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ΤΟ ΜΑΘΗΜΑ ΠΟΛΙΤΙΚΗΣ ΔΙΑΠΑΙΔΑΓΩΓΗΣΗΣ ΣΤΗ ΜΕΤΑΠΟΛΕΜΙΚΗ ΕΛΛΑΔΑ. Η «ΑΓΩΓΗ TOΥ ΠΟΛΙΤΟΥ»
Despina Karakatsani, La discipline de socialisation politique en Grèced'après-guerre: Γ ((Education du citoyenDans la cadre de cet article on essaie de dévoiler la manière dont lacrise idéologique et politique de la période post-guerre civile a été reflétéedans l'institution scolaire et en particulier dans la discipline principalede socialisation politique: l'éducation civique. Dans le climat anticommunistede cette époque l'école, un des principaux appareils idéologiquesde l'Etat, a été utilisée pour effacer toute idéologie communisteet pour promouvoir les valeurs de la Nation, de la Patrie, de l'Hellénismeet du Ghrisrianisme.Les différentes initiatives du pouvoir politique ainsi que des personnalitésdans le cadre de la politique éducative de la Grèce d'après-guerreafin de moraliser le citoyen et construire une citoyenneté conforme auxvaleurs de la civilisation greco-chrétienne font aussi objet de cet article.L'institutionnalisation de la discipline d'«Education du citoyen»dans l'enseignement primaire en 1957 a été dictée, d'après ceux qui ontfait cette proposition, par la nécessité de renforcer les liens entre le citoyenet le pouvoir politique après leur affaiblissement à cause de la propagandecommuniste. L'analyse des manuels de la forme principale d'éducationcivique de cette période prouve que les valeurs avancées étaient cellesde Nation-de Patrie, d'Hellénisme, de Famille et de Religion-Orthodoxie.L'éducation du citoyen exalte la beauté de la patrie grecque en larendant en même temps symbole de toute l'humanité, et impose auxfuturs citoyens comme devoirs l'amour de celle-là, l'obéissance par l'accomplissementdes devoirs militaires et le respect des monuments anciens.Une conception communautaire des différentes formes sociopolitiques estégalement adoptée qui reconnaît l'individu seulement en tant que membredes différentes équipes sociales et lui prescrit le devoir d'obéir aux normesde l'ensemble, ce qui signifie également l'anéantissement de ses droits, l'annulation de toute individualité, de toute forme de critique et decontestation.La autodiscipline en faveur de l'ordre et de l'harmonie sociale dansle cadre du «bon comportement», la charité, le travail et l'épargne constituentles caractéristiques d'un individu moral et civilisé, du citoyenidéal, que l'éducation civique et tout le système éducatif grec de cettepériode veut créer. ; Despina Karakatsani, La discipline de socialisation politique en Grèced'après-guerre: Γ ((Education du citoyenDans la cadre de cet article on essaie de dévoiler la manière dont lacrise idéologique et politique de la période post-guerre civile a été reflétéedans l'institution scolaire et en particulier dans la discipline principalede socialisation politique: l'éducation civique. Dans le climat anticommunistede cette époque l'école, un des principaux appareils idéologiquesde l'Etat, a été utilisée pour effacer toute idéologie communisteet pour promouvoir les valeurs de la Nation, de la Patrie, de l'Hellénismeet du Ghrisrianisme.Les différentes initiatives du pouvoir politique ainsi que des personnalitésdans le cadre de la politique éducative de la Grèce d'après-guerreafin de moraliser le citoyen et construire une citoyenneté conforme auxvaleurs de la civilisation greco-chrétienne font aussi objet de cet article.L'institutionnalisation de la discipline d'«Education du citoyen»dans l'enseignement primaire en 1957 a été dictée, d'après ceux qui ontfait cette proposition, par la nécessité de renforcer les liens entre le citoyenet le pouvoir politique après leur affaiblissement à cause de la propagandecommuniste. L'analyse des manuels de la forme principale d'éducationcivique de cette période prouve que les valeurs avancées étaient cellesde Nation-de Patrie, d'Hellénisme, de Famille et de Religion-Orthodoxie.L'éducation du citoyen exalte la beauté de la patrie grecque en larendant en même temps symbole de toute l'humanité, et impose auxfuturs citoyens comme devoirs l'amour de celle-là, l'obéissance par l'accomplissementdes devoirs militaires et le respect des monuments anciens.Une conception communautaire des différentes formes sociopolitiques estégalement adoptée qui reconnaît l'individu seulement en tant que membredes différentes équipes sociales et lui prescrit le devoir d'obéir aux normesde l'ensemble, ce qui signifie également l'anéantissement de ses droits, l'annulation de toute individualité, de toute forme de critique et decontestation.La autodiscipline en faveur de l'ordre et de l'harmonie sociale dansle cadre du «bon comportement», la charité, le travail et l'épargne constituentles caractéristiques d'un individu moral et civilisé, du citoyenidéal, que l'éducation civique et tout le système éducatif grec de cettepériode veut créer.
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ΤΟ ΦΥΛΟ ΣΤΗΝ ΑΝΘΡΩΠΟΛΟΓΙΑ (ΚΑΙ ΤΗΝ ΙΣΤΟΡΙΟΓΡΑΦΙΑ): ΟΡΙΣΜΕΝΕΣ ΓΝΩΣΤΙΚΕΣ ΚΑΙ ΜΕΘΟΔΟΛΟΓΙΚΕΣ ΠΡΟΕΚΤΑΣΕΙΣ
Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Visant à stimuler d'une part le dialogue entre anthropologues et historiens/iennes et d'autre part les débats concernant les problèmes epistémologiques et politiques que posent l'histoire et l'anthropologie des femmes et des sexes, l'Association des Études Néohelléniques organisa une table-ronde sur les approches historiques et anthropologiques du «gender» et procéda à la publication des quatre interventions des collègues invités: Eleni Fournaraki examine certaines étapes du déplacement que connût récemment l'histoire des femmes, centrée sur les terrains spécifiques où les expériences des femmes ont été historiquement formées —démarche répondant à un besoin toujours actuel—, vers une «nouvelle synthèse historique»; celle-ci renouvelle le questionnement de l'histoire des femmes (et de l'histoire en général), en posant au centre de l'analyse les rapports masculin-féminin (en relation avec d'autres formes d'inégalité sociale) et le sexe, conçu comme construction culturelle. Efthymios Papataxiarchis se réfère aux différentes conceptions théoriques actuelles du sexe (le sexe comme rôle, relation et construction) et commente leurs conséquences cognitives plus larges pour l'anthropologie; examinant aussi ces conséquences pour le virage anthropologique de l'histoire, il constate une certaine difficulté de l'histoire à appliquer la théorie du sexe comme construction. Alexandra Bakalaki en analysant la contribution de l'anthropologie à la décomposition du sexe en tant qu'élément constitutif du sujet, se demande si en effet «l'anthropologie des femmes est pour l'anthropologie ce que l'enfance est pour la maturité»; elle estime que l'assertion ci-dessus, assez repondue actuellement au sein des anthropologues, est trop simpliste, car d'une part elle tend à «oublier» la critique de l'anthropologie des femmes à la «règle)) ethnocentrique et sexuée imposée par les «pères» de l'anthropologie, et d'autre part elle risque à sous-estimer certains problèmes, théoriques et politiques, que relève le virage vers l'anthropologie du sexe, indépendamment de son intérêt scientifique incontestable. Efi Avdela, en posant certaines questions plus générales sur l'historiographie, analyse deux stéréotypes qui accompagnent souvent la réception de l'histoire des femmes et/ou des sexes en Grèce: soit elle est envisagée comme un terrain cognitif discrédité car taxé d'usage politique-idéologique soit elle est considérée comme une thématique manquant d'intérêt scientifique.
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