Le pays duché de Luxembourg et comté de Chiny vers 1525
In: Répertoires Meuse-Moselle 10
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In: Répertoires Meuse-Moselle 10
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2250-2251, Heft 5, S. 5-73
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2248-2249, Heft 3, S. 5-76
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2133-2134, Heft 8, S. 1-78
Résumé La seconde partie de l'étude de Paul Wynants consacrée à l'évolution récente du CDH couvre l'époque s'étendant de décembre 2007 à la fin de l'année 2011. Cette période s'ouvre avec le retour du CDH au gouvernement fédéral, au sein du cabinet Verhofstadt III. Depuis 2004, le parti était déjà associé à l'exercice du pouvoir en Région wallonne, en Région de Bruxelles-Capitale et en Communauté française. Désormais, si la rénovation interne demeure une préoccupation et se poursuit, elle cède partiellement le pas à une autre priorité : prouver sa crédibilité comme parti de gouvernement. Le présent Courrier hebdomadaire analyse tout d'abord la participation du CDH aux gouvernements fédéraux qui se sont succédé de 2007 à 2009, en prolongeant jusqu'en décembre 2011 l'examen de la politique menée par les ministres du CDH. Parmi les multiples dossiers traités, figurent notamment la réaction à apporter à la crise financière mondiale et les mesures à prendre en matière d'emploi. Ensuite, l'auteur traite des politiques menées par les ministres démocrates humanistes dans les entités fédérées. Enfin, le dernier chapitre porte sur une période particulièrement agitée de la vie politique belge : les années 2010 et 2011, marquées par la chute du cabinet Leterme II et par une crise gouvernementale d'une longueur sans précédent (541 jours). Au cours de cette période, le CDH connaît également un important changement interne : en août 2011, succédant à Joëlle Milquet, Benoît Lutgen accède à la présidence du parti. En conclusion, Paul Wynants poursuit sa réflexion sur la mesure dans laquelle le Centre démocrate humaniste se démarque de l'ancien Parti social-chrétien ou, au contraire, assume son héritage.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2131-2132, Heft 6, S. 1-79
Résumé En 2005, Paul Wynants avait consacré deux livraisons du Courrier hebdomadaire à l'évolution du PSC depuis 1981 et à sa transformation en CDH. Poursuivant son étude, il propose un examen approfondi de l'histoire récente du parti démocrate humaniste francophone entre l'été 2004 et la fin de l'année 2011. Cette période est notamment marquée par le retour du CDH au gouvernement fédéral en décembre 2007 – échelon dont il était absent depuis l'éviction du PSC en 1999 – et par les longues négociations institutionnelles qui ont jalonné les années 2007-2011. Elle a également vu la fin des douze années de présidence de Joëlle Milquet et l'arrivée de Benoît Lutgen à la tête du parti, en août 2011. C'est à la période qui s'étend de juin 2004 à décembre 2007 qu'est consacrée la première partie de cette étude. Dans ce Courrier hebdomadaire, l'auteur fait le point sur le processus de transformation du parti au printemps 2004, soit à la veille du retour des démocrates humanistes au pouvoir en Région wallonne, en Région de Bruxelles-Capitale et en Communauté française. Ensuite, il examine la période qui s'étend de juin 2004 à juin 2007, au cours de laquelle le CDH gouverne dans ces trois entités fédérées, tout en adoptant une attitude d'opposition constructive au gouvernement Verhofstadt II. Enfin, il analyse le second semestre de l'année 2007, marqué par les infructueuses tentatives de constituer une coalition orange bleue au niveau fédéral. Outre retracer l'histoire du CDH de manière distanciée, Paul Wynants s'est fixé pour objectif de répondre à cette question fondamentale : dans quelle mesure le CDH est-il un nouveau parti, en rupture avec l'héritage du PSC, ou est-il simplement la continuation, sous une autre forme, de l'ancienne formation sociale-chrétienne ?
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2110-2111, Heft 25, S. 5-96
résumé Le troisième Courrier hebdomadaire consacré par Paul Wynants à l'évolution récente du libéralisme francophone couvre la présidence de Didier Reynders. Sous sa houlette, en 2007, les réformateurs francophones remportent une victoire électorale sans précédent. On peut alors penser qu'ils vont réaliser l'objectif de leur chef de file : « Faire basculer le centre de gravité politique en Wallonie ». La réalité sera assez différente. L'échec de la formation d'une coalition « orange bleue », la coexistence gouvernementale difficile avec les socialistes et le CDH, la crise financière lourde de conséquences et la vaine tentative d'intégration du parti LiDé de Rudy Aernoudt mettent le parti à l'épreuve. Les résultats des élections européennes, communautaires et régionales de 2009 sont décevants et le MR est maintenu dans l'opposition en Région wallonne, en Région de Bruxelles-Capitale et en Communauté française. L'autorité du président Reynders s'effrite peu à peu, au point qu'il doit renoncer à la direction du Mouvement réformateur, après un nouveau revers électoral en 2010. Le 14 février 2011, il cède la place à Charles Michel, qui s'est affirmé comme un de ses opposants les plus résolus. Dans la conclusion, Paul Wynants revient sur les caractéristiques du libéralisme francophone : l'expansion par agrégation de différents segments du spectre politique, la souplesse idéologique et une forte personnalisation du pouvoir. Il pointe de la sorte les enjeux auxquels le MR sera confronté sous la présidence de Charles Michel.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2108-2109, Heft 23, S. 1-82
La période couverte par le premier Courrier hebdomadaire de Paul Wynants se clôturait avec la consolidation de la Fédération PRL FDF MCC. L'auteur présente dans ce deuxième volume les années 1999-2004, au cours desquelles les libéraux francophones et leurs alliés participent aux coalitions gouvernementales à tous les niveaux de pouvoir. C'est à cet exercice du pouvoir que s'attache le premier chapitre. Il se focalise sur les réalisations que la Fédération PRL FDF MCC met à son actif grâce à sa participation au gouvernement Verhofstadt I. Ces années sont également marquées par une nouvelle mue du libéralisme francophone : à une Fédération assez lâche, manquant de cohérence, traversée de tensions parfois vives, succède un Mouvement réformateur plus intégré. C'est au processus d'édification du MR, non dépourvu de vicissitudes, qu'est consacré le deuxième chapitre. Une fois constitué, le MR se mobilise pour affronter deux échéances électorales : le scrutin fédéral du 18 mai 2003, ainsi que les élections régionales, communautaires et européennes du 13 juin 2004. Il tente de s'élargir par absorption de fractions issues du Parti social-chrétien, devenu Centre démocrate humaniste. Dans ces opérations, il connaît des succès, mais aussi des déboires, de sorte qu'il est finalement rejeté dans l'opposition, durant l'été 2004, en Wallonie, en Région de Bruxelles-Capitale et en Communauté française. Ces péripéties sont analysées dans le troisième chapitre. L'arrivée de Didier Reynders à la tête du Mouvement réformateur clôt le présent Courrier hebdomadaire. La présidence de ce dernier (2004-2011) fera l'objet d'une troisième livraison, à paraître prochainement.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2092-2093, Heft 7, S. 5-77
Paul Wynants propose un examen approfondi de l'histoire récente des libéraux francophones en trois étapes qui feront chacune l'objet d'un Courrier hebdomadaire : la mobilisation pour une reconquête du pouvoir (1995-1999), la participation au pouvoir au niveau fédéral et à celui des entités fédérées (1999-2004), le maintien au gouvernement fédéral avec renvoi dans l'opposition en Wallonie et à Bruxelles (2004 à nos jours). Dans le présent Courrier hebdomadaire, pour rendre intelligibles les années 1995-1999 et la suite des événements, l'auteur revient sur le passé en pointant une série de continuités décelables dès la fin des années 1950, alors que le parti est toujours unitaire. Il dresse un panorama des années 1958 à 1999 et met en évidence les tendances lourdes du libéralisme francophone : une conception mouvante et non dogmatique du libéralisme, une tendance à agréger des composantes disparates, la priorité donnée à la question fiscale. L'auteur aborde ensuite la législature 1995-1999, marquée par des « affaires » et par une gestion déficiente de crises qui ébranlent l'opinion publique et les institutions. Il analyse les modalités selon lesquelles la Fédération PRL FDF, rejointe ultérieurement par le MCC, mène une opposition à la fois vigilante et constructive. Il montre que le regroupement de libéraux, de fédéralistes bruxellois et de sociaux-chrétiens n'empêche nullement ces trois composantes de mener leur existence propre. Il examine enfin comment les coalisés se mobilisent pour se préparer aux confrontations électorales du 13 juin 1999.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 1954, Heft 9, S. 5-52
La relation du Mouvement ouvrier chrétien francophone avec le débat sur la réforme de l'État de 1961 à 1972 n'est pas univoque. Les vues du président André Oleffe traduisent souvent des convictions personnelles. D'autres, dans le mouvement, sont régionalistes. Une opposition interne contribuera à l'échec d'une tentative de recomposition du paysage politique francophone, axée sur l'adhésion en masse de militants du MOC au Parti social-chrétien. L'attitude d'André Oleffe à l'égard du fédéralisme peut sembler étonnante. Son pragmatisme s'explique non seulement par sa trajectoire individuelle de dirigeant du MOC, mais aussi par les autres positions institutionnelles qu'il occupe. Paul Wynants situe André Oleffe dans le système de la décision politique, comme grand commis de l'État et comme dirigeant du pilier catholique. Il met en lumière l'analyse de la réalité politique belge que le président du MOC a longtemps menée : cette grille de lecture repose sur le croisement du clivage Église – État et du clivage possédants – travailleurs, avec une ligne de fracture communautaire perçue comme un élément perturbateur, voire comme un danger. Dans la seconde partie, l'auteur retrace le parcours d'André Oleffe en matière de réformes institutionnelles, depuis sa première prise de position publique en 1961 jusqu'à la reconnaissance par le MOC de son pluralisme politique interne en 1972. Elle s'attache aussi aux résistances auxquelles Oleffe a été confronté au sein de son propre Mouvement. Paul Wynants éclaire ainsi certains épisodes de l'histoire du MOC et de son équivalent flamand, l'ACW. Son analyse est également susceptible de confirmer l'ébranlement causé, au sommet du monde catholique, par des événements comme la grève de l'hiver 1960-1961 et l'affaire de Louvain.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 1895-1896, Heft 30, S. 5-73
Résumé Dans un précédent Courrier hebdomadaire, Paul Wynants a décrit l'évolution du Parti social-chrétien depuis le début des années 1980 jusqu'aux élections de 1999, qui voit sa défaite électorale et son renvoi dans l'opposition. L'auteur poursuit en se focalisant sur la rénovation du parti entreprise, de 1999 à 2004, sous l'impulsion de sa présidente, J. Milquet. Le PSC demeure confronté à de nombreuses difficultés durant la première année de la nouvelle présidence. Cependant, un sursaut se produit à l'automne 2000. Il s'amplifie au cours de l'année suivante : le parti réintègre le jeu politique en contribuant à l'aboutissement d'une cinquième réforme de l'État et au refinancement de la Communauté française. Une nouvelle charte doctrinale, le Manifeste de l'humanisme démocratique, est adoptée. Le PSC change de nom et de sigle : il se mue en Centre démocrate humaniste (CDH). Entre mai 2002 et février 2004, toutefois, la formation centriste doit faire face à de nouvelles vicissitudes : dissidence, scrutin fédéral (18 mai 2003) aux résultats décevants et offensive de grande ampleur déclenchée par le Mouvement réformateur. Par la suite le CDH semble connaître un rebond : les scrutins du 13 juin 2004 débouchent sur une participation à des coalitions en Wallonie, à Bruxelles et en Communauté française. Dans sa conclusion, Paul Wynants tente d'évaluer les conséquences pour le parti de son abandon de l'étiquette confessionnelle et de sa tentative de se redéfinir comme parti du « centre ». Il constate que le concept d'humanisme a permis au parti de trouver un créneau : l'attention à porter aux besoins – matériels et immatériels – des gens, dans leur vie quotidienne, à travers une politique d'écoute et de proximité.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 1889, Heft 24, S. 5-51
In: Revue belge d'histoire contemporaine: RBHC = Belgisch tijdschrift voor nieuwste geschiedenis : BTNG, Band 30, Heft 3-4, S. 493-540
ISSN: 0035-0869
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2303, Heft 18, S. 5-56
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2206-2207, Heft 1, S. 5-110
Résumé À la veille du scrutin de mai 2014, le Parlement fédéral compte des élus appartenant à douze partis politiques différents, ainsi que trois parlementaires indépendants. À côté de ces partis, il existe plusieurs dizaines de formations politiques, dont quelques-unes disposent d'élus dans une autre assemblée parlementaire. Ceux que l'on nomme souvent les « petits partis » se présentent comme des éléments essentiels du jeu démocratique, insufflant des idées nouvelles dans le débat politique. Certains d'entre eux entendent devenir des forces politiques d'ampleur dans les prochaines années. D'autres n'ont pas pour premier objectif d'obtenir des élus : en participant aux campagnes électorales, ils espèrent surtout œuvrer à la diffusion de leurs idées. Quasiment tous sont peu, pas ou mal connus. Le présent Courrier hebdomadaire offre un panorama des partis qui existent aujourd'hui en Belgique mais ne disposent pas actuellement de représentant au Parlement fédéral. Pour chacun d'entre eux sont présentés les éléments essentiels à leur connaissance et à leur compréhension : leur genèse et leur histoire, leurs dirigeants ou leurs principales figures, les points saillants de leurs orientations idéologiques et programmatiques, et leurs résultats électoraux éventuels. La galaxie formée par les « petits partis » se caractérise par une très grande diversité. Loin de constituer un courant politique uniforme, ces formations présentent une grande variété, tant en termes de longévité d'existence ou de poids politique que de raison d'être ou d'idéologie. Dans cette étude, ils sont regroupés par catégorie : les partis de gauche, ceux de droite, ceux issus de l'extrême droite, ceux qui se positionnent selon le clivage centre-périphérie et ceux qui axent leur programme selon le clivage Église-État ; une dernière catégorie rassemble des partis atypiques. Au total, près d'une cinquantaine de formations politiques sont présentées.