Les galériens: vies et destins de 60000 forçats sur les galères de France 1680 - 1748
In: Points
In: Série histoire 142
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In: Points
In: Série histoire 142
In: Revue historique des armées, Band 296, Heft 3, S. 40-48
In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 86, Heft 4, S. 132-134
ISSN: 2111-4587
In: Matériaux pour l'histoire de notre temps, Band 10, Heft 1, S. 35-37
In: Annales historiques de la Révolution française, Band 228, Heft 1, S. 269-305
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 31, Heft 1, S. 168-175
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 31, Heft 1, S. 175-176
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 30, Heft 1, S. 43-65
ISSN: 1953-8146
Les archives maritimes de Toulon, Brest et Rochefort détiennent les registres d'inscription ou matricules des galériens et des forçats de la France moderne et contemporaine.Marseille demeure la ville des galères jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. L'ordonnance du 27 septembre 1748 rattache le corps des galères à la Marine. Le texte porte le coup de grâce à une flotte dont il ne reste que de « glorieux débris ». Les bâtiments encore à flot sont conduits à Toulon et servent provisoirement de pontons. Toulon devient le siège du premier bagne à terre, la chiourme est désormais vouée aux travaux forcés.
In: Cahier des annales de Normandie 36
In: Regards sur l'histoire
In: Histoire moderne 119
In: Espaces maritimes
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 34, Heft 5, S. 984-1015
ISSN: 1953-8146
Dans la France des Lumières, de l'Aquitaine aux Flandres, la vieille criminalité de sang semble marquer le pas, définitivement. Dans les villes tout d'abord — et à Paris au premier chef —, puis peu à peu dans les campagnes, la répression judiciaire des crimes et délits commis contre les biens envahit littéralement les liasses de procédures, surtout à partir des années 1760-1770, reléguant à l'arrière-plan, dans le cul-de-sac du Petit Criminel, la menue monnaie des offenses, dés voies de fait, des rixes et des coups de bâton. Dans tel bailliage ou presidial, fin xvie-début xviie siècle, les violences et les meurtres alimentaient annuellement les 2/3 des procès ; un siècle et demi plus tard cette proportion ne se retrouve plus, parce que, désormais, 60 à 80 % des affaires portées à la connaissance des juges concernent des larcins, des escroqueries, des faux.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 38, Heft 6, S. 1304-1335
ISSN: 1953-8146
Le dictionnaire géographique et administratif de Paul Joanne propose, en son volume VI (p. 4025), une cartographie du culte des saints ; ou, pour être plus exact, une cartographie des communes dont le nom commence par Saint-…(Saint-Laurent-de-Condel, Saint-André-de-Najac, etc.). Éditée en 1902, cette publication exclut, et pour cause, les territoires alsaciens et lorrains ; elle porte sur 4 450 communes qui, pour 98,9 % d'entre elles, se formulent en Saint-X…, cependant que les 1,1 % restantes se composent de villages appelés Dammarie, Dampierre, etc. (le préfixe damou dont, autrement dit Dominus ou Seigneur est utilisé jusqu'au xe siècle et parfois un peu plus tard, notamment dans l'Est de la France, pour signifier, par exemple, Sainte-Marie ou Saint- Pierre). Ces 4 450 localités correspondent à 12,3 °/o du total des 36 170 communes françaises de l'époque, soit (en gros) une commune sur huit. .
In: Histoire, économie & société: HES : époches moderne et contemporaine, Band 15, Heft 4, S. 507-523
ISSN: 1777-5906
Résumé Cette étude porte sur une sélection de 88 057 notices extraites du CD-ROM de la BNF. Cette sélection concerne les éditions francophones de 1470 à 1780. En France même, nous constatons pendant tout le XVIe siècle une progression continue du nombre de titres certes très en deçà de la production réelle. Cependant cet accroissement de 19 titres de 1470 à 1599, très inférieur au stock, est parfaitement en phase avec le trend général de la production livresque. De 1600 à 1660, on enregistre 287 titres supplémentaires annuels. Le règne de Louis XIV est positif : 326 titres. Donc XVIIe siècle de bonne tenue éditoriale. Le premier règne de Louis XV, 1716-1749, montre un léger recul : 302 titres annuels, très provisoire : 1750-1780 culmine à 474 titres. Nous avons interrogé la base pour connaître la répartition géographique de cette production éditoriale. Toutes provinces assemblées sauf Ile-de-France, on constate une croissance de 7 titres annuels, 1470-1599 à 75 titres 1600-1660. Un XVIe siècle aussi sous-évalué, un XVIIe siècle plus représentatif du stock générale. Louis XIV : 67 titres ; centralisation oblige. Louis XV : 49 reflétant la baisse général ; 84 titres de 1750 à 1780, en hausse certes mais le centralisme est confirmé, l'Ile-de-France restant le pôle dominant de l'imprimerie, démontré à suffisance par les pourcentages. Suivant le même rythme que cette croissance parisienne à tendance monopoliste, l'étranger francophone, réel ou mythique, montre un dynamisme certain. En effet, la période déprimée 1716-1749 constatée en France, ne se retrouve pas dans la production globale francophone qui croît sans le moindre fléchissement de la Rennaissance aux Lumières. Dans le détail des lieux d'édition provinciaux, Lyon croît mais moins que Paris. Surtout les villes éditoriales augmentent de Renaissance à Baroque, de 74 à 143 centres. Normandie en tête ; les cités dynamiques du XVIe siècle étant en perte de vitesse. Sous Louis XIV, la croissance du centre parisien porte ombrage aux provinces qui connaissent des reculs importants ; certaines restent cependant actives. Quant à l'époque des Lumières, le recul affecte surtout les provinces, d'autant plus que le nombre des centres éditoriaux non parisiens est en baisse. Paris est désormais gagnant sur ses régions proches ; les provinces plsu éloignées bénéficiant dans une mesure moindre mais perceptible du redressement de la production éditoriale totale de 1750 à 1780.