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The influential theories of Jürgen Habermas and Pierre Bourdieu have virtually nothing in common. They share the same ideal of science as a discourse free of domination. This form of discourse could only guarantee something like truth, however, if one presupposes a definite progress of knowledge. Habermas and Bourdieu have not made this presupposition explicit. Discussion about their ideal and its presuppositions could build a bridge between the schools of Habermas and Bourdieu and enrich both theories significantly. Habermas' theory would gain a new empirical dimension, Bourdieu's theory would be able to discuss its normative standards. And both theories would actually perform what they postulate: a (self-)critical discussion. Furthermore, they would integrate their normative ideal into a hermeneutical process characterized by understanding, communication and self-critique.
In: Reclam-Taschenbuch 20319
In: Grundwissen Philosophie
In: Grundwissen Philosophie
Pierre Bourdieu (1930-2002) hat mit seinem eindrucksvollen Ouvre die Sozialwissenschaften grundlegend erneuert und ist zum meistzitierten französischen Intellektuellen geworden. Wissenschaftliche Strenge und engagiertes Eingreifen stellten für ihn dabei keine Widersprüche dar. Gerade in seinen letzten Jahren trat er in der Öffentlichkeit immer wieder durch seine politischen Äußerungen hervor. Der Band stellt die zentralen theoretischen Kategorien Bourdieus - Feld, Habitus und Kapital - im Zusammenhang vor.
In: Absolute
International audience ; Plus de dix ans après sa disparition, Pierre Bourdieu demeure toujours l'auteur des sciences sociales le plus cité au monde. Si ses concepts, sujets de débats permanents, expliquent probablement ce succès, son aptitude à explorer l'ensemble des domaines du social y a aussi grandement contribué : la socialisation, l'école, les classes sociales, le célibat, la culture, l'art, l'Etat, la politique, etc., peu d'objets semblent en effet s'être soustraits à l'examen du sociologue, et sur lesquels, en retour, il n'a pas été discuté. Il en existe pourtant un et non des moindres : le travail. Après des travaux liminaires sur la question dans le contexte de la guerre d'Algérie, Bourdieu paraît en effet définitivement s'en désintéresser. Cette désaffection correspond alors à une indifférence équivalente des sociologues du travail à l'égard de son oeuvre. Durant quarante ans, Bourdieu et «le travail» donnent l'impression de s'ignorer superbement. A l'occasion du dixième anniversaire de sa mort, c'est cette double défection - le travail dans la sociologie de Bourdieu, et Bourdieu dans la sociologie du travail - que nous avons voulue questionner : le travail est-il vraiment absent dans I oeuvre de Pierre Bourdieu ? Comment l'aborde-t-il, en particulier après son époque algérienne ? Enfin, dans quelle mesure ses concepts peuvent-ils contribuer à l'analyse du travail, d'hier et d'aujourd'hui ? Réunissant plus d'une vingtaine de contributions, entre exégèses, analyses historiques et enquêtes de terrain, ce livre souhaite montrer l'apport mutuel du sociologue et de l'objet «travail». Une réconciliation scientifique en somme.
BASE
International audience ; Plus de dix ans après sa disparition, Pierre Bourdieu demeure toujours l'auteur des sciences sociales le plus cité au monde. Si ses concepts, sujets de débats permanents, expliquent probablement ce succès, son aptitude à explorer l'ensemble des domaines du social y a aussi grandement contribué : la socialisation, l'école, les classes sociales, le célibat, la culture, l'art, l'Etat, la politique, etc., peu d'objets semblent en effet s'être soustraits à l'examen du sociologue, et sur lesquels, en retour, il n'a pas été discuté. Il en existe pourtant un et non des moindres : le travail. Après des travaux liminaires sur la question dans le contexte de la guerre d'Algérie, Bourdieu paraît en effet définitivement s'en désintéresser. Cette désaffection correspond alors à une indifférence équivalente des sociologues du travail à l'égard de son oeuvre. Durant quarante ans, Bourdieu et «le travail» donnent l'impression de s'ignorer superbement. A l'occasion du dixième anniversaire de sa mort, c'est cette double défection - le travail dans la sociologie de Bourdieu, et Bourdieu dans la sociologie du travail - que nous avons voulue questionner : le travail est-il vraiment absent dans I oeuvre de Pierre Bourdieu ? Comment l'aborde-t-il, en particulier après son époque algérienne ? Enfin, dans quelle mesure ses concepts peuvent-ils contribuer à l'analyse du travail, d'hier et d'aujourd'hui ? Réunissant plus d'une vingtaine de contributions, entre exégèses, analyses historiques et enquêtes de terrain, ce livre souhaite montrer l'apport mutuel du sociologue et de l'objet «travail». Une réconciliation scientifique en somme.
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International audience ; Plus de dix ans après sa disparition, Pierre Bourdieu demeure toujours l'auteur des sciences sociales le plus cité au monde. Si ses concepts, sujets de débats permanents, expliquent probablement ce succès, son aptitude à explorer l'ensemble des domaines du social y a aussi grandement contribué : la socialisation, l'école, les classes sociales, le célibat, la culture, l'art, l'Etat, la politique, etc., peu d'objets semblent en effet s'être soustraits à l'examen du sociologue, et sur lesquels, en retour, il n'a pas été discuté. Il en existe pourtant un et non des moindres : le travail. Après des travaux liminaires sur la question dans le contexte de la guerre d'Algérie, Bourdieu paraît en effet définitivement s'en désintéresser. Cette désaffection correspond alors à une indifférence équivalente des sociologues du travail à l'égard de son oeuvre. Durant quarante ans, Bourdieu et «le travail» donnent l'impression de s'ignorer superbement. A l'occasion du dixième anniversaire de sa mort, c'est cette double défection - le travail dans la sociologie de Bourdieu, et Bourdieu dans la sociologie du travail - que nous avons voulue questionner : le travail est-il vraiment absent dans I oeuvre de Pierre Bourdieu ? Comment l'aborde-t-il, en particulier après son époque algérienne ? Enfin, dans quelle mesure ses concepts peuvent-ils contribuer à l'analyse du travail, d'hier et d'aujourd'hui ? Réunissant plus d'une vingtaine de contributions, entre exégèses, analyses historiques et enquêtes de terrain, ce livre souhaite montrer l'apport mutuel du sociologue et de l'objet «travail». Une réconciliation scientifique en somme.
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In: Campus »Studium«
Pierre Bourdieu (1930 – 2002) ist ohne Zweifel einer der einflussreichsten Denker des 20. Jahrhunderts. Sein Buch »Die feinen Unterschiede« machte ihn weltweit bekannt. Heute wird sein Werk nicht nur in den Sozialwissenschaften, sondern auch in den Literatur-, Kultur- und Geschichtswissenschaften rezipiert. Allerdings hat Pierre Bourdieu »seine« Soziologie nicht kompakt und zusammenhängend dargelegt. Vor dem Hintergrund seiner Biografie werden in dieser Einführung Bourdieus Grundbegriffe wie »soziale Praxis«, »Habitus« und »Feld« systematisch vorgestellt. So wird Schritt für Schritt seine soziologische Theorie entfaltet. Eva Barlösius zeigt Bourdieu als einen Soziologen, der die Grenzen dieser Disziplin immer wieder überschritt und wie kaum ein anderer Theorie und Praxis miteinander verband – bis hin zu seinem Engagement als politischer Intellektueller.
In: Campus-Studium
Pierre Bourdieu (1930-2002) ist ohne Zweifel einer der einflussreichsten Denker des 20. Jahrhunderts. Sein Buch "Die feinen Unterschiede" machte ihn weltweit bekannt. Heute wird sein Werk nicht nur in den Sozialwissenschaften, sondern auch in den Literatur-, Kultur- und Geschichtswissenschaften rezipiert. Allerdings hat Pierre Bourdieu "seine" Soziologie nicht kompakt und zusammenhängend dargelegt. Vor dem Hintergrund seiner Biografie werden in dieser Einführung Bourdieus Grundbegriffe wie "soziale Praxis", "Habitus" und "Feld" systematisch vorgestellt. So wird Schritt für Schritt seine soziologische Theorie entfaltet. Eva Barlösius zeigt Bourdieu als einen Soziologen, der die Grenzen dieser Disziplin immer wieder überschritt und wie kaum ein anderer Theorie und Praxis miteinander verband bis hin zu seinem Engagement als politischer Intellektueller
This volume brings into dialogue current research interests in literary studies and linguistics that work with Pierre Bourdieu's concepts and theory. In light of the twentieth anniversary of the death of the French sociologist (2022), it thus, firstly, carries out a survey of previous research and, secondly, stakes out the future potential of German studies oriented toward Bourdieu.
In: Soziale Ungleichheit, kulturelle Unterschiede: Verhandlungen des 32. Kongresses der Deutschen Gesellschaft für Soziologie in München. Teilbd. 1 und 2, S. 2839-2849
"Bourdieu vertritt die 'linke' Auffassung vom Wohlfahrtsstaat als Verteidigung der Autonomie der Politik gegenüber der Wirtschaft und ihrem neoliberalen Expansionismus, Luhmann die 'rechte' Auffassung vom Wohlfahrtsstaat als Überdehnung der Zuständigkeit der Politik und Eingriff in die Autonomie anderer Bereiche. Dieser Unterschied in den politiknahen und common-sense-nahen Auffassungen soll auf tieferliegende Theoriestrukturen zurückgeführt werden. Bei Bourdieu spielt hier die grundsätzlich asymmetrische Anlage seiner Theorie eine Rolle, die der Wirtschaft sowohl analytisch als auch real einen Primat zuweist. Die anderen Bereiche der Gesellschaft können dann eine relative Autonomie gewinnen durch Absetzung von der dominierenden Logik der Wirtschaft. Jedoch kann Bourdieu von dieser Theorieanlage aus keinen Sinn für die Autonomie der Wirtschaft mehr haben, und deshalb sieht er den Wohlfahrtsstaat ausschließlich als Autonomieverteidigung (der Politik) und nicht etwa als Autonomieeinschränkung (etwa der Wirtschaft). Luhmanns Theorie enthält nun nicht etwa eine umgekehrte Asymmetrie (etwa mit einem Primat der Politik). Vielmehr legt Luhmann Wert auf Symmetrie und auf die Aussage, dass keinem Teilbereich der modernen Gesellschaft eine Zentralstellung zukommt. Gerade dieses Bemühen um Symmetrie hindert Luhmann aber daran, eine systemtheoretisch eigentlich nahe liegende und weniger politiknahe Deutungsmöglichkeit zu wählen: Der Wohlfahrtsstaat schützt andere Bereiche (Bildung, Wissenschaft, Gesundheit etc.) vor einer Punkt-zu-Punkt-Kopplung an Wirtschaft, indem er Bildungs-, Wissenschafts-, Gesundheitsleistungen von der Notwendigkeit unmittelbarer, punktueller Zahlungen entlastet und die für diese Leistungen nötigen Zahlungen auf eine höhere Generalisierungsebene hebt. Weil diese Interpretation dem Staat bzw. der Politik eine gewisse Zentralstellung in der Gesellschaft gibt, kann Luhmann sie gerade wegen seines Bemühens um Symmetrie nicht wählen und verfällt stattdessen in die theoretisch weniger anspruchsvolle, politisch 'rechte' Auffassung des Wohlfahrtsstaates." (Autorenreferat)
In: Religación: revista de ciencias sociales y humanidades, Band 5, Heft 25, S. 157-168
ISSN: 2477-9083
En este artículo se analiza críticamente la relación de la epistemología de Gastón Bachelard y la sociología de Pierre Bourdieu. En la primera parte del artículo, se analiza la lectura de la epistemología en Bourdieu que lleva a cabo el antropólogo Denis Baranger quien, inspirado en la filosofía de la ciencia de Jean-Claude Passeron, la caracteriza como estrictamente "bachelardiana", lo que impide comprender la naturaleza del concepto de reflexividad, central en la sociología de Pierre Bourdieu. En la segunda parte, se sostiene que, al abordar la relación de la epistemología de Gastón Bachelard y la sociología de Pierre Bourdieu desde una perspectiva procesual o genética, es posible describir el trayecto seguido por Bourdieu que va de un uso de la epistemología bachelardiana para justificar la sociología como ciencia de las prácticas, a la construcción de esta ciencia como la base de una epistemología general reestructurada. Este trayecto se caracteriza como una sociologización de la epistemología de Bachelard, por lo tanto, como una ruptura con el régimen conceptual "filosófico". Se concluye, a la luz de esta nueva perspectiva, que la lectura de Baranger es insuficiente para comprender la epistemología de Bourdieu y todas sus implicaciones, particularmente su contribución a la constitución del paradigma sociológico.
This article critically analyzes the relationship between Gaston Bachelard's epistemology and Pierre Bourdieu's so-ciology. The first part of the article analyzes Bourdieu's reading of epistemology by the anthropologist Denis Ba-ranger who, inspired by Jean-Claude Passeron's philosophy of science, characterizes it as strictly "Bachelardian", which prevents understanding the nature of the concept of reflexivity, central to the sociology of Pierre Bourdieu. In the second part, it is argued that, when dealing with the relationship between Gaston Bachelard's epistemology and Pierre Bourdieu's sociology from a processual or genetic perspective, it is possible to describe the trajectory followed by Bourdieu that goes from a use of Bachelard's epistemology to justify sociology as a science of practice, to the construction of this science as the basis of a general restructured epistemology. This is characterized as a sociologization of Bachelard's epistemology, therefore, as a break up with the conceptual "philosophical" regime. In light of this new perspective, it is concluded that Baranger's reading is insufficient to understand Bourdieu's episte-mology and all its implications, particularly its contribution to the constitution of the sociological paradigm.