market to look for jobs in industries that are not in import competition; (2) the macroperformance of the economy should be improved, avoiding rigidity & declining investment. 6 Tables. Modified HA.