The Politics of Climate Change
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Heft 4, S. 157-163
ISSN: 1291-1941
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In: Raisons politiques: études de pensée politique, Heft 4, S. 157-163
ISSN: 1291-1941
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 360, Heft 2, S. 79-91
ISSN: 2410-9231
Résumé Cet article s'intéresse au changement climatique dans le contexte du dialogue euro-américain. La politique américaine au niveau fédéral est encore moins ouverte au changement après l'échec des Démocrates aux élections de mi-mandat en novembre 2010. Ceci est dû au manque de consensus au sein de la communauté des affaires et au soutien décroissant de l'opinion publique. De l'autre côté, ce changement est nécessaire à l'Union européenne pour lui permettre de modifier l'approche des négociations sur le changement climatique qui doivent se tenir à Durban, en Afrique du Sud, en 2011. Ainsi, cet article étudie les différentes approches et perceptions des négociations euro-américaines sur le changement climatique. Le système lui-même est en train de se modifier. On voit en effet un changement de leadership dans la politique énergétique du niveau fédéral vers le niveau régional, des gouvernements nationaux vers les entités sous-étatiques et les industries. La communauté des affaires est plus préparée à progresser vers une politique énergétique propre qu'à suivre la politique gouvernementale. il en résulte un accroissement de l'importance des relations bilatérales entre États membres et États américains, organisations non gouvernementales et société civile, ainsi que de transformer un « soft power » en « smart power », en termes de relations climatiques.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 380, Heft 2, S. 71-89
ISSN: 2410-9231
Le Mexique a été le deuxième pays à développer sa propre politique climatique nationale, bien avant l'Accord de Paris. Elle fut conçue comme une composante d'une stratégie de politique étrangère destinée à faire de ce pays un facilitateur entre pays développés et en développement. En conséquence, la politique intérieure bénéficia d'un élan important, traduit dans un ensemble d'instruments qui ne se sont pas révélés décisifs ou adéquats pour contribuer à traiter le problème du changement climatique. Des opinions contradictoires ont été exprimées, alors que les énergies fossiles étaient promues en dépit de la reconnaissance et de l'urgence de la transition vers les sources d'énergie renouvelables. Par la suite le Mexique a pu se vanter d'être le premier pays en développement à soumettre son plan d'action climatique en perspective de la COP21. Au cours de cet événement, ce pays s'est joint à la High Ambition Coalition qui s'est avérée décisive pour obtenir la dernière impulsion en faveur de l'Accord de Paris. Cependant, les pressions pour préserver le statu quo restent fortes sur le plan domestique. Ces incohérences forment le contexte dans lequel analyser le discours politique du gouvernement mexicain à la fois dans ses engagements climatiques par le biais de ses promesses et dans l'approche subtile pour rester lié aux énergies fossiles.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 380, Heft 2, S. 13-25
ISSN: 2410-9231
Le rapport Stern de 2006 reflète l'urgence de la lutte contre le changement climatique. D'après l'Accord de Paris de 2015, 55 pays représentant 55 % des émissions de gaz à effet de serre prendront l'initiative pour traiter le problème du changement climatique. Cet accord est peut-être la meilleure chance d'inverser le changement climatique. L'Accord de Paris de 2015 met en œuvre des mesures différenciées, équitables, durables et légalement contraignantes pour atteindre ces objectifs. On peut espérer que cet accord est bien plus avancé que son prédécesseur, le Protocole de Kyoto. Ce dernier, entré en vigueur à partir de 2005, appelait la communauté internationale à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 5,25 % par rapport à 1990. Cependant, un traité significatif devrait viser une réduction des émissions de 60 %. Cela signifie que les États-Unis, qui représentent environ 20 % des émissions globales de gaz à effet de serre, doivent jouer pleinement un rôle de leader pour valider cet accord.
In: Revue française de science politique, Band 62, Heft 4, S. 697-699
ISSN: 0035-2950
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 380, Heft 2, S. 53-70
ISSN: 2410-9231
L'Accord de Paris marque l'aube d'une nouvelle phase dans l'engagement de l'humanité pour combattre le changement climatique. La Chine, en tant que plus gros émetteur dans le monde, s'est engagée à mener une véritable politique susceptible de lui permettre de respecter les engagements de l'Accord de Paris. Un ensemble de mesures ont été définies dans le cadre composé par le gouvernement central et une structure départementale pleinement fonctionnelle. Dans un contexte de ralentissement économique, et avec une croissance modérée en perspective, à la lumière du 13e plan quinquennal pour le développement économique et social (2015-2020), les engagements de la Chine coïncident avec la transition vers une économie de marché décarbonée reposant sur les services, et devraient de ce fait être facilement respectés. Les préconditions sont cependant importantes dans la mesure où elles impliquent une gouvernance stable, une interaction permanente entre les acteurs différents niveaux, et une prédiction générale des réformes économiques, principalement dans les entreprises étatiques.
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 137, S. 101-103
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
In: Revue de l'organisation responsable: Responsible Organization review, Band 12, Heft 1, S. 66
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Band 40, Heft 4, S. 157-163
ISSN: 1950-6708
In: Revue d'économie politique, Band 118, Heft 6, S. 915-940
ISSN: 2105-2883
Les politiques de lutte contre le changementclimatique : les subventions à la R&D sont-elles préférables à la taxe carbone ? Nous développons un modèle de croissance endogène en équilibre général présentantdeux secteurs de R&D, et dans lequel nous introduisons du changement climatique. Enpremier lieu, nous caractérisons l'ensemble des équilibres en économie décentralisée :à chaque vecteur d'outils – une taxe carbone et des subventions à la recherche – estassocié un équilibre particulier. En second lieu, nous calculons les trajectoires de cesinstruments qui permettent d'implémenter l'optimum de 1 er rang. Enfin, nous menonsun certain nombre d'analyses de 2 nd rang en imposant des contraintes sur un ouplusieurs outils politiques. Les principaux résultats sont les suivants : i) une taxe carbone et une subvention à la R&D « verte » contribuent toutes deux à la lutte contre leréchauffement climatique ; ii) les subventions à la R&D ont, relativement à la taxecarbone, un large impact sur la consommation et donc sur le bien-être social ; iii) cesmêmes subventions permettent d'épargner les premières générations qui, à l'inverse,sont fortement pénalisées par une politique environnementale.
In: Études internationales, Band 39, Heft 1, S. 166
ISSN: 1703-7891
In: Revue française de science politique. English edition, Band 61, Heft 2, S. 47-64
ISSN: 2263-7494
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 35-36, Heft 1, S. 381-385
ISSN: 1951-624X
In: Études internationales, Band 45, Heft 4, S. 665
ISSN: 1703-7891
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 370, Heft 4, S. 85-100
ISSN: 2410-9231
Le changement climatique est un défi international pour l'humanité tout entière. En tant que plus grands émetteurs de gaz à effet de serre, mais également partisans des systèmes les plus avancés d'échange de quotas d'émission, la Chine et l'Union européenne pèsent lourdement sur les efforts internationaux de limitation du changement climatique. Cet article compare les systèmes d'échange de quotas d'émissions de l'UE et de la Chine, à partir de trois dimensions : les motivations et l'évolution, la conception, et les enjeux et opportunités pour la coopération Chine-UE. Il fait valoir que les systèmes chinois et européens ont varié en fonction de la centralisation du pouvoir et les quotas d'émission, et que ces différences peuvent être le terrain pour un échange d'informations pour de meilleures pratiques. Il explore également les différences structurelles et les similarités entre les deux systèmes afin de mettre en valeur la possibilité de leur amélioration et d'information sur les risques potentiels.