Le coup dans l'eau de Copernic : réforme de la haute fonction publique, nouvelle gestion publique et particratie en Belgique
In: Politiques et management public: PMP, Band 23, Heft 4, S. 33-51
ISSN: 0758-1726, 2119-4831
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In: Politiques et management public: PMP, Band 23, Heft 4, S. 33-51
ISSN: 0758-1726, 2119-4831
In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 55, Heft 3, S. 323
ISSN: 0020-8523
In: Res Publica, Band 28, Heft 4, S. 643-670
In: Res publica: politiek-wetenschappelijk tijdschrift van de Lage Landen ; driemaandelijks tijdschrift, Band 28, Heft 4, S. 643
ISSN: 0486-4700
In: Res Publica, Band 28, Heft 4, S. 643-670
This comparative study of management reforms in the United Kingdom and in Belgium between 1982 and 1985, focuses on the incentives to these reforms, on the objectives pursued by the governments of both countries in undertaking them and on the results which have been already obtained.The need to reduce severely public expenditure by improving efficiency and effectiveness in government is recognized in both countries, but the governments diverse on the contents of the reforms and on the methods used to realize them. The British opted for a radical reform conducted with much politica! backing, white the Belgians preferred to apply a strategy of gradual improvements of the budgetary process.
Le fédéralisme financier en Belgique connaît un paradoxe fondamental. Il est tout d'abord le fruit d'une logique de divergence alimentée par des dissensions politiques et économiques entre entités fédérées. Son évolution témoigne néanmoins d'une logique de convergence budgétaire, initialement dictée par la volonté d'enrayer les conséquences néfastes de l'importante dette publique, puis renforcée par l'accentuation progressive des contraintes budgétaires européennes.
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Le fédéralisme financier en Belgique connaît un paradoxe fondamental. Il est tout d'abord le fruit d'une logique de divergence alimentée par des dissensions politiques et économiques entre entités fédérées. Son évolution témoigne néanmoins d'une logique de convergence budgétaire, initialement dictée par la volonté d'enrayer les conséquences néfastes de l'importante dette publique, puis renforcée par l'accentuation progressive des contraintes budgétaires européennes.
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In: Revue internationale des sciences administratives: revue d'administration publique comparée, Band 80, Heft 1, S. 35-51
ISSN: 0303-965X
Suite à la réforme Copernic, les hauts fonctionnaires fédéraux belges sont dorénavant nommés pour un mandat à durée déterminée et encadrés par des plans de management. Le présent article a pour objectif d'évaluer l'impact de l'introduction du système des mandats sur l'autonomie des fonctionnaires dirigeants vis-à-vis des départements horizontaux chargés du budget d'une part, et des ressources humaines d'autre part, dans l'administration fédérale en Belgique. S'appuyant sur l'approche dite des « incohérences », l'article se concentre succinctement sur trois incohérences : interne, discursive et contextuelle. L'analyse de ces incohérences confirme une des formes de « tricherie » dans les relations entre ministres et hauts fonctionnaires énoncées par Hood et Lodge (2006), à savoir que les premiers nommés peuvent être enclins à réduire la marge discrétionnaire des seconds en maintenant les dispositifs, formels ou informels, de contrôle sur le mise à disposition des ressources. Remarques à l'intention des praticiens Une plus grande autonomie managériale pour les hauts fonctionnaires, telle que prônée par la NGP, ne peut aboutir sans une transformation des modes de fonctionnement traditionnels de la relation politico-administrative accompagnant les réformes structurelles. La faible autonomie des hauts fonctionnaires ne provient pas tant de la « contractualisation » des relations, que du manque de loyauté de la part de cette dernière dans la mise en œuvre de telles réformes. Dans le cas étudié, la responsabilisation et l'autonomisation des hauts fonctionnaires sont dépendantes d'une réforme de la « pyramide » du contrôle et du développement des activités d'audit interne.
In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 80, Heft 1, S. 33-51
ISSN: 1461-7226
In the wake of the Copernic reform, Belgium's senior federal civil servants are now appointed for a fixed term and guided on performance via management plans. This article sets out to assess the impact of the introduction of the fixed-term system on the autonomy of senior civil servants with regard to the horizontal departments responsible for the budget, on the one hand, and human resources, on the other hand, within Belgium's federal administration. Based on the so-called 'inconsistencies' approach, the article focuses briefly on three inconsistencies: internal, discursive and contextual. An analysis of these inconsistencies confirms one of the forms of 'cheating' in the relationship between ministers and senior civil servants formulated by Hood and Lodge (2006), namely that the first can be inclined to reduce the margin of discretion of the latter by maintaining formal or informal mechanisms to exercise control over the provision of resources. Points for practitioners Greater managerial autonomy for senior civil servants, as advocated by NPM, cannot succeed without a transformation of the traditional modes of operation of the political-administrative relationship accompanying structural reforms. The low degree of autonomy of senior civil servants does not stem so much from the introduction of a 'contractual' relationship, but from the lack of support shown by the latter in the implementation of such reforms. In the case studied, senior civil servants can only be made more accountable and given greater autonomy if the 'pyramid' of control is reformed and internal audit activities developed.
In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 80, Heft 1, S. 33-51
ISSN: 0020-8523
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hiver, Heft 4, S. 23-35
ISSN: 1958-8992
Depuis un demi-siècle, la décentralisation de la Belgique ne cesse de progresser. Aux crises politiques succèdent les réformes de l'État. La dernière en date, en 2010-2011, a offert aux régions un degré d'autonomie inédit mais n'a pas modifié la nature du fédéralisme belge. Si une nouvelle crise politique est possible à l'issue des élections du printemps 2014, il est peu probable qu'elle aboutisse à l'éclatement de la Belgique. Mais alors, comment sortir de l'impasse ?
Depuis un demi-siècle, la décentralisation de la Belgique ne cesse de progresser. Aux crises politiques succèdent les réformes de l'État. La dernière en date, en 2010-2011, a offert aux régions un degré d'autonomie inédit mais n'a pas modifié la nature du fédéralisme belge. Si une nouvelle crise politique est possible à l'issue des élections du printemps 2014, il est peu probable qu'elle aboutisse à l'éclatement de la Belgique. Mais alors, comment sortir de l'impasse ?
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Depuis un demi-siècle, la décentralisation de la Belgique ne cesse de progresser. Aux crises politiques succèdent les réformes de l'État. La dernière en date, en 2010-2011, a offert aux régions un degré d'autonomie inédit mais n'a pas modifié la nature du fédéralisme belge. Si une nouvelle crise politique est possible à l'issue des élections du printemps 2014, il est peu probable qu'elle aboutisse à l'éclatement de la Belgique. Mais alors, comment sortir de l'impasse ?
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In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 78, Heft 4, S. 23-35
ISSN: 0032-342X
The movement towards decentralization in Belgium has been going on for half a century. Political crises have been followed by state reforms. The last to date, in 2010-2011, brought in an unprecedented level of autonomy but did not modify the nature of Belgium's federalism. If another political crisis does arise in the wake of the spring 2014 elections, it is still unlikely that it will lead to Belgium breaking up. So, what is the solution to this impassex? Adapted from the source document.
In: Revue internationale de politique comparée 11.2004,2