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Collection : Archives de l'idéologie ; Collection : Archives de l'idéologie ; Appartient à l'ensemble documentaire : GTextes1

International audience ; Poser aujourd'hui la question de la mémoire, c'est d'abord constater que le conflit des interprétations du passé nourrit intensément le débat public et politique dans tous les pays d'Europe. C'est aussi se tourner vers les phénomènes de recomposition des identités politiques qui accompagnent les mutations que connaît l'Europe post-communiste. Dans les processus complexes que traverse cette région diversifiée qu'est l'Europe médiane, le droit, l'histoire, la morale sont convoqués au premier rang, la gestion du passé communiste nous renvoyant à la fois à des trajectoires individuelles et aux modes d'exercice de la démocratie. A la veille de l'entrée de certains de ces États au sein de l'Union européenne, il est essentiel d'en comprendre les ressorts et les problèmes. C'est ce à quoi concourent les historiens et les politistes, français ou centre-européens.

International audience ; Poser aujourd'hui la question de la mémoire, c'est d'abord constater que le conflit des interprétations du passé nourrit intensément le débat public et politique dans tous les pays d'Europe. C'est aussi se tourner vers les phénomènes de recomposition des identités politiques qui accompagnent les mutations que connaît l'Europe post-communiste. Dans les processus complexes que traverse cette région diversifiée qu'est l'Europe médiane, le droit, l'histoire, la morale sont convoqués au premier rang, la gestion du passé communiste nous renvoyant à la fois à des trajectoires individuelles et aux modes d'exercice de la démocratie. A la veille de l'entrée de certains de ces États au sein de l'Union européenne, il est essentiel d'en comprendre les ressorts et les problèmes. C'est ce à quoi concourent les historiens et les politistes, français ou centre-européens.

International audience ; Poser aujourd'hui la question de la mémoire, c'est d'abord constater que le conflit des interprétations du passé nourrit intensément le débat public et politique dans tous les pays d'Europe. C'est aussi se tourner vers les phénomènes de recomposition des identités politiques qui accompagnent les mutations que connaît l'Europe post-communiste. Dans les processus complexes que traverse cette région diversifiée qu'est l'Europe médiane, le droit, l'histoire, la morale sont convoqués au premier rang, la gestion du passé communiste nous renvoyant à la fois à des trajectoires individuelles et aux modes d'exercice de la démocratie. A la veille de l'entrée de certains de ces États au sein de l'Union européenne, il est essentiel d'en comprendre les ressorts et les problèmes. C'est ce à quoi concourent les historiens et les politistes, français ou centre-européens.

International audience ; Poser aujourd'hui la question de la mémoire, c'est d'abord constater que le conflit des interprétations du passé nourrit intensément le débat public et politique dans tous les pays d'Europe. C'est aussi se tourner vers les phénomènes de recomposition des identités politiques qui accompagnent les mutations que connaît l'Europe post-communiste. Dans les processus complexes que traverse cette région diversifiée qu'est l'Europe médiane, le droit, l'histoire, la morale sont convoqués au premier rang, la gestion du passé communiste nous renvoyant à la fois à des trajectoires individuelles et aux modes d'exercice de la démocratie. A la veille de l'entrée de certains de ces États au sein de l'Union européenne, il est essentiel d'en comprendre les ressorts et les problèmes. C'est ce à quoi concourent les historiens et les politistes, français ou centre-européens.

International audience ; Poser aujourd'hui la question de la mémoire, c'est d'abord constater que le conflit des interprétations du passé nourrit intensément le débat public et politique dans tous les pays d'Europe. C'est aussi se tourner vers les phénomènes de recomposition des identités politiques qui accompagnent les mutations que connaît l'Europe post-communiste. Dans les processus complexes que traverse cette région diversifiée qu'est l'Europe médiane, le droit, l'histoire, la morale sont convoqués au premier rang, la gestion du passé communiste nous renvoyant à la fois à des trajectoires individuelles et aux modes d'exercice de la démocratie. A la veille de l'entrée de certains de ces États au sein de l'Union européenne, il est essentiel d'en comprendre les ressorts et les problèmes. C'est ce à quoi concourent les historiens et les politistes, français ou centre-européens.

International audience ; Dans cet article, A. Todorov s'intéresse aux comportements face à l'histoire communiste de la Bulgarie en fonction des générations. S'il apparait clairement que les générations les plus âgées sont généralement moins hostiles au communisme et plus enclines à considérer l'expérience socialiste comme une réussite, l'auteur s'intéresse surtout aux différentes versions du communisme qui s'affrontent pendant la période post-communiste. Depuis 1989 en effet, s'opposent le « récit officiel du régime communiste » et le « communisme raconté » par l'opposition anticommuniste. Ces visions se traduisent par des stratégies différentes de construction de l'histoire communiste du pays. Cette histoire reste jusqu'à présent dans l'esprit d'un consensus anti-communiste du post-communisme. Mais L'auteur observe que plus on s'éloigne de l'époque communiste, plus les générations deviennent neutres ou même positives à l'égard de ce passé révolu. Ce processus naturel, également observé dans d'autres pays et dans d'autres circonstances, ne veut pas dire que nous assistions à une réhabilitation tacite ou rampante du régime communiste. Il s'agit plutôt, selon lui, de l'émergence de nouvelles questions sociales, qui tendent à écarter le débat sur le communisme en mettant en avant des problèmes dont les solutions font penser à la reconstruction de l'idée d'un projet social progressiste.

International audience ; Le fait que ces dernières années virent naître, dans la moitié orientale de l'Europe, au moins douze Etats nationaux qui recouvrèrent leur indépendance politique ou - même si ce n'est que verbalement - la renforcèrent, représenta un cauchemar pour beaucoup d'intellectuels et d'hommes politiques occidentaux. Ils s'étaient en effet habitués à associer les changements à "l'Est" à des directives venues de Moscou; en outre, ils avaient fait leur axiome de l'idée selon laquelle la seule résistance possible et "juste" au communisme était l'adoration des droits de l'homme et du marché libre mondial. Il n'est donc pas illogique qu'aujourd'hui nombre de commentateurs voient rôder en Europe, en lieu et place de "l'épouvantail du communisme", l'épouvantail du "nationalisme". Dans cette perspective, l'auteur s'attache à définir le concept de nation et la spécificité de la « petite nation », questionne l' « identité nationale », « régionale » et « européenne ».

An explanation is given why communist economies usually react smoothly but sometimes very dramatically to seemingly minor changes in the political and economic environment. In this paper such dramatic reactions materialize in a sudden clamp-down on individual freedom and sudden economic prosperity or in quick political liberalization and a quick demise of economic success. Furthermore, the consequences of temporary economic aid in the face of these potential crises are analysed.

Countries that are in transition from communism provide the opportunity for comparing the effects on health of communist and democratic political systems

Ireland in the immediate post-war period offers, to the student of Cold War politics and intrigues, some unusual insights into the nature of political surveillance in general and to the surveillance of the press in particular, according to documents recently released by the US State department and made available in the US National Archives in Washington. Politically, the situation was becoming more volatile. Fianna Fail, which had been in power continuously since 1932 and had won its most recent election in 1944, was coming under increasingly vocal criticism from two key groups of erstwhile supporters: urban workers, who had been chafing under wages stand-still orders for much of the war and who were disappointed that the end of the conflict had not produced much in the way of material benefits; and republicans, many of whom had been interned during the war, and some of whom felt in any case that a sense of drive and purpose was missing from Fianna Fail's approach to the national question.

This study is devoted to politics of nationalism under Bulgarian communism (1944-89). The research aims to analyse the actual content of the Bulgarian communist policies on three main national questions and the ideas behind them. How did Bulgarian communism understand nation and nationalism? How did the Bulgarian Communist Party policy on issues of nationalism change over time? What was the legacy of communist politics of nationalism after the fall of the regime in 1989? This thesis focuses on three national questions in Bulgaria: `the Macedonian Question', the position of the ethnic Turkish minority, and the politics of Jewish identity. It argues that revealing the ideas behind the communist policies in relation to these questions explains how communism understood national identity in Bulgaria. Chapter 1 provides an overview of theories of nationalism and communism in relation to Bulgarian communism. Chapter 2 analyses the understanding of communist internationalism and nationalism of the founders of Bulgarian communism and their followers in the contest of Marxism, Marxism-Leninism and Stalinism. Chapter 3 discusses Bulgarian communist mythology and argues that under communism Bulgarian national mythology was at the basis of promoting cultural nationalism which in its own turn was used for political mobilisation against ethnic diversity. Chapters 4,5 and 6 are dedicated to the three national questions mentioned above and their development under communism. Chapter 7 examines politics of nationalism after the fall of the communist regime in Bulgaria in 1989 and argues that by promoting cultural nationalism based on ethnic homogeneity the policies of the BCP in relation to ethnic minorities determined the politics of nationalism during post-communism in Bulgaria. The chapters are linked by the argument that Bulgarian communism changed its original idea of building a communist ration-State as a political community with class identity at its core to building an ethnically homogenous nation-state with ethnic Bulgarian identity as its organising principle.

The Solidarity trade union formed in the shipyards of Gdansk after a summer of strikes called by factory workers in response to price increases on food. At the end of August 1980, the men who had replaced Edward Gierek's elite signed an accord with the striking representatives of what came to be called Solidarity to provide increased benefits, and the right to have a free and independent trade union, to strike, and to have media that reported information more freely. It rapidly became a national movement that forced the Communist government to make many concessions. In the next fifteen months, while the government treated this first independent trade union in a communist country as legal, other citizens' organizations formed, the media discussed political and economic ideas that had long been censored, and the government gave in on more and more political issues. Then, on December 13, 1981, in response to increasing pressure from the rest of the Communist Bloc to stop the transformation and a failing economy, the Communist regime declared martial law, "a state of war," and interned hundreds of Solidarity and intellectual leaders as well as the leaders of the former Communist government. For the next three years, the government struggled to find a balance between repression and co-optation that would allow them to reclaim real power. Once they declared the state of war over, they were never in a position to really manage popular demands again.

"Analysis of the situation and tasks of the Sandinista People's Revolution; political and military theses presented by the National Directorate of the Sandinista National Liberation Front at the Assembly of Cadres 'Rigoberto López Pérez,' held September 21, 22 and 23, 1979" (p. 3-19) is a translation of the original Spanish text. ; Cover title. ; Mode of access: Internet.

For the 8 million Muslims living in the Balkans, the first decade of the post-commnist period has been caracterized by important political and religious changes: Muslim populations have got politicized and have created their own political parties, the links between Islam and national identities have tightened up, and the influence of the Muslim world has increased. On the eve of the 21st century, Balkan Muslims are facing new challenges such as the Kosovo crisis, the geopolitical reshaping of the Albanian space, and the European integration processes. ; Pour les 8 millions de musulmans des Balkans, la première décennie de la période post-communiste a été caractérisée par des évolutions politiques et religieuses importantes: les populations musulmanes se sont politisées et ont créé leurs propres partis politiques, les liens entre islam et identités nationales se sont resserrés, l'influence du monde musulman s'est renforcée. A l'aube du XXIe siècle, les musulmans balkaniques sont confrontés à de nouveaux défis, tels que la crise du Kosovo, la recomposition géopolitique de l'espace albanais et les processus d'intégration européenne.