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Le Brésil s'est doté depuis 1976 de nouveaux « Centres sociaux urbains » dont les programmes et les services visent à intégrer socialement et politiquement la main-d'oeuvre des périphéries urbaines. À mesure que diminue le contrôle politique exercé par le gouvernement, croissent les revendications sociales et la volonté de participation populaire à l'orientation des centres sociaux. Que va-t-il advenir de cette politique sociale à un moment où la crise économique et une crise de légitimité du pouvoir secouent le pays ?

A partir des listes nominatives de 1872 ou 1876 concernant cinq villes ou gros bourgs du Calvados, une analyse de certains aspects de l'immigration est effectuée. Les activités professionnelles attractives sont dégagées, ce qui permet de constater que le « tertiaire » est le principal secteur d'accueil. Les structures des origines géographiques des migrants révèlent une dominante normande, basse-normande surtout, et accessoirement bretonne, ainsi que l'influence exercée localement par les activités dynamiques, par la situation du centre urbain et par sa fonction économique principale. La combinaison des origines géographiques et des activités professionnelles des migrants prouve, d'une part que certaines régions fournissent des travailleurs sans qualification tandis que d'autres envoient des ouvriers spécialisés, d'autre part que la disparité des salaires départementaux est un élément moteur des migrations venant de l'Ouest français. L'immigration décelée est beaucoup plus forte que ne le laisse supposer le bilan migratoire ce qui témoigne à la fois de la forte turbulence démographique des centres urbains étudiés et de leur rôle de villes de transit.

Le volume 2 de la Topographia Palmyrena consacré au centre urbain de la Venise des sables fait suite au premier volume, dédié à la topographie générale, réalisé par Klaus Schnädelbach, professeur à la Technische Universität München. La réalisation en fut relativement longue, à la fois sur le terrain (prospections, exploitation des photographies aériennes) et dans les archives et bibliothèques. Un système d'enregistrement, correspondant à une division sur le terrain, en secteurs respectant les axes routiers, a conduit à présenter toutes les structures repérées, du complexe monumental à la simple colonne isolée. Une abondante bibliographie débordant le cadre de ce volume, regroupant nécropoles et structures extérieures, complète l'ensemble

En Angleterre de même qu'en France, les études urbaines sont restées longtemps négligées, en particulier par les historiens. La plupart des ouvrages publiés ne sont que des traités sur la topographie ou l'architecture : beaucoup de détails sur les maisons historiques, mais rien sur les habitants des maisons ordinaires ; de riches développements sur les organismes administratifs, mais rien sur les administrés. Dans un passé récent, l'on peut citer quelques excellentes monographies, telles que celles de Asa Briggs sur Birmingham ou de W. Chaloner sur Crewe. L'histoire des villes, grandes ou petites, reste à faire. Lacune particulièrement regrettable dans un pays aussi fortement urbanisé que l'Angleterre, où le paysage urbain est le cadre de vie de la plupart des habitants.

Nous étudions la distribution des emplois sur la métropole lilloise afin d'identifier les principaux centres d'affaires et caractériser la forme urbaine de cette aggloméra-tion. Il ne s'agit pas seulement de repérer les communes avec des niveaux d'emplois élevés, mais celles qui exercent aussi une influence significative sur la distribution des emplois. Nos résultats confirment la structure polycentrique de l'agglomération lilloise et nous trouvons que la commune de Roubaix (parfois accompagnée par Tourcoing) se distingue par une centralité importante. En moyenne, l'éloignement d'un sous-centre d'affaires d'un kilomètre diminue la densité d'emploi de près de 20%. L'identification des sous-centres d'affaires est importante car ces zones d'emploi influencent les déci-sions de localisation des acteurs économiques, et sont donc à prendre en compte dans l'élaboration des politiques urbaines. La difficulté technique consiste à séparer l'effet du centre ville (le principal centre d'affaires) de l'effet des multiples sous-centres. Comme le révèle notre application empirique, les approches non paramétriques sont plus efficaces que les approches paramétriques.

Nous étudions la distribution des emplois sur la métropole lilloise afin d'identifier les principaux centres d'affaires et caractériser la forme urbaine de cette aggloméra-tion. Il ne s'agit pas seulement de repérer les communes avec des niveaux d'emplois élevés, mais celles qui exercent aussi une influence significative sur la distribution des emplois. Nos résultats confirment la structure polycentrique de l'agglomération lilloise et nous trouvons que la commune de Roubaix (parfois accompagnée par Tourcoing) se distingue par une centralité importante. En moyenne, l'éloignement d'un sous-centre d'affaires d'un kilomètre diminue la densité d'emploi de près de 20%. L'identification des sous-centres d'affaires est importante car ces zones d'emploi influencent les déci-sions de localisation des acteurs économiques, et sont donc à prendre en compte dans l'élaboration des politiques urbaines. La difficulté technique consiste à séparer l'effet du centre ville (le principal centre d'affaires) de l'effet des multiples sous-centres. Comme le révèle notre application empirique, les approches non paramétriques sont plus efficaces que les approches paramétriques.

Nous étudions la distribution des emplois sur la métropole lilloise afin d'identifier les principaux centres d'affaires et caractériser la forme urbaine de cette aggloméra-tion. Il ne s'agit pas seulement de repérer les communes avec des niveaux d'emplois élevés, mais celles qui exercent aussi une influence significative sur la distribution des emplois. Nos résultats confirment la structure polycentrique de l'agglomération lilloise et nous trouvons que la commune de Roubaix (parfois accompagnée par Tourcoing) se distingue par une centralité importante. En moyenne, l'éloignement d'un sous-centre d'affaires d'un kilomètre diminue la densité d'emploi de près de 20%. L'identification des sous-centres d'affaires est importante car ces zones d'emploi influencent les déci-sions de localisation des acteurs économiques, et sont donc à prendre en compte dans l'élaboration des politiques urbaines. La difficulté technique consiste à séparer l'effet du centre ville (le principal centre d'affaires) de l'effet des multiples sous-centres. Comme le révèle notre application empirique, les approches non paramétriques sont plus efficaces que les approches paramétriques.

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Nous étudions la distribution des emplois sur la métropole lilloise afin d'identifier les principaux centres d'affaires et caractériser la forme urbaine de cette aggloméra-tion. Il ne s'agit pas seulement de repérer les communes avec des niveaux d'emplois élevés, mais celles qui exercent aussi une influence significative sur la distribution des emplois. Nos résultats confirment la structure polycentrique de l'agglomération lilloise et nous trouvons que la commune de Roubaix (parfois accompagnée par Tourcoing) se distingue par une centralité importante. En moyenne, l'éloignement d'un sous-centre d'affaires d'un kilomètre diminue la densité d'emploi de près de 20%. L'identification des sous-centres d'affaires est importante car ces zones d'emploi influencent les déci-sions de localisation des acteurs économiques, et sont donc à prendre en compte dans l'élaboration des politiques urbaines. La difficulté technique consiste à séparer l'effet du centre ville (le principal centre d'affaires) de l'effet des multiples sous-centres. Comme le révèle notre application empirique, les approches non paramétriques sont plus efficaces que les approches paramétriques.