'Stand by me': competitive subnational regimes and the politics of retaining immigrants
In: Journal of ethnic and migration studies: JEMS, S. 1-22
ISSN: 1469-9451
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In: Journal of ethnic and migration studies: JEMS, S. 1-22
ISSN: 1469-9451
In: Politique et sociétés, Band 42, Heft 1, S. 186
ISSN: 1703-8480
In: Citizenship studies, Band 24, Heft 6, S. 804-824
ISSN: 1469-3593
In: Politique et sociétés, Band 39, Heft 1, S. 202
ISSN: 1703-8480
In: Federal governance: FG ; an graduate journal of theory and politics, Band 15, Heft 2, S. 49-52
ISSN: 1923-6158
In many federal states, subnational governments are increasingly involved in immigration policy making (i.e. immigrant recruitment, selection, settlement or integration), which has resulted in the decentralization of powers and resources, and important policy development at the subnational level...
In: Regional studies: official journal of the Regional Studies Association, Band 54, Heft 11, S. 1508-1518
ISSN: 1360-0591
My PhD dissertation (Sciences Po Paris & Université Saint-Louis) considers the dilemma generated by immigration and diversity for political elites in two culturally and linguistic distinct sub-national communities: Flanders (Belgium) and Quebec (Canada). For such communities, immigrant integration represents both opportunities and challenges. Immigration might increase the relative demographic strength of the sub-national community yet, it might also weaken its cultural or linguistic cohesion. Focusing on the 1999-2014 timeframe and using discursive institutionalism, I ask how subnational elites respond to this dilemma. Using discourse analysis, I identify the position of members of regional parliaments and their rhetoric on four dimensions of immigrant integration (institutional, demographic, linguistic, and cultural). Contrary to other researches that have focused only on sub-nationalist and regionalist party positions (SNRP), my focus on political discourse and all elites allows me to show how ideas circulate and evolve through legislatures. My results run contrary to some expectations from immigration studies and federalism theory. I show that key arguments are shared between political elites when it comes to the linguistic, demographic and cultural dimensions of immigrant integration. Nevertheless and independently from the conceptions of integration put forward, I show that clear divergences remain when it comes to federal-subnational institutional arrangements for immigrant integration. ; Cette thèse (Université Saint-Louis – Bruxelles & Sciences Po Paris) étudie le dilemme généré par l'immigration et la diversité pour les élites politiques dans deux communautés sous-nationales culturellement et linguistiquement distinctes : la Flandre (Belgique) et le Québec (Canada). Pour ces communautés, l'intégration des immigrés présente à la fois des opportunités et des défis. L'immigration peut, par exemple, augmenter le poids démographique de la communauté sous-nationale mais aussi affaiblir sa cohésion culturelle et linguistique. En étudiant la période de 1999 à 2014 et en utilisant l'institutionnalisme discursif, cette recherche questionne la réponse des élites sous-nationales à ce dilemme : comment les élites politiques flamandes et québécoises envisagent-elles l'intégration des immigrés ? Confrontées au dilemme de l'intégration des immigrés, sur une échelle qui irait de la menace à l'opportunité, comment les élites politiques se positionnent-elles ? Sur base d'une large analyse des débats parlementaires, cette thèse identifie le positionnement des élites politiques (élus et ministres) et leur rhétorique sur quatre dimensions de l'intégration des immigrés : institutionnelle, démographique, linguistique et culturelle. Contrairement à d'autres recherches qui se sont concentrées sur les élites sous-nationalistes et les positions des partis régionalistes (SNRP), notre focus sur les discours politiques de l'ensemble des élites permet de montrer comment les idées circulent et évoluent à travers les législatures. Cette recherche montre que les arguments-clés sont partagés par les élites politiques quand il s'agit des dimensions linguistique, démographique et culturelle de l'intégration des immigrés. Néanmoins et indépendamment de ces conceptions, des divergences claires existent sur les arrangements institutionnels à privilégier entre l'autorité fédérale et la sous-nation pour l'intégration des immigrés. ; (Faculté de sciences économiques, sociales et politiques) -- FUSL, 2017
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My PhD dissertation (Sciences Po Paris & Université Saint-Louis) considers the dilemma generated by immigration and diversity for political elites in two culturally and linguistic distinct sub-national communities: Flanders (Belgium) and Quebec (Canada). For such communities, immigrant integration represents both opportunities and challenges. Immigration might increase the relative demographic strength of the sub-national community yet, it might also weaken its cultural or linguistic cohesion. Focusing on the 1999-2014 timeframe and using discursive institutionalism, I ask how subnational elites respond to this dilemma. Using discourse analysis, I identify the position of members of regional parliaments and their rhetoric on four dimensions of immigrant integration (institutional, demographic, linguistic, and cultural). Contrary to other researches that have focused only on sub-nationalist and regionalist party positions (SNRP), my focus on political discourse and all elites allows me to show how ideas circulate and evolve through legislatures. My results run contrary to some expectations from immigration studies and federalism theory. I show that key arguments are shared between political elites when it comes to the linguistic, demographic and cultural dimensions of immigrant integration. Nevertheless and independently from the conceptions of integration put forward, I show that clear divergences remain when it comes to federal-subnational institutional arrangements for immigrant integration. ; Cette thèse (Université Saint-Louis – Bruxelles & Sciences Po Paris) étudie le dilemme généré par l'immigration et la diversité pour les élites politiques dans deux communautés sous-nationales culturellement et linguistiquement distinctes : la Flandre (Belgique) et le Québec (Canada). Pour ces communautés, l'intégration des immigrés présente à la fois des opportunités et des défis. L'immigration peut, par exemple, augmenter le poids démographique de la communauté sous-nationale mais aussi affaiblir sa cohésion culturelle et linguistique. En étudiant la période de 1999 à 2014 et en utilisant l'institutionnalisme discursif, cette recherche questionne la réponse des élites sous-nationales à ce dilemme : comment les élites politiques flamandes et québécoises envisagent-elles l'intégration des immigrés ? Confrontées au dilemme de l'intégration des immigrés, sur une échelle qui irait de la menace à l'opportunité, comment les élites politiques se positionnent-elles ? Sur base d'une large analyse des débats parlementaires, cette thèse identifie le positionnement des élites politiques (élus et ministres) et leur rhétorique sur quatre dimensions de l'intégration des immigrés : institutionnelle, démographique, linguistique et culturelle. Contrairement à d'autres recherches qui se sont concentrées sur les élites sous-nationalistes et les positions des partis régionalistes (SNRP), notre focus sur les discours politiques de l'ensemble des élites permet de montrer comment les idées circulent et évoluent à travers les législatures. Cette recherche montre que les arguments-clés sont partagés par les élites politiques quand il s'agit des dimensions linguistique, démographique et culturelle de l'intégration des immigrés. Néanmoins et indépendamment de ces conceptions, des divergences claires existent sur les arrangements institutionnels à privilégier entre l'autorité fédérale et la sous-nation pour l'intégration des immigrés. ; (Faculté de sciences économiques, sociales et politiques) -- FUSL, 2017
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En Belgique, la Région de Bruxelles-Capitale constitue la principale porte d'entrée de la migration internationale. Comme partout en Europe, l'enjeu de l'immigration et en particulier de son « après », à savoir l'insertion des nouveaux arrivants dans la société d'accueil, y est particulièrement sensible. Au sein de l'Etat fédéral belge, les entités fédérées ont mis en place des politiques d'intégration différentes. Récemment, celles-ci ont connu des bouleversements majeurs, en particulier à Bruxelles où le résultat est interpellant. En effet, des institutions différentes (potentiellement concurrentes) y sont compétentes et il existe, aujourd'hui, sur un même territoire, deux parcours d'intégration civique : un néerlandophone et un francophone. L'ambition de cet article est de détailler ces politiques, en les inscrivant dans le contexte institutionnel bruxellois, particulièrement complexe. Il s'agit non seulement d'étudier et de comprendre le dédale institutionnel dans lequel ces politiques s'inscrivent mais aussi de les décrire afin de les comparer. Ce puzzle institutionnel n'est pas sans conséquences pour les acteurs : que ce soit les autorités ou les migrants eux-mêmes.
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In Belgium, the Brussels-Capital Region constitutes the main gateway for international migration. Like everywhere in Europe, the challenge of immigration and in particular what happens afterwards, namely the integration of new immigrants in the host society, is particularly palpable in Brussels. Within the Belgian federal state, the federated entities have implemented different integration policies. Recently, these policies have experienced major upheavals, especially in Brussels where the result raises questions. Different (and possibly competing) institutions are competent, and today there are two civic integration programmes in the same territory: one from the Dutch-speaking community and the other from the French-speaking community. The aim of this article is to examine these policies by placing them in the particularly complex institutional context of Brussels. This involves studying and understanding the institutional labyrinth in which these policies exist, as well as describing them in order to compare them. This institutional puzzle has consequences for the stakeholders, i.e. the authorities and the migrants themselves.
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En Belgique, la Région de Bruxelles-Capitale constitue la principale porte d'entrée de la migration internationale. Comme partout en Europe, l'enjeu de l'immigration et en particulier de son « après », à savoir l'insertion des nouveaux arrivants dans la société d'accueil, y est particulièrement sensible. Au sein de l'Etat fédéral belge, les entités fédérées ont mis en place des politiques d'intégration différentes. Récemment, celles-ci ont connu des bouleversements majeurs, en particulier à Bruxelles où le résultat est interpellant. En effet, des institutions différentes (potentiellement concurrentes) y sont compétentes et il existe, aujourd'hui, sur un même territoire, deux parcours d'intégration civique : un néerlandophone et un francophone. L'ambition de cet article est de détailler ces politiques, en les inscrivant dans le contexte institutionnel bruxellois, particulièrement complexe. Il s'agit non seulement d'étudier et de comprendre le dédale institutionnel dans lequel ces politiques s'inscrivent mais aussi de les décrire afin de les comparer. Ce puzzle institutionnel n'est pas sans conséquences pour les acteurs : que ce soit les autorités ou les migrants eux-mêmes.
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In Belgium, the Brussels-Capital Region constitutes the main gateway for international migration. Like everywhere in Europe, the challenge of immigration and in particular what happens afterwards, namely the integration of new immigrants in the host society, is particularly palpable in Brussels. Within the Belgian federal state, the federated entities have implemented different integration policies. Recently, these policies have experienced major upheavals, especially in Brussels where the result raises questions. Different(and possibly competing) institutions are competent, and today there are two civic integration programmes in the same territory: one from the Dutch-speaking community and the other from the French-speaking community. The aim of this article is to examine these policies by placing them in the particularly complex institutional context of Brussels. This involves studying and understanding the institutional labyrinth in which these policies exist, as well as describing them in order to compare them. This institutional puzzle has consequences for the stakeholders, i.e. the authorities and the migrants themselves.
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In Belgium, the Brussels-Capital Region constitutes the main gateway for international migration. Like everywhere in Europe, the challenge of immigration and in particular what happens afterwards, namely the integration of new immigrants in the host society, is particularly palpable in Brussels. Within the Belgian federal state, the federated entities have implemented different integration policies. Recently, these policies have experienced major upheavals, especially in Brussels where the result raises questions. Different(and possibly competing) institutions are competent, and today there are two civic integration programmes in the same territory: one from the Dutch-speaking community and the other from the French-speaking community. The aim of this article is to examine these policies by placing them in the particularly complex institutional context of Brussels. This involves studying and understanding the institutional labyrinth in which these policies exist, as well as describing them in order to compare them. This institutional puzzle has consequences for the stakeholders, i.e. the authorities and the migrants themselves.
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En Belgique, la Région de Bruxelles-Capitale constitue la principale porte d'entrée de la migration internationale. Comme partout en Europe, l'enjeu de l'immigration et en particulier de son « après », à savoir l'insertion des nouveaux arrivants dans la société d'accueil, y est particulièrement sensible. Au sein de l'Etat fédéral belge, les entités fédérées ont mis en place des politiques d'intégration différentes. Récemment, celles-ci ont connu des bouleversements majeurs, en particulier à Bruxelles où le résultat est interpellant. En effet, des institutions différentes (potentiellement concurrentes) y sont compétentes et il existe, aujourd'hui, sur un même territoire, deux parcours d'intégration civique : un néerlandophone et un francophone. L'ambition de cet article est de détailler ces politiques, en les inscrivant dans le contexte institutionnel bruxellois, particulièrement complexe. Il s'agit non seulement d'étudier et de comprendre le dédale institutionnel dans lequel ces politiques s'inscrivent mais aussi de les décrire afin de les comparer. Ce puzzle institutionnel n'est pas sans conséquences pour les acteurs : que ce soit les autorités ou les migrants eux-mêmes.
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En Belgique, la Région de Bruxelles-Capitale constitue la principale porte d'entrée de la migration internationale. Comme partout en Europe, l'enjeu de l'immigration et en particulier de son « après », à savoir l'insertion des nouveaux arrivants dans la société d'accueil, y est particulièrement sensible. Au sein de l'Etat fédéral belge, les entités fédérées ont mis en place des politiques d'intégration différentes. Récemment, celles-ci ont connu des bouleversements majeurs, en particulier à Bruxelles où le résultat est interpellant. En effet, des institutions différentes (potentiellement concurrentes) y sont compétentes et il existe, aujourd'hui, sur un même territoire, deux parcours d'intégration civique : un néerlandophone et un francophone. L'ambition de cet article est de détailler ces politiques, en les inscrivant dans le contexte institutionnel bruxellois, particulièrement complexe. Il s'agit non seulement d'étudier et de comprendre le dédale institutionnel dans lequel ces politiques s'inscrivent mais aussi de les décrire afin de les comparer. Ce puzzle institutionnel n'est pas sans conséquences pour les acteurs : que ce soit les autorités ou les migrants eux-mêmes.
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